Wonder Boy The Dragon's Trap (4/10)
4ème partie de l'épopée Wonder Boy The Dragon's Trap
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111 Commentaires
J'ai rarement entendu quelqu'un chialer autant sur un jeu de plateformes, c'est incroyable. Ce n'est jamais de sa faute, toujours le bonhomme qui glisse, qui monte trop vite sur les murs, la manette, le maniement, les boutons trop rapprochés, le gameplay, un bug de collision, mais! Aaaah putain de bordel de putes! Il a même sortit petite salope haha! 34:08
Hooper et le maniement c'est une grande histoire d'amour. Après les escaliers diaboliques de castlevania 4, après les échelles infernales de Ghosts'n Goblins, on remet le couvert avec la souris et les murs à carreaux. On n'est pas aidé.
Rah ouais c'est intenable... J't'aime bien Hooper mais parfois on à l'impression que tu découvre certains codes du jeu vidéo pour la première fois alors que tu as plus de 30 ans d'expérience de JV derrière toi. >_<
Tu vas quand même pas nous faire croire qu'Hooper y serait pour quelque chose dans ses fails ? Vade retro Satanas :p
Je m'éclate comme un ouf à suivre cette épopée, décidément Hooper + retro reste le combo gagnant ! ;)
Cette vidéo est critique pour la santé mental du Hooper !
Hooper, à chaque fois que tu touche un ennemis, il est stun, donc il faut continuer à les enchaîner surtout quand c'est des sac à PV, il faut pas hésiter !
Tu aurais du faire ça surtout sur les 2 cyclopes bleu à la fin, tu avais largement le temps de les toucher à l'infini avant qu'ils ne fasse leur attaque !
Ce que je trouve le plus rigolo c'est la dichotomie entre un style graphique qui respire presque l'innocence ( même si les perso font une moue un peu farouche...mais mignonne :p ) et la difficulté à laquelle on se heurte ^^.
Clairement un jeu que je ne referai pas, mais c'est toujours un plaisir de voir quelqu'un galérer dessus, tout en admirant les décors et en sirotant un smoothie bien frais X) .
La lecture des vidéos devient très problématique. Ca veut pas se lancer, ça plante en plein milieu. Chiant !
Eh oui Hooper c'est pas un jeu simple, et c'est pour ça que je déteste ce genre de jeu: trop dur à mon sens, trop de farm, trop de contraintes, trop de passages secrets du pif... C'est comme Alex kidd ou Kid caméléon, au début tu t'amuses, puis plus tard tu te rends compte que faut être méga fort pour passer certains passages et avoir des nerfs d'acier. J'ai bien fait de ne pas le prendre, je joue pour le plaisir pas pour rager :/ Pour moi, remastered ou pas c'est un mauvais jeu.
D'après ce que je lis dans les commentaires t'as pas fini de rager mon pauvre Gros Ours... donc j'ai hâte de voir la suite :D
Sauf qu'aucun passage secret n'est indispensable à trouver pour finir le jeu. Tu as également peu de "farm" à faire dans ce jeu (surtout dans le remake qui a supprimé le farm de pierres de charme par rapport au jeu d'origine sur Master System).
Sinon, le gameplay est suffisamment simple à prendre en main pour que tu apprennes assez rapidement comment surmonter tel ou tel obstacle, et le jeu est aussi basé sur la montée en puissance du héros et de son équipement afin de mieux appréhender les passages difficiles (comme un RPG, quoi : au début tu galères contre des ennemis niveau 80 par exemple au début de Xenoblade, et après une fois que tu as monté en puissance tu leur roules dessus).
En général dans Dragon's Trap, tu ne meurs pas plus de deux ou trois fois par donjon : c'est un jeu qui a une difficulté "moyenne", ça ne fait vraiment pas partie des jeux les plus durs de l'époque. Par exemple, des jeux de l'époque comme Metroid, Zelda 2, Kid Chameleon ou encore Wonder Boy in Monster Land sont nettement plus durs que Dragon's Trap. Du coup, Dragon's Trap n'est ni trop dur, ni trop facile : juste ce qu'il faut pour un joueur moyen.
Et il ne faut pas oublier Bart Simpsons vs space mutants. J'avais beaucoup de patience pour me rendre au dernier niveau, mais quand j'ai compris qu'il était labyrinthiques en plus d'être le dernier niveau, le plus dur de tous, j'ai un peu abandonné. D'ailleurs, je n'avais pas le choix d'abandonner, car rendu à ce niveau, il ne me restait souvent qu'une ou deux vies.
