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[Le DUEL de la Semaine] Monster Hunter : Ancienne formule VS Nouvelle formule.

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Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)

C'est con que t'ai pas fait Siren Blood zizi tu l'aurais mit premier ^^

Citation:
Et également, un jeu d'épouvante ne fait pas nécessairement peur

Ca serait un comble pour un jeu d'épouvante de ne pas épouvanter.

Edité par Lord_Gwyn le 15/11/2018 - 23:04
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Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)

Je ne comprends pas trop votre "débat" sur The Last of us, en fait.

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Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)

Il y a des gens qui estiment que The Last Of Us n'est pas un jeu d'horreur . Enfin c'est ce que j'ai compris

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Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)

Mouais, bah j'ai envie de dire, la perception de la peur et de l'"horreur", c'est subjectif : il y a bien quelques personnes qui trouvent que le premier Resident Evil n'est pas "effrayant", donc bon.

En tout cas, je ne ferai pas essayer ni ne montrerai The Last of Us à mes petits neveux...

Edité par Rudolf le 15/11/2018 - 23:19

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Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)

J'ai joué à Resident Evil 3 à 10 ans donc bon haha .

Edité par Lord_Gwyn le 16/11/2018 - 02:57
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Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)

Citation:
Ca serait un comble pour un jeu d'épouvante de ne pas épouvanter.

Épouvanter, justement, ce n'est pas faire peur^^. Je vais pas partir dans une définition des mots, mais c'est très subjectif. Regardez le fossoyeur zut !!! :P

Et moi je préfère un jeu qui a une ambiance, un cachet que le jeu qui te fait bêtement peur par des jumps care que n'importe qui sait faire en te mettant par exemple un chien qui te jappe dans les oreilles.

Et The Last of Us a des codes du jeu d'horreur, bah c'est un DayZ ou film de zombies mais scénarisé. Et puis NAughty Dog a beaucoup taffé sur la relation entre les 2 protagonistes. Bref, il n'a pas les intentions des premiers Resident Evil.

Edité par video2f1 le 16/11/2018 - 08:45
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Re: [Le Duel de la Semaine] Red Dead Redemption vs Grand Theft Auto V (jusqu'au 28/10/2018)

Ne possédant pas une incroyable expérience vidéoludique dans le genre horrifique, mais appréciant beaucoup celui-ci, je vous propose tout de même mon top 5 des meilleurs jeux d’horreur auxquels j’ai pu jouer en vous donnant, pour chacun des titres énoncés, un avis assez explicite.

Vous pouvez accéder au trailer du jeu qui vous intéresse en cliquant sur son titre.

5 – Resident Evil 7 (2017)

Conçu avec la volonté de retourner aux fondements de la franchise, Resident Evil 7 a réussi à marquer un nouveau tournant par le biais d’une pléthore de points positifs, dont certains sont des nouveautés : une vue subjective qui renforce le sentiment de stress, des lieux à visiter sinistres et bien réalisés tels que le manoir des Baker ou les environnements marécageux de la Louisiane, des énigmes relativement recherchées, des doublages français de très bonne qualité apportant une réelle authenticité aux personnages et une aventure intégralement jouable en VR (nausées garanties).

Toutefois, quelques défauts assez importants du jeu peuvent être rapportés : un bestiaire très limité, un gameplay parfois lourd, des combats de boss guère palpitants et une fin de jeu en deçà de toute l’aventure proposée en amont.

À noter que le jeu possède plusieurs DLC qui ne sont pas très passionnants, à l’exception peut-être de « Ethan doit mourir » qui lui lance un défi de taille aux habitués de la licence en leur demandant de traverser à nouveau le manoir des Baker, mais en étant à la fois poursuivis par des mycomorphes et désespérément en recherche de contenus (armes, munitions…) dissimulés dans des caisses jonchant le sol de certaines pièces et parfois aléatoirement piégées. Autant dire que la chance est considérée comme un allié de taille et que la rejouabilité est clairement limitée. En somme, Resident Evil 7 propose une aventure horrifique de qualité, agrémentée de certains moments de tension.

