ne rivalisent pas un seul instant avec ce SW Racer mais même F-Zero GX sorti bien plus tard se fait enterrer, c'est dire.
Lol...
J'ai pas assez joué à Racer, mais je ne l'ai pas trouvé si ouf... Sinon, aucun jeu n'enterre GX, quel qu'il soit ^^
Puis la sensation de vitesse, c'est relatif, comme tu dis, je ne sais même pas comment c'est rendu, mais ce n'est pas primordial, après, à haut niveau, tu iras vite, très vite.
Certes, GX est un meilleur jeu globalement et surtout il offre un vrai challenge. Comme je disais, j'en demandais peut-être pas autant que le mode story de GX en difficulté max pour ce SW Racer mais, vu les choix de game design et de gameplay opérés, j'ai vraiment été un peu surpris par cette IA beaucoup trop généreuse. C'est vraiment regrettable. J'ai aussi oublié de mentionner une autre problématique avec la diversité des courses. En fait, on a beau avoir plusieurs planètes différentes et donc plusieurs environnements malgré tout assez variés, ça fait quand même un chouïa penser à Ridge Racer par moment avec un circuit sur lequel on se contente d'ouvrir d'autres sections pour en faire un autre circuit. Après, il y a quand même pas mal de courses qui offrent des changements bien significatifs comme la dernière course du monde de glace qui part dans tous les sens et troque le décor de montagnes enneigées contre un centre-ville.
Mais au niveau du rendu de la vitesse, dans SW Racer c'est vraiment un gros plus par rapport à tous les jeux du même genre, que ça soit à haut niveau ou pas d'ailleurs. Le parti pris en matière de représentation de la vitesse est une pure réussite dans ce jeu.
J'ai vraiment bien aimé. Bon, on va dire que les deux dernières heures sont pénibles, la redondance des combats devient vraiment chiante et c'est très dommage.
Je n'ai pas tout compris au scénario, il me manque des souvenirs qui me permettront peut être de mieux appréhender la chose.
Pour le reste, la parenté du papa de Forbidden siren saute aux yeux. C'est audacieux, beaucoup de personnages qui peuvent former une synergie entre eux pour les combats, la "vision shibito" (très peu exploité), la boucle temporelle avec des missions à refaire etc
Les combats offrent de bonnes sensations. Le système de contre fonctionne bien et la possibilité de prendre contrôle en un instant de n'importe quel humain pour s'attaquer aux Slitterhead qui parfois passent clairement pour les victimes est plutôt grisant. En plus des humains de bases, vont débloquerez les êtres rares, des humains ayant des capacités hors normes et qui ont des compétences vraiment différentes les uns des autres en plus d'avoir plus d'importance dans le scénario.
Je regrette quand même que le jeu contredit trop souvent ses propres règles quand ça l'arrange sans vraiment donner de justification à ça. Les phases d'infiltrations en sont le meilleur exemple.
Le jeu est clairement un petit jeu qui va faire du mieux qu'il peut avec son budget. Les environnements sont recyclés beaucoup de fois. Même si ils sont cools à la fin je dois dire que ça lasse un peu d'autant que beaucoup de phases et mécaniques elles aussi finissent un peu par achever le joueur. C'est très souvent : Je te trouve, combat, course poursuite, transformation, combat. Le bestiaire étant vraiment rikiki, bon.
La mise en scène est très légère surtout en intermission avec de simples textes non doublés.
L'ambiance est chouette, bien plus bd qu'un siren évidemment, c'est un jeu d'action avant tout, pas du tout un survival même si il y a de temps en temps quelques fulgurances horrifiques.
C'est quand même un jeu que je peux conseiller mais pas à tout le monde. Disons que si vous appréciez les jeux originaux, les œuvres précédentes de Toyama, surtout Siren pour la structure explosée du scénario et des missions, bah allez y franchement.
On parle souvent de la fameuse "first hour experience" qui doit être un truc vraiment marquant pour happer le joueur dans un jeu. Et bien c'est raté pour ce troisième inFamous. Mais ce n'est pas grave car ça devient vraiment bon une fois arrivé à Seattle. Un jeu d'action qui offre plusieurs pouvoirs qui permet de remettre à plat le gameplay quatre fois même si les pouvoirs ont des points communs dans les types d'attaque. Mais c'est surtout une belle vitrine technique de la PS4 car c'était une de ses premières grosses exclusivités au printemps 2014. Les différents types de pouvoir lié à la fumée, au néon ou à la vidéo sont parfaitement mis en scène dans des combats assez dantesques où les particules sont bien mises en avant. Le tout dans une ambiance automnale qui a vraiment son charme. Si l'open-world n'est pas le plus intéressant qui soit au niveau de ses quêtes annexes, on a apprécie de la parcourir grâce à une bonne utilisation de la verticalité. Le jeu gagne vraiment en qualité au fur et à mesure sans pour autant jamais atteindre des grands noms du genre action, open-world ou super-héros. Le titre offre une histoire assez inspiré de X-Men et s'avère agréable à suivre sans pour autant être là encore incroyable. Disons que les motivations de la grande méchante qui apparaissent 5 minutes avant la fin. Bof...
Mais j'ai globalement vraiment aimé car le gameplay progression/action est fluide et toujours spectaculaire.
J'ai aussi fait les deux DLC gratuits : Paper Trails et L'Héritage de Cole qui ont le mérite d'exister...
