Ça change rien, tout le monde n'est pas pour la GPA, pourtant a partir du moment ou c'est autorisé n'importe qui peut y avoir accès, on peut bien être 2 individus complétement différents aux avis et principes complétement opposé tout en étant libre égaux devant la loi, car en réalité c'est la liberté, ne pas outrepasser la loi.
Alexis, c'est toujours faux, mon voisin qui allume sa perceuse empiète sur mon envie de paix, pourtant si il le fait un jour ouvré selon les règles de la collectivité, je peux m'assoir sur mon envie de paix.
Ce qui est égal, c'est que moi même je peux l'allumer le jour suivant quand lui aura envie d'avoir la paix.
La liberté ne se fait pas avec les principes et les envies, mais avec ce que la loi autorise ou pas.
Oui. Mais aussi les règles informelles. C'est-à-dire l'éthique (on peut appeler ça le "social intériorisé" ou le "Surmoi"), laquelle régularise au mieux nos rapports sociaux. La loi, c'est un filet de sécurité en réalité. L'éthique, elle, pose le cadre général. Le problème, c'est quand on éclate l'éthique à coup de libéralisme (économique).
Ton exemple pointe un dimension intéressante. Quand la démographie est forte, il y a un besoin d'harmonie. Sinon les autres deviennent vite chiants.
Quand la démographie est forte, on développe une logique d'harmonie. C'est d'ailleurs logique que les pays d'Asie s'y inscrivent.
Quand la démographie est faible, on développe une logique de vertu individuelle. On parle beaucoup plus des libertés. La liberté c'est très bien, à condition d'y mettre de l'éthique. Sinon c'est échec et mat. Symptôme de cet échec : les prisons qui débordent. D'où vient notre appétence à la liberté dans nos sociétés occidentales ? En partie de la philosophie grecque. Et à l'époque, le pays avait une faible démographie.
EDIT : n'importe quel individu évolue dans un cadre de règles. On est une espèce sociale.
J'ai pas dit le contraire, tout code a un défaut, sinon l'avocat n'existerait pas, mais pour résumer trivialement:
Je peux faire tout ce que la loi n’interdit pas (même si moralement ou sur le principe de qualqu'un d'autre ça ne plait pas), je peux aussi faire tout ce que la loi interdit, mais avec punition qui va avec a la clé.
Les lois sont faite par des hommes, elles évoluent et les jaugent liberté/sécurité bougent une en fonction de l'autre, mais a aucun moment ma liberté ne peut empiété sur la tienne, car il s'agit de exactement la même, donc elle nous tolérera tant que c'est autorisé, et nous punira quand ce n'est pas le cas.
L’éthique, le principe, la loyauté sont des qualités louable, mais restent a jamais subjective, car ce qui est bon pour moi ne l'est pas forcement pour toi, et ça dépend de beaucoup de choses, classe sociale, passif qu'on a eu, les rapports qu'on a avec nos proches, combien sont ils, qu'ont ils fait pour nous dans un sens ou d'un autre etc...
Quoi qu'il en soit, la liberté ou la sécurité fait fie de tout ça, pour que le tout soit prit en compte, il faudrait une loi différente pour chacun, deja que c'est compliqué avec une seule, il est facile de comprendre que c'est utopique.
Je crois que tu n'as pas compris la phrase. Ca veut dire que la liberté de chacun ne doit pas empiéter (qui du coup prendrait trop de place) sur celle des autres, c'est un principe d'égalité, justement.
La maxime, héritée des Lumières et ayant partiellement inspiré la DDHC, veut tout simplement dire que la liberté ça n'est pas l'état de nature.
L’éthique, le principe, la loyauté sont des qualités louable, mais restent a jamais subjective, car ce qui est bon pour moi ne l'est pas forcement pour toi, et ça dépend de beaucoup de choses, classe sociale, passif qu'on a eu, les rapports qu'on a avec nos proches, combien sont ils, qu'ont ils fait pour nous dans un sens ou d'un autre.
Ce qui est "relatif", c'est comment chaque culture configure l'éthique, notamment la question de la réciprocité (dois-je accepter l'étranger ? Le voisin ?). Mais l'éthique en elle-même est un principe anthropologique. J'avoue que j'entends quelquefois des comités d'éthique qui ne comprennent pas ce qu'est l'éthique. Alors que c'est notre ciment social.
Mais cette représentation de la liberté que nous avons, d'autres pays ne l'ont pas. Pour le coup, c'est relatif ! On pense cela car nos concepts linguistiques sont remplis d'images de liberté (mises en scène au cinéma, dans des livres, des morales, la littérature orale...).
Donc quand un fléau s'abat, on le prend mal. Car un fléau entrave par définition les libertés.
Bon, je vais arrêter là ! C'est pas le sujet du topic.
J'en profite pour souhaiter une bonne année à tous les gens du fofo !