4 – Dead Space (2008)

Dead Space est un très bon jeu d’horreur en vertu de sa capacité à nous happer dans une atmosphère à la fois glauque et stressante. Disposant d’un superbe cachet dû à l’univers spatial dans lequel la trame se déroule, nul doute que ce jeu propose une aventure horrifique palpitante à bord d’un immense vaisseau interstellaire : l’USG Ishimura.

Dead Space est un survival-horror clairement décomplexé au regard de toute violence particulièrement gore et graphiquement bien faite (mention spéciale aux écrasements de cadavres et aux multiples démembrements). Ce jeu possède une incroyable galerie de monstres, tous très bien modélisés et effrayants, et se vante de jeux de lumière somptueux qui contribuent grandement à l’ambiance insalubre qui y règne. Notre immersion dans cet univers suffocant se doit particulièrement à l’excellente bande son du jeu mêlant à la fois des bruitages de qualité, des musiques symphoniques fines et de bons doublages français. Le gameplay est bon même s’il peut paraître de nos jours un peu archaïque et pas assez nerveux tel qu’on le voudrait à certains moments. La customisation de nos armes et la maîtrise de pouvoirs (stase et télékinésie) sont vraiment deux points positifs qui offrent une certaine variété au gameplay.

Malheureusement, on peut globalement reprocher à Dead Space une durée de vie un peu courte (seulement douze heures pour en venir à bout), des casse-têtes vraiment simples et un traceur indiquant le lieu de l’objectif qui facilite grandement le jeu dans le cas où notre sens de l’orientation nous ferait défaut. En somme, Dead Space est un excellent jeu, tout comme ses successeurs qui eux s’orienteraient plus vers un côté action que survival-horror ; devenant alors la raison pour laquelle j’ai choisi de seulement inclure le premier volet dans ce top 5.

3 – SOMA (2015)

SOMA est un jeu qui saura satisfaire les amoureux et amoureuses de Rapture, la ville sous-marine parcourue dans les deux premiers BioShock. En effet, l’aventure se déroule au sein d’un réseau de plusieurs stations sous-marines, placées au fin fond de l’Atlantique, où l’on incarne Simon, un ingénieur canadien, qui se réveille après un scanner cérébral au sein d’une pièce obscure dans laquelle une matière hybride (mi-organique / mi-robotique) et visqueuse recouvre certaines parties du sol ainsi que les robots inactifs aux alentours. Une matière qui n’augure rien de bon quant aux évènements passés dans cet endroit et qui seront ensuite liés aux dangers qui planeront sur nous.

SOMA est tout d’abord un jeu qui brille par son scénario captivant et poussé. Sans spoiler davantage, le script se focalise sur un thème particulier : le transhumanisme. Un mouvement faisant appel à l’utilisation de technologies afin d’accroître les capacités intellectuelles humaines ou bien de ralentir le vieillissement. Le scénario du jeu nous invite, tout au long de l’aventure, à mener une réflexion intéressante et pointue sur le transhumanisme, et ce, au fur et à mesure que l’on rencontre de nouveaux individus et que l’on consulte différentes archives. Une réflexion qui, à aucun moment, ne sera imposée, laissant alors le joueur agir selon sa propre morale sur le thème étudié.

L’autre point fort du jeu est son ambiance que l’on peut clairement qualifier d’horreur sous-marine. En effet, les pièces cloisonnées recouvertes de cette matière hybride (mélange de chairs et d’électroniques) conjuguées aux jeux de lumière oppressants offrent un rendu relativement inquiétant. Toutefois, la réelle inquiétude provient plutôt des créatures peu chaleureuses qui rôdent dans ces stations. En effet, le jeu présente un bestiaire composé de plusieurs monstres aux apparences réussies et aux spécificités singulières (à titre d’exemples : certains monstres sont aveugles et traquent quiconque aux bruits qu’il émet, d’autres ne peuvent vous repérer que si vous les observez). SOMA s’illustre également avec de très beaux graphismes (mention spéciale à la traversée de l’abysse, privée de toute lumière, où errent particulièrement des créatures marines peu amicales) et possède une bande son de qualité (les bruits caractéristiques émis par les monstres sont géniaux). À noter toutefois que le jeu possède quelques soucis d’optimisation et a tendance à ramer. Un autre défaut pouvant être évoqué est la fin un peu abrupte du jeu compte tenu de toutes les questions posées durant l’aventure et dont seulement quelques-unes ont pu bénéficier d’une réponse.