Bah désolée mais -pour répondre aussi à Hellipsir- mais à l'époque sur mon Amstrad j'avais plein de jeux qui étaient ultra dur sans sauvegarde et j'ai jamais pu supporter. Pour moi la plupart des jeux NES sont infâmes à cause de ça: la difficulté. Tu me parles de montée en puissance, de refaire des donjons complets avec des boss qui t'explosent à la 1ère rencontre, de franchir des portes où faut se retaper tout le passage déjà fait si on se trompe, d'augmenter ton équipement pour mieux appréhender les passages plus durs...
Tu crois qu'un gamin de 5-6 ans peut avoir la patience -en 1986 j'avais 4 ans- pour tous tes conseils, avec maman qui te disait de venir manger dans 1 minute? Moi j'avais plein de jeux sur Amstrad et la plupart c'était de vrai purge de difficulté. Je suis comme Hooper, toute cette période de la NES je pouvais pas la supporter et heureusement qu'ils ont mit des freins à ça sur les autres consoles. Alors c'est peut-être pas le plus dur mais pour moi c'est déjà de trop.
J'ai commencé à jouer quand j'avais une dizaine d'années, donc un peu plus âgée que toi ou Rudolf.
En ce qui me concerne, je ne me suis jamais dit que ce à quoi je jouais était dur à l'époque, alors que pas mal de jeux old school auxquels j'ai joué comme Megaman, maintenant je serais plus encline à me faire cette réflexion, pas forcément sur l'ensemble du jeu, mais sur certains passages ou boss.
Je me dis que soit c'est l'âge, soit je n'ai plus l'habitude du gameplay parce que je ne joue pratiquement plus à ce genre de jeux, presqu'exclusivement à des jeux "modernes". Chaque fois que je m'y mets, j'y trouve une certaine difficulté, mais si j'abandonne définitivement le genre, viendra un jour où je ne pourrais plus y revenir tellement ça sera dur ^^.
En fait, il faudrait que je joue plus à ce genre de jeux pour me réhabituer au gameplay.
Il y a des jeux modernes au gameplay typé old school comme "Hollow Knight" que j'ai un peu essayé, très chouette, mais y a des moments frustrants et là aussi, on pourrait considérer que le perso a un maniement bizarre quand il fait son attaque de base, il a un petit mouvement de recul qu'il faut prendre en compte, un peu comme il faut prendre en compte le petit glissement du perso dans Dragon's trap.
C'est une blague, ta question ? Les gamins de l'époque (dont moi) étaient super patients, capables de passer des heures et des heures à refaire le même passage pour y arriver. Moi j'ai commencé le jeu vidéo vers 3 ans, et déjà à 5 ou 6 ans, j'étais capable de m'investir longtemps sur un jeu vidéo, et vers 7 ou 8 ans j'avais passé un an sur Ecco the Dolphin sur Megadrive jusqu'à le finir. Je pense que je suis très loin d'être le seul gamin comme ça à l'époque.
Non, les gosses de l'époque étaient très patients au contraire, à part toi peut-être. ^^
Je ne sais pas comment tu faisais pour avoir plein de jeux Amstrad à l'époque, alors que les jeux vidéo coûtaient plus cher qu'aujourd'hui : piratage ? :-p
Moi en tout cas, j'avais peu de jeux, donc je m'investissais beaucoup sur un même jeu, jusqu'à y arriver. Ca n'a rien à voir avec l'époque actuelle où les gosses aujourd'hui disposent d'une corne d'abondance, donc ne voient plus trop l'intérêt de passer du temps sur un même jeu difficile.
Et puis normalement avec l'âge, le niveau d'un joueur augmente ainsi que son expérience, donc les jeux qui semblaient très durs à l'époque pour un enfant le sont nettement moins pour un adulte plus expérimenté. Par contre, ce sont les adultes qui sont moins patients que les gosses (ou bien ont tout simplement moins le temps de jouer, ce qui est souvent lié). Et puis moi perso, si je perds deux ou trois vies dans un niveau, je n'appelle pas ça de la difficulté, mais simplement une progression normale dans un jeu vidéo.
Donc pour revenir à The Dragon's Trap, la difficulté est très dépendante de ton équipement, ainsi que des niveaux que tu visites trop tôt comme le volcan ou les souterrains. Mais si tu fais les choses dans l'ordre, avec un équipement à jour et quelques fioles, ça passe sans problème. C'est vraiment un jeu ni trop dur, ni trop facile.
Et pour franchir des portes qui te ramènent au village du début sans s'en rendre compte, il faut limite le faire exprès alors qu'on peut lire un "RETURN" écrit bien gros au-dessus de l'écran en question.