Hm sans même parler de voisin, le sens de "la liberté" de la France a évolué avec le temps, comme la France même, ce qui est interessant pour le coup c'est de voir d’où on est parti pour venir jusqu'ici, et éventuellement voir pourquoi parfois on fait demi tour, comme aujourd'hui.
Oui on a glissé, bonne année a tous egalement, et désolé de la dérive d'une formulation qui me reste incorrecte ^^
Si. La liberté est définie par des principes (des idées si tu préfères, sans idées, il n'y aurait pas de liberté) mais édictée par des règles.
Non, mes principes ne sont pas tiens, pourtant on est tout 2 libre et égaux.
Non mais je te parle des principes de la liberté !
Ça change rien, tout le monde n'est pas pour la GPA, pourtant a partir du moment ou c'est autorisé n'importe qui peut y avoir accès, on peut bien être 2 individus complétement différents aux avis et principes complétement opposé tout en étant libre égaux devant la loi, car en réalité c'est la liberté, ne pas outrepasser la loi.
Oui. Mais aussi les règles informelles. C'est-à-dire l'éthique (on peut appeler ça le "social intériorisé" ou le "Surmoi"), laquelle régularise au mieux nos rapports sociaux. La loi, c'est un filet de sécurité en réalité. L'éthique, elle, pose le cadre général. Le problème, c'est quand on éclate l'éthique à coup de libéralisme (économique).
Ton exemple pointe un dimension intéressante. Quand la démographie est forte, il y a un besoin d'harmonie. Sinon les autres deviennent vite chiants.
Quand la démographie est forte, on développe une logique d'harmonie. C'est d'ailleurs logique que les pays d'Asie s'y inscrivent.
Quand la démographie est faible, on développe une logique de vertu individuelle. On parle beaucoup plus des libertés. La liberté c'est très bien, à condition d'y mettre de l'éthique. Sinon c'est échec et mat. Symptôme de cet échec : les prisons qui débordent. D'où vient notre appétence à la liberté dans nos sociétés occidentales ? En partie de la philosophie grecque. Et à l'époque, le pays avait une faible démographie.
EDIT : n'importe quel individu évolue dans un cadre de règles. On est une espèce sociale.
Bonne année au passage !
J'ai pas dit le contraire, tout code a un défaut, sinon l'avocat n'existerait pas, mais pour résumer trivialement:
Je peux faire tout ce que la loi n’interdit pas (même si moralement ou sur le principe de qualqu'un d'autre ça ne plait pas), je peux aussi faire tout ce que la loi interdit, mais avec punition qui va avec a la clé.
Les lois sont faite par des hommes, elles évoluent et les jaugent liberté/sécurité bougent une en fonction de l'autre, mais a aucun moment ma liberté ne peut empiété sur la tienne, car il s'agit de exactement la même, donc elle nous tolérera tant que c'est autorisé, et nous punira quand ce n'est pas le cas.
L’éthique, le principe, la loyauté sont des qualités louable, mais restent a jamais subjective, car ce qui est bon pour moi ne l'est pas forcement pour toi, et ça dépend de beaucoup de choses, classe sociale, passif qu'on a eu, les rapports qu'on a avec nos proches, combien sont ils, qu'ont ils fait pour nous dans un sens ou d'un autre etc...
Quoi qu'il en soit, la liberté ou la sécurité fait fie de tout ça, pour que le tout soit prit en compte, il faudrait une loi différente pour chacun, deja que c'est compliqué avec une seule, il est facile de comprendre que c'est utopique.
La maxime, héritée des Lumières et ayant partiellement inspiré la DDHC, veut tout simplement dire que la liberté ça n'est pas l'état de nature.
Ce qui est "relatif", c'est comment chaque culture configure l'éthique, notamment la question de la réciprocité (dois-je accepter l'étranger ? Le voisin ?). Mais l'éthique en elle-même est un principe anthropologique. J'avoue que j'entends quelquefois des comités d'éthique qui ne comprennent pas ce qu'est l'éthique. Alors que c'est notre ciment social.
Mais cette représentation de la liberté que nous avons, d'autres pays ne l'ont pas. Pour le coup, c'est relatif ! On pense cela car nos concepts linguistiques sont remplis d'images de liberté (mises en scène au cinéma, dans des livres, des morales, la littérature orale...).
Donc quand un fléau s'abat, on le prend mal. Car un fléau entrave par définition les libertés.
Bon, je vais arrêter là ! C'est pas le sujet du topic.
J'en profite pour souhaiter une bonne année à tous les gens du fofo !
Hm sans même parler de voisin, le sens de "la liberté" de la France a évolué avec le temps, comme la France même, ce qui est interessant pour le coup c'est de voir d’où on est parti pour venir jusqu'ici, et éventuellement voir pourquoi parfois on fait demi tour, comme aujourd'hui.
Oui on a glissé, bonne année a tous egalement, et désolé de la dérive d'une formulation qui me reste incorrecte ^^
Nexy qui repasse en tête devant Umbasa en terme de HS ^^