Bienvenue a vous. J'ai lus beaucoup de livre d'héroic fantasy et j'ai eu envie d'écrire le mien. Si vous avez 5 minutes a perdre j'apprécierai que vous me dites ce que vous en pensiez et vos conseil aussi (pourquoi pas). J'écrirais chaque chapitre suivants en fonction de vos conseil donc n'hésitez pas. J’espère que vous prendrez autant de plaisir que j ai a écrire que vous à lire.
Chapitre1 : Rencontre
C'est une erreur dont je me repentirai toute ma vie. Mais ce jour d’été, le ciel était si bleu qu’aucun malheur ne semblait pouvoir si inscrire. Sa Majesté Antoine fêtait le dixième anniversaire de sa victoire sur le roi Dylan. Certains augures nous annonçaient une paix durable. Aucun n’avait prévu que ce jour resterait dans l'histoire comme l'élément créateur de la guerre éternelle. Le capitaine Storm, conseiller militaire du roi Dylan, avait été invité en tant qu’ambassadeur, à partager nos réjouissances. Il s'avança jusqu’aux trônes, où siégeaient Antoine et la reine Blanche. Arrivé devant eux, il prosterna, un genou à terre, courbant la tête, une main prenant appuis sur le pommeau de son épée. Je confesse le crime de ne m’être pas méfié. Naïf que j’étais ! Je croyais Storm chevalier de parole, et tout aussi désireux que moi de voir la paix s’installer entre nos deux royaumes. J’ai compris la félonie au moment où, alors que le roi s’était avancé tendant une main amicale à Storm pour l’enjoindre de se relever, j’ai entendu siffler la lame hors du fourreau. « Voyons vieillard sénile à qui vous manquerez », s’écria-t-il en brandissant son arme. Antoine n’a pas péri sous l’assaut. Au moment où la lame du traitre s’abattait, elle rencontra une autre lame. Non pas la mienne, mais celle de notre reine. Storm s'attendait à tout sauf à cela. Blanche connaissait l’art du combat. Les meilleurs maîtres escrimeurs lui avaient enseigné le maniement de l’épée. Et elle s’était battue bien des fois à nos côtés dans la bataille. Quelques passes lui suffirent à défaire l’agresseur. Storm chuta sur le sol, et en un instant, la reine fut sur lui, enfonçant un pouce d’acier de sa lame dans la nuque du traitre. Lorsqu’elle se pencha sur lui pour le désarmer, le démon lui lança de la poudre de Salva divonorium au visage. Une quantité suffisante pour faire tomber un éléphant dans un coma profond. « Ta mort fera l’affaire maudite femelle ! » s’écria le démon. Au même instant, des cris montèrent de la foule « Tuez ! Tuez ! » La moitié des sujet présents étaient des sujet du roi Dylan . Des poignards, des épées, jaillirent de partout frappant les innocents comme les hommes de la garde. Dans la cohue qui suivit, Storm s’empara de la reine, et parvint à s’enfuir avec son otage.
Depuis, nous somme sans nouvelle de la reine. Mais si le complot a bien été ourdi par Dylan, nous n'avons plus d'espoir d'en recevoir un jour. A l’heure où j’écris ces lignes, la reine est sans doute morte
Déposition du commandent Cody
Assis au bord de la falaise, Marius regardait le soleil se noyer dans les flots rouge sang. « Je ne tiendrai pas une journée de plus dans ces conditions », pensait-il. Dix jours plus tôt, le garçon avait quitté la chaumière familiale pour soulager ses parents. La guerre, une fois de plus, ravageait le royaume. Les moissons saccagées, les villages incendiés, les animaux sacrifiés, les hommes égorgés. Dans les villages, les soldats réquisitionnaient les provisions. Voyant ses frères et sœurs mourir de faim, Marius avait décidé de mener seul sa vie. Il espérait trouver un travail qui puisse subvenir à ses besoins mais, jusqu'ici, il n'avait pas eu beaucoup de chance. Pour ainsi dire il n'en avait pas eu du tout.
Marius était un jeune homme assez ordinaire avec des cheveux blancs de naissance, une tête fine, un corps maigre en raison de son absence d'activité physique. Il portait un simple habit de toile grise. Sa mère et son père étaient paysans mais, ayant espéré un plus bel avenir pour leur fils, ils s'étaient sacrifiés pour lui offrir des maitres qui lui enseignèrent diverses matières, de la philosophie aux mathématiques, en passant par l'histoire. Marius s'était toujours senti privilégié par rapport aux autres enfants qui devaient travailler de leurs mains. Maintenant qu'il était seul, il les enviait. Eux, savaient se débrouiller pour survivre dans ce monde de folie.
Tout le contraire de lui. Ses parents ne lui avaient enseigné ni à chasser, ni à pécher. Il n'était même pas capable de reconnaître les plantes comestibles pour se nourrir. « Je ne sais du monde que ce que j'en ai lu dans les livres », soupirait-il. Il avait tenté de trouver du travail à la ville mais partout on lui avait claqué la porte au nez. Soit il n'avait pas les capacités requises, soit il était trop jeune, soit il n'y avait pas d'embauche. Il avait bien essayé d'insister, mais certains l'avaient repoussé en le menaçant de le battre s'il ne quittait pas les lieux sur le champ.