Pas du tout d'accord avec toi: les gosses de mon âge n'avaient pas forcément plus de patience surtout sur des jeux durs. J'avais un pote qui jouait à Earthworm Jim bah il n'a jamais passé le monde aquatique avec la bathysphère et il m'a dit clairement en me le prêtant "tu verras le jeu est magnifique mais c'est insupportable à jouer. Trop dur, trop limite." Et je vois mal des gosses de 6 ans passer des heures et des heures sur un jeu avec les parents et le reste autour. Moi si je jouais 1 heure par jour c'était le grand max. Bref lire que les gamins --de l'époque ou aujourd'hui- ont de la patience ça me fait bien sourire. Le "c'était mieux avant " je suppose.
Mais comme tu le dis il n'y avait surement que moi qui n'y arrivait pas à Earthworm Jim et les autres jeux du genre. Toute la planète le faisait sans pester et rager sauf moi. Un peu comme Hooper où ya que lui qui ne comprend jamais rien, bien sûr.
J'en sais rien, mon père a apporté un Amstrad à la maison avec plein de disquettes de jeu. Mais de base c'était soi disant pour le travail, il était dans le salon. Et voyant que yavait que moi et mon frère dessus, il a déménagé dans ma chambre -j'étais plus joueuse que mon frère qui préférait jouer dehors. Il jouait aussi mais hormis les Fifa ou Mario kart il jouait rarement, très rarement. Il était fort à Mario kart sur super nes n'empêche.
@Apolline : Bah écoute, moi j'étais très patient à l'époque. Mes frères quand ils étaient gosses étaient aussi hyper patients, à recommencer des tonnes de fois le niveau de la Mort de Castlevania 1 (jusqu'à y arriver) ou le premier Mega Man (jusqu'à y parvenir). Et je suis très loin d'être un cas isolé.
Moi je maintiens qu'à l'époque, vu que les gosses ne vivaient pas dans l'abondance comme aujourd'hui, que les jeux vidéo étaient bien plus cher qu'aujourd'hui du point de vue du pouvoir d'achat de l'époque, ils s'amusaient sur le peu de choses qu'ils avaient, et donc ils étaient très patients à refaire tout le temps la même chose. Aujourd'hui, ce n'est plus pareil, les gosses vivent dans l'abondance et disposent de jeux bien plus faciles, donc ils passent beaucoup moins de temps à faire la même chose et ont tendance à beaucoup plus "zapper" d'un jouet à un autre. Ce que tu racontes sur ton enfance me confirme ce que je pense : tu étais dans l'abondance de jeux sur Amstrad, donc tu ressentais moins l'envie de passer beaucoup de temps sur un même jeu difficile, tu préférais zapper vers un autre jeu.
En tout cas, si les jeux 8 bits se vendaient à l'époque, ça veut donc dire que j'étais très loin d'être le seul gosse à m'amuser sur les jeux difficiles et à y passer énormément de temps dessus pour aller le plus loin possible.
PS : Ah, et tout de même, vu que tu cites Hooper, c'est un mauvais exemple vu que c'est quand même un joueur très patient et persévérant.
Je suis en retard sur la conversation mais juste pour dire que je suis entièrement d'accord avec un peu tout ce que tu as dit :
D'abord le jeu n'est pas si dur que ça comme tu dis, et même pour l'anecdote c'est le premier jeu vidéo auquel j'ai joué et aussi que j'ai fini dans ma vie, alors ok à l'époque ça m'a pris plus longtemps parce que j'avais 4-5ans et que j'avais évidement aucune soluce ni rien (internet c'était de la science fiction et les magasines et tout je risquait pas d'en acheter non plus), et sans aide alors que j'étais vraiment jeune.
Et à l'époque on avait la peau vachement plus dur justement, parce qu'après j'en ai fini d'autres jeux qui étaient largement plus chaud, comme New Zealand Story par exemple sur lequel j'ai joué et rejoué et rerejoué à l'infini parce qu'il était d'une difficulté monstre par exemple.
Même les Sonic je trouvais que c'était pas si difficiles que ça alors que quand je les ressort aujourd'hui (ceux sur MasterSystem) je galère vachement plus que quand j'étais enfant hahaha.
Enfin bref c'est que des exemples au pifs mais des jeux vachement chaud yen avait masse et au contraire on s'acharnait GRAVE dessus en fait, on lâchait pas du tout l'affaire (quitte parfois à passer des mois sur un jeu sans jamais réussir à le finir dans les cas les plus extrêmes), et tout mes potes étaient comme ça aussi en fait. ^^'
Donc non je pense pas qu'un gamin qui a tout le temps de jouer, se lasse pas vite, et en plus a pas forcément des dizaines de jeux sous la main comme tu dis, sera moins patient qu'un adulte qui lui dira "mais j'ai autre chose à foutre!" au contraire. :p lol
Enfin pardon c'est peut-être un peu confus mon message entre les moments ou je m'adresse à Rudolf et ceux où je m'adresse à Appoline je crois que parfois je me suis un peu emmêlé les pinceaux même si je suis pas sûr haha, j'espère que j'ai été compréhensible! Bonne soirée!