2 – Dying Light (2015)

Œuvre signée Techland, les mêmes personnes qui avaient auparavant développé les célèbres Dead Island, Dying Light est probablement le jeu d’horreur qui m’a le plus diverti par sa faculté à mêler amusement et angoisse selon les situations dans lesquelles on se trouve. Plongé au centre d’Haran, une ville en proie d’un virus ayant transformé la plupart des habitants en morts-vivants, Kyle Crane, le personnage que l’on incarne, devra dans un premier temps retrouver la personne qui a dérobé le virus. Sans tergiverser davantage sur ce qui est du scénario cliché de ce jeu, Dying Light parvient à exceller et à se démarquer des autres jeux du genre par son mode survie particulièrement réussi grâce au crafting proposé. Le jeu se singularise par son immense terrain, envahi par une horde de zombies, pouvant être sillonné par le biais du parkour analogue à celui pratiqué dans les jeux Mirror’s Edge. Bien que l’on ne puisse conduire aucun véhicule, le parkour peut combler ce manque en nous offrant une vitesse de déplacement et une agilité toutes deux impressionnantes et vraiment pratiques.

Le mode survie de Dying Light est approfondi par la présence d’un cycle jour/nuit qui influe sur la nature de la faune errante dans la ville. Autant dire que l’on a affaire à des zombies normaux en journée ; tandis que dès le crépuscule arrivé, ce seront des zombies bodybuildés et baptisés « Rapaces » (inspirés des Reapers de Blade 2) auxquels on aura affaire et, compte tenu de leur caractère belliqueux et de leur très grande robustesse, la fuite sera souvent la solution adéquate face à ces derniers. Les séquences de courses-poursuites sont particulièrement réussies et tendues. À noter que plusieurs types de zombies tels que les cracheurs, les sprinteurs ou les rapaces errent dans la ville et que des humains peu pacifiques et particulièrement coriaces rendront le jeu difficile. C’est alors que la coopération à quatre joueurs se révèle particulièrement utile et amusante. Dans Dying Light, parfois, on ne peut jurer que par l’entraide amicale pour survivre, notamment pourchassés par des rapaces en pleine nuit.

En dépit d’un scénario cliché et peu captivant, d’un doublage français peu convaincant (opter pour la VO serait préférable) et d’une IA qui laisse parfois à désirer, Dying Light n’en demeure pas moins un jeu de très bonne qualité de par son crafting complet, son gameplay dynamique, son ambiance qui a tendance à jongler entre le burlesque et l’effroi au rythme du cycle jour/nuit imposé, sa grande durée de vie, une incroyable sensation de liberté due à la grandeur de la ville et un mode coopératif fun et bien pensé.

1 – Alien : Isolation (2014)

Étant un fan de la première heure des films Alien, et notamment du premier de Ridley Scott pour sa capacité à nous happer dans une ambiance dantesque, cet Alien : Isolation, au vu de son excellente qualité, rend clairement hommage au film culte de 1979. La trame d’Alien : Isolation se déroule durant l’année 2137, soit quinze ans après la tragédie qui a eu lieu à bord du Nostromo, responsable de la disparition d’Ellen Ripley. Contactée par la Weyland-Yutani au sujet de la connaissance d’un lieu pouvant renfermer des informations sur la localisation de sa mère (la boîte noire), Amanda Ripley embarque une station orbitale nommée Sébastopol qui, malheureusement, va s’avérer être un tombeau où se dissimulent des androïdes défaillants et hostiles, des survivants un poil traumatisés et un Xénomorphe assoiffé de sang et au design effroyablement classe.