Lol...
J'ai pas assez joué à Racer, mais je ne l'ai pas trouvé si ouf... Sinon, aucun jeu n'enterre GX, quel qu'il soit ^^
Puis la sensation de vitesse, c'est relatif, comme tu dis, je ne sais même pas comment c'est rendu, mais ce n'est pas primordial, après, à haut niveau, tu iras vite, très vite.
Certes, GX est un meilleur jeu globalement et surtout il offre un vrai challenge. Comme je disais, j'en demandais peut-être pas autant que le mode story de GX en difficulté max pour ce SW Racer mais, vu les choix de game design et de gameplay opérés, j'ai vraiment été un peu surpris par cette IA beaucoup trop généreuse. C'est vraiment regrettable. J'ai aussi oublié de mentionner une autre problématique avec la diversité des courses. En fait, on a beau avoir plusieurs planètes différentes et donc plusieurs environnements malgré tout assez variés, ça fait quand même un chouïa penser à Ridge Racer par moment avec un circuit sur lequel on se contente d'ouvrir d'autres sections pour en faire un autre circuit. Après, il y a quand même pas mal de courses qui offrent des changements bien significatifs comme la dernière course du monde de glace qui part dans tous les sens et troque le décor de montagnes enneigées contre un centre-ville.
Mais au niveau du rendu de la vitesse, dans SW Racer c'est vraiment un gros plus par rapport à tous les jeux du même genre, que ça soit à haut niveau ou pas d'ailleurs. Le parti pris en matière de représentation de la vitesse est une pure réussite dans ce jeu.
Slitterhead terminé.
J'ai vraiment bien aimé. Bon, on va dire que les deux dernières heures sont pénibles, la redondance des combats devient vraiment chiante et c'est très dommage.
Je n'ai pas tout compris au scénario, il me manque des souvenirs qui me permettront peut être de mieux appréhender la chose.
Pour le reste, la parenté du papa de Forbidden siren saute aux yeux. C'est audacieux, beaucoup de personnages qui peuvent former une synergie entre eux pour les combats, la "vision shibito" (très peu exploité), la boucle temporelle avec des missions à refaire etc
Les combats offrent de bonnes sensations. Le système de contre fonctionne bien et la possibilité de prendre contrôle en un instant de n'importe quel humain pour s'attaquer aux Slitterhead qui parfois passent clairement pour les victimes est plutôt grisant. En plus des humains de bases, vont débloquerez les êtres rares, des humains ayant des capacités hors normes et qui ont des compétences vraiment différentes les uns des autres en plus d'avoir plus d'importance dans le scénario.
Je regrette quand même que le jeu contredit trop souvent ses propres règles quand ça l'arrange sans vraiment donner de justification à ça. Les phases d'infiltrations en sont le meilleur exemple.
Le jeu est clairement un petit jeu qui va faire du mieux qu'il peut avec son budget. Les environnements sont recyclés beaucoup de fois. Même si ils sont cools à la fin je dois dire que ça lasse un peu d'autant que beaucoup de phases et mécaniques elles aussi finissent un peu par achever le joueur. C'est très souvent : Je te trouve, combat, course poursuite, transformation, combat. Le bestiaire étant vraiment rikiki, bon.
La mise en scène est très légère surtout en intermission avec de simples textes non doublés.
L'ambiance est chouette, bien plus bd qu'un siren évidemment, c'est un jeu d'action avant tout, pas du tout un survival même si il y a de temps en temps quelques fulgurances horrifiques.
C'est quand même un jeu que je peux conseiller mais pas à tout le monde. Disons que si vous appréciez les jeux originaux, les œuvres précédentes de Toyama, surtout Siren pour la structure explosée du scénario et des missions, bah allez y franchement.
inFamous Second Son
On parle souvent de la fameuse "first hour experience" qui doit être un truc vraiment marquant pour happer le joueur dans un jeu. Et bien c'est raté pour ce troisième inFamous. Mais ce n'est pas grave car ça devient vraiment bon une fois arrivé à Seattle. Un jeu d'action qui offre plusieurs pouvoirs qui permet de remettre à plat le gameplay quatre fois même si les pouvoirs ont des points communs dans les types d'attaque. Mais c'est surtout une belle vitrine technique de la PS4 car c'était une de ses premières grosses exclusivités au printemps 2014. Les différents types de pouvoir lié à la fumée, au néon ou à la vidéo sont parfaitement mis en scène dans des combats assez dantesques où les particules sont bien mises en avant. Le tout dans une ambiance automnale qui a vraiment son charme. Si l'open-world n'est pas le plus intéressant qui soit au niveau de ses quêtes annexes, on a apprécie de la parcourir grâce à une bonne utilisation de la verticalité. Le jeu gagne vraiment en qualité au fur et à mesure sans pour autant jamais atteindre des grands noms du genre action, open-world ou super-héros. Le titre offre une histoire assez inspiré de X-Men et s'avère agréable à suivre sans pour autant être là encore incroyable. Disons que les motivations de la grande méchante qui apparaissent 5 minutes avant la fin. Bof...
Mais j'ai globalement vraiment aimé car le gameplay progression/action est fluide et toujours spectaculaire.
J'ai aussi fait les deux DLC gratuits : Paper Trails et L'Héritage de Cole qui ont le mérite d'exister...
Sell kids for food