J'avais un MO5 et un Amstrad CPC 6128 vers 1985/1988 (après mon frère a pris un Atari ST et moi une NES) et je devais avoir une super patience à recommencer encore et encore le niveau 1 d'un jeu sans jamais arriver à voir le niveau 2... C'est seulement sur NES que j'ai commencé à voir la fin des jeux avec les Mario, MegaMan 2, Zelda... Mais sur MO5, le temps de chargement de la K7 durait plus longtemps que ma partie. J'avais 7/10 ans à cette époque. La Geste d'Artillac, jamais rien compris, j'étais fasciné par l'ambiance, je le lançais souvent mais rien. Déçu par la réalité du jeu quand j'ai vu un longplay sur le net l'année dernière... Sinon, y avait Crystann le Donjon de Diamants sur MO5 sur lequel j'avais beaucoup joué et pas mal avancé, mais sans jamais réussir. Les sauts étaient vraiment bizarres (montée verticale puis déplacement d'une case à droite ou à gauche, puis redescente...) mais j'adorais l'ambiance de ce jeu. James Debug et le mystère de l'île perdue, pareil.
Sur Amstrad, les Saboteur, Cauldron, Au revoir Monty, et des tas d'autres (piratés pour la plupart, comme sur Atari ST, et pour ma défense, c'était des ordinateurs achetés d'occasion par mon frère et on avait juste récupéré l'ensemble des disquettes qui allaient avec, que le gars avait d'on ne sait où, sinon j'ai toujours acheté neuf à partir du moment où on a eu ces machines), ben ces jeux, idem, niveau 1 ou premiers écrans plutôt, par cœur, et puis morts à répétition pendant toute ma carrière sur ces machines... Jamais finis.
Ah, qu'est-ce qu'on s'éclatait sur un rien à l'époque... Les développeurs avaient même pas besoin de mettre un niveau 2 ou une fin, on les voyait jamais et on s'amusait quand même !!! (non, c'était pas mieux avant)
Sur Atari ST ça a commencé à devenir jouable et j'ai commencé à voir plus de niveaux, mais jamais de fins...
C'est vraiment sur 16-bits que j'ai vraiment terminé tous les jeux que j'avais à chaque fois, en insistant.
Mais Wonderboy The Dragon's Trap faisait partie des jeux "faisables" de l'époque à mon avis. Y avait les mots de passe pour faire une pause, et on était quand même guidé par les obstacles infranchissables si pas telle ou telle forme, ou telle armure (contre la lave par exemple). Mieux que les foutus combats pierre-papier-ciseaux de Alex Kidd in Miracle World ! (Super de perdre toutes ses vies parce que tu sors pas la bonne main sur un jeu de hasard....) Et mieux que certains sauts millimétrés de Astérix sur Master System, impossibles avec Obélix par exemple... Ah si, le Sonic de la Master System je l'avais fini sans trop de souci aussi.
Ah, merci la "casualisation" des 16-bits... Z'avaient enfin compris que 99% des joueurs 8-bits auraient bien eu envie de finir leurs jeux achetés 400 FF (en même temps, ils continuaient de tout donner sur le 1er niveau, magnifique, et pas trop sur les derniers que seuls 1% des joueurs verraient...). Quand je vois des joueurs d'aujourd'hui regretter ce temps-là, je me dis que c'est surtout parce qu'ils y (re)jouent sur émulateurs et peuvent se servir des savestates s'ils ragent trop. Et ils n'ont pas mis 60 euros pour y jouer. Ca relativise la difficulté d'un jeu. Encore plus vrai pour les jeux d'arcade. R-Type plaît aux joueurs d'aujourd'hui parce que les crédits ne valent pas 10 FF mais l'appui sur une touche du clavier... Et ça critique les DLC payants....
Ah, le bon vieux temps où passer 50h sur le premier niveau d'un jeu sans jamais voir le 2ème était vu comme une excellente durée de vie...
Même sur 16 bits certains jeux étaient bien corsés, mais ce qui était bien c'est d'avoir le choix entre plusieurs niveaux de difficulté ... On voit souvent Tintin au Tibet cités dans les jeux hypers durs, mais il y avait un mode facile, et des mots de passe donc il était faisable ! Mais c'est vrai que pour ma part j'étais plus patient plus jeune, je pouvais recommencer un jeu comme Mister Nutz qui était très bon mais sans sauvegarde, ou encore le mauvais Batman Forever qui est déjà une purge en niveau moyen alors je n'ose imaginer en mode hard ... mais je l'avais fini ;-)