Marius réfléchissait à une éventuelle solution. En vain. Il n'avait rien mangé depuis son départ. Sa tête bourdonnait. Ses jambes tremblaient. Sa vue se brouillait. Au loin, l'astre du jour avait presque disparu pour laisser place à un ciel noir et implacable. Cette nuit serait probablement sa dernière. Comme animé par une force invisible, Marius se dressa sur la crête de la falaise. Il contempla la forêt qui s'étendait à ses pieds. Grande majestueuse. Marius ne pouvait en voir le bout. Il avait déjà entendu ses parents parler de ces lieux de sinistre réputation et baptisé « la falaise des suicidés. Ici, disait-on, des dizaines de gens avaient mis fin à leur vie. Comme il s'apprêtait à le faire Pour se donner du courage, il inspira une grande bouffé d'air, puis murmura :
— Là où je vais, je n'aurai jamais faim, jamais soif. Je n'ai qu'un pas à faire, un seul pas et tout sera fini…
Soudain, le bruit d'une cavalcade le ramena à la réalité. Au loin, à la lisière de la forêt, il vit une masse d'où émergeaient les étendards, orné d’un iris. Cette fleur lui rappelait quelque chose, mais quoi ? Alliés ou ennemis ? C'était le dernier de ses soucis. Marius écarta les bras et ferma les yeux, prêt à se jeter dans l'abîme.
C'est à cet instant que la douleur irradia dans la chaire de sa cuisse. Baissant son regard sur sa jambe, il vit alors avec horreur qu'une lance la traversait de part en part. Un des cavaliers en armure blanche s'approcha de lui. Il retira son heaume révélant un visage jeune, des cheveux brun, et un regard bienveillant. Marius ne put s'empêcher de constater que la nature avait été injuste. Le chevalier était bien bâti, musclé, et sa physionomie irradiait la noblesse. Marius apercevait même un fourreau incrusté d'onyx et d'émeraudes.
— Ne bouge plus mon garçon ! s'écria l'inconnu.
Puis Marius entendit une autre voix, plus douce :
— Cela m'étonnerait beaucoup qu'il puisse aller où que ce soit avec ma lance plantée dans la cuisse.
Celle qui venait de prononcer ces mots était une femme aux cheveux châtain courts. Elle portait un pourpoint brodé et son front était couronné d'un diadème, surmonté d'un iris d'or. En outre, elle chevauchait un magnifique étalon à la robe immaculée, blanche comme les neiges éternelles des monts Pandox. Un instant, Marius se sentit insignifiant devant ce couple. Leur prestance, leur aura, rendait même le plus grand héros insignifiant, songea-t-il. Puis, il sentit ses forces l'abandonner. Le fer de la lance lui brulait la jambe. Il s'affaissa, tomba à genoux, comme au ralenti. La terre sous lui se déroba. Et, comme dans un cauchemar, il bascula par-dessus le bord de la falaise.
— Attrape-le ! hurla la femme.
L'homme en armure se précipita, mais sa monture au même moment, se cabra pour le jeter à terre. Dans sa chute, le chevalier roula dans un fracas de ferraille, et, à la suite de Marius, tomba dans l'abîme.
Marius tombait trop vite pour que le chevalier puisse faire quelque chose. S’il était sûr que la chute ne lui ferait pas grand-chose, grâce à son physique et son armure, il nourrissait davantage d’inquiétude pour Marius. N'ayant d'autre possibilité, il marmonna une prière rapide et se prépara au contact avec le sol.
La première chose que Marius ressentit en ouvrant les yeux, fut une douleur atroce à la tête, comme si un forgeron fou s'était servi de son crâne comme d'une enclume. Sa jambe aussi le faisait toujours souffrir mais, prenant sur lui, il fit un bilan de son état. En observant attentivement sa cuisse endolorie, il remarqua que la lance avait disparu et qu'une bande de tissu enserrait sa blessure. Il constata aussi que sa jambe était surélevée par un empilement de branchages. Scrutant l’obscurité autour de lui, il constata qu'il se trouvait non pas au pied de la falaise mais dans une clairière de la forêt, allongé sur un brancard de fortune, fait lui aussi de branchages. A l'opposé, son regard se porta sur une chaîne de montagnes se perdant à l'infini. A trois reprises, Marius tenta de se relever sans y parvenir. Epuisé par ces efforts, il se laissa retomber sur sa couche, avant de plonger à nouveau dans un profond sommeil.
A son réveil, la nuit était complètement tombée et un feu brûlait à ses côtés. Il pouvait sentir sa chaleur réconfortante et voir danser ses flammes. Qui avait allumé ce feu ? Le cœur de Marius fit un bond dans sa poitrine. Il se redressa pour se mettre en position assise mais, un bras musclé le plaqua aussitôt sur son lit de douleurs.
— Ne bouge pas ! C'est déjà un miracle que tu sois vivant, alors ne tente pas le diable, ordonna une voix grave.
L'esprit confus, Marius dut faire un effort pour se souvenir de la scène sur la falaise. Il tourna la tête s'attendant à découvrir la noble silhouette du chevalier en armure, mais il ne distingua, assis à côté de lui, qu'un homme revêtu d'une tunique déchirée qui laissait entrevoir une musculature impressionnante. L'homme se leva pour ramasser des branches mortes qu'il jeta sur le feu. Puis il contempla le garçon d'un regard calme.
— Comment t'appelles-tu ? lui demanda-t-il.
— Marius...
— Enchanté, rétorqua l'homme. Je suis Cody, chef de la garde, général en chef, et conseiller militaire de sa majesté Antoine1er.
Voyant l'air perplexe de Marius à l'énoncé de ses titres, il s'empressa d'ajouter :
— Tu peux m'appeler Cody.
Rassuré, Marius tenta à