Recueil de Nouvelles

Etant absent le jeudi et le vendredi, il fallait que j'aille voir sur le cahier de texte en ligne si je n'avais pas des devoirs. Evidemment, je m'attendais à ce qui n'y ai rien car la plupart des choses ne nous servent à rien quand on a l'idée de s'en servir mais on ne pense pas à s'en servir lorsqu'elle pourraient nous aider.
Mais à ma grande surprise il fallait que je rende pour lundi, c'est à dire pour demain, la nouvelle que vous êtes déjà en train de lire (probablement parce que vous avez cliqué dessus par erreur). C'était donc pour moi l'occasion d'essayer de battre le record d'écriture de nouvelle de rapidité mais il y a de grande chance pour qu'il faille dire « le record de nouvelle d'écriture de rapidité »

Je venais de terminer ma nouvelle, mais au moment où je vous parle je ne l'ai même pas terminée.
Je décidai donc d'aller bronzer sur la plage place du village, cinq jour avant le début de l'hiver à une heure que je ne connais pas puisque je n'ai pas terminé ma nouvelle, et si vous aviez suivit je n'aurais pas eu la tendinite que je vais probablement avoir à force de trop taper étant donné que je n'aurai pas dû répéter la phrase que je viens de répéter et que je vais de nouveau répéter...finalement non car il faut que j'évite d'inclure des éléments superflus dans ma nouvelle. J'ai perdu ma première dent de lait à six ans.

C'est alors qu'un extraterrestre de cent-vingt mille tonne sortit de la fontaine. Les gens n'étaient pas choqués car il venait tous de décéder, ce qui est très pratique pour les croque-mort, pour le renflouement des caisses de l'état et pour la logique de ma nouvelle.
Je décidai donc de le combattre afin de venger sa propre mort, et si je devais mourir, je mourrai en gros porc qui sait pas faire ses lacets, qui va toujours regarder ses devoirs à la dernière minute et qui arrive même à ocnfcndre le « o » et le « c » sur un olavier franoais.

C'est alors que l' alien avança son poing, j'esquivai le coup en me baissant pour essayer en vain de refaire mes lacets. C'est alors que Superman vint pour m'apprendre à lire, puis y s' barre de suite car je dois me concentrer sur un seul élément dans ma nouvelle si j'veux une bonne note.
Donc, Superman explosa et je devais donc tuer ce monstre tout seul. Je ramassai donc un petit caillou qui trainait à mon pied et le lançai sur le monstre (non sans peine). Il poussa (le monstre, pas le caillou) un énorme rugissement et disparut dans un nuage de fumée rouge. Mais attention, du rouge extrêmement primaire.
J'étais tellement fier que je sautai littéralement de joie, et trébuchai car je perdais ma chaussure.

« Miaouuuu !» fit le chat. Je me réveillai en sursautant car je pensais jusqu'à présent que c'était les vaches qui avait ce cri.
Eh oui, tout cela n'était qu'un rêve ; j'aurai dû m'en douter au moment où Superman avait commencé à me parler italien. D'ailleurs puisqu'il est que 19:09, je pourrais aller bronzer !

FIN