Contrairement à une pléthore de jeux Alien sortis et munis d’un gameplay purement orienté action, le gameplay d’Alien : Isolation est plutôt axé sur de l’infiltration et de la fuite. Le jeu propose une aventure équilibrée où il est, en effet, facile de passer d’une séquence de cache-cache avec l’Alien à une séquence de gunfights contre des survivants. Quelques séquences sont également de bonnes surprises telles que les balades dans l’espace en tenue de spationaute. Le jeu propose un nombre incalculable de clins d’œil au long-métrage de 1979 ; une chose qui devrait ravir tous les fans de la licence. Un certain arsenal est mis à disposition pour venir à bout des humains et des androïdes, toutefois, l’Alien demeure immortel. Seules les flammes d’un cocktail Molotov ou du lance-flammes parviennent à effrayer la bête et à la faire fuir dans les conduits d’aération. Autant dire que l’Alien représente une menace permanente qu’il faudra absolument éviter pour ne pas mourir instantanément.

Alien : Isolation est un jeu doté d’une très bonne durée de vie (il faut compter une vingtaine d’heures pour en venir à bout). Il dispose d’une excellente ambiance sonore avec, en effet, des bruits de pas de l’Alien, que ce soit sur le sol ou dans les conduits d’aération, très bien réalisés et contribuant grandement à la tension imposée par l’arrivée du monstre. Graphiquement, le jeu est somptueux et demeure fidèle à l’esthétique de bon nombre d’éléments observables tout au long du film de 1979. En effet, dès le début du jeu, on peut remarquer que le Torrens, vaisseau que l’on aborde au début du jeu, a un évident air de famille avec le légendaire Nostromo, notamment par la présence d’une table ronde placée au centre de la salle principale. Le débarquement sur Sébastopol, saccagé par plusieurs hostilités qui y séjournent, est particulièrement réussi. L’Alien contribue grandement à la réussite de ce jeu avec son magnifique design et son IA plutôt développée (même si elle peut parfois rencontrer quelques soucis ou bugs). Le Xénomorphe représente une réelle menace et assure une sérieuse tension lorsqu’il nous pourchasse avec une vitesse inégalée. Autant dire qu’il est plus sage de se cacher plutôt que de tenter de le semer.

Le jeu est doté d’un scénario plutôt bon. On peut toutefois reprocher à Alien : Isolation quelques mécaniques de gameplay rustiques, un système de sauvegarde peu ergonomique (mais devenant stressant en raison de l’absence de pause pendant la sauvegarde) et une certaine redondance au niveau des missions. Par ailleurs, Alien : Isolation possède également deux excellents DLC qui nous proposent de revivre la fin du film Alien : le huitième passager, et ce, aux commandes de plusieurs personnages dont les apparences restent fidèles au physique des acteurs qui y jouaient (Weaver = Ripley, Kotto = Parker et Skerritt = Dallas).

Edité par Zaxx le 20/11/2018 - 17:52
Portrait de Kilarn
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A rejoint: 3 septembre 2017
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Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)
  1. Amnesia : The Dark Descent L'angoisse à son Summum. Je n'ai jamais réussi à avancer dans le jeu seul. Autant à plusieurs, c'est une promenade de santé, autant seul, j'arrive pas à y jouer plus de 15 min. J'ai le coeur qui palpite à chaque fois que je lance le jeu...
  2. Land of Lore II : Guardians of Destiny Effroi de ma jeunesse. Les pixels, les cut-scenes avec des acteurs et des effets spéciaux dégeux, les couloirs tout sombres et le gameplay rigide... TT
  3. Resident Evil 2 Un jeu offert par mon frère à 14 ans. J'avais réussi à terminer la première partie, mais ça a dû participer à l’avènement de mes crises d'angoisses (les lurkers...).
  4. Stalker : Shadow of Chernobyl Un jeu que j'ai adoré, jusqu'à avoir à traverser les égouts, les souterrains, les tunnels sans lumière... et remplis de mutants qui t'attaquent à coup de Psyko :hoopwut:
  5. Bioshock Probablement le son des tourelles qui font "QUIQUIQUIQUIQUIQUI", des Splicers qui te sautent au visage avec des crocs de bouchers dans les mains, et puis l'ambiance...

Cinéphile, amateur du Hooper depuis trop longtemps.
Letterboxd - GOG.com

Portrait de fuegosuave
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A rejoint: 4 juillet 2013
Contributions: 4077
Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)

Allez, je rajoute mon vote au classement :

1 - Resident Evil Rebirth
Mon survival horror préféré de part l'ambiance claustrophobe qu'il instaure (on se sent vraiment seul dans le manoir). En plus, c'est de loin le plus hardus des opus classiques que j'ai pu faire (même si ça reste largement surmontable). J'ai encore en tête une tonne de moments qui m'ont vraiment mis à mal : Le début du jeu quand on est perdu dans ce grand manoir, la salle piégé avec le fusil, le combat contre Lisa dans les mines, le laboratoire, le moment ou les zombies que l'on a tués se réveillent... Nul doute, c'est pour moi ce qui s'est fait de mieux dans le genre.

2 - Silent Hill 2
Pour changer des autres top :p
J'ai découvert SH2 assez récemment et le jeu m'a vraiment marqué. Cela faisait un moment qu'un jeu ne me faisait pas peur, ça m'a fait plaisir de retrouver ce sentiment oppression que j'aime tant dans le survival horror. L'idée de la radio qui grésille quand les ennemis approchent est juste géniale et tout est géré de main de maître du début à la fin (direction artistique, sound et game design...). Dommage que le jeu soit un peu court.

3 - ZombiU
OUI. Je vote bel et bien pour ZombiU.
Oui ZombiU à graphiquement plusieurs années de retard. Oui ZombiU à un scénario similaire à ce que pourrait produire un élève de 4eme dans un écrit d'invention. Oui ZombiU à des gros soucis de level design. Mais putain, ZombiU fait peur. Et il n'a pas besoin de jump scare ou de petite fille creepy pour ça.
ZombiU fait peur en nous laissant totalement seul face à des dizaines de zombies. Et il fait encore plus peur lorsque l'on se rend compte qu'il faut véritablement s'acharner pour tuer ne serait-ce qu'un seul zombie. Alors quand votre flingue n'a plus que dix cartouches et que vous vous faites coincer dans une ruelle sombre par cinq d'entre-eux ou qu'une horde se met à vous courir derrière... Oui, vous avez peur.

4 - Bioshock
Pas vraiment un survival horror mais l'ambiance horrifique est tout de même présente.
On se sent vraiment pris au piège au sein de Rapture et le sentiment de solitude se fait vite sentir (malgré tous les Chrosômes qui nous collent aux basques). C'est surtout présent en début de jeu mais pendant un bon moment, on se sent comme un renard boiteux survolé par des dizaines de faucons... Avant de débloquer les sorts overpower :)

5 - Clock tower sur SNES
Clock Tower démontre aux Five Night's at Freddy et autres Slenders que non, les jumps scare ne sont pas nécessaires pour faire peur. Pour exemple, prenez une jeune fille, laissez la seule dans un gigantesque manoir, ne lui donnez aucune arme et lancez deux tueurs psychopathes à ses trousses. Vous avez la un jeu, certes très pixélisé, mais ou l'on se sent constamment en danger et à l'ambiance fascinante.

Edité par fuegosuave le 16/11/2018 - 16:37

Et hop ! Un nouveau parlons-en !

Portrait de SilentHill
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A rejoint: 8 décembre 2011
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Re: [Le Duel de la Semaine] Spécial Halloween : TOP 5 des jeux d'horreur (jusqu'au 17/11/2018)

Salut fuegosuave :) je suis vraiment content pour toi que tu aies découvert la saga Silent Hill même si je ne sais pas vraiment quel épisode tu as fait à part le 2. C'est pour moi la meilleure série d'horreur de tous les temps j'espère 15 jours le Hooper s'y attardera avant d'arrêter complètement les vidéos.
Sinon pour BioShok ce n'est pas vraiment un survival horror seul le premier niveau et le pavillon médical cette ambiance sur tous les niveaux du jeu. Mais j'ai beaucoup d'amour pour ce jeu il fait clairement partie de mon top 10 des meilleurs jeux de tous les temps.
Sinon j'en profite pour dire que c'est vrai que je n'ai pas mis Alan Wake aussi dans mon top 5 mais c'est tellement dur après de choisir même si c'est un jeu magnifique.

Welcome to Silent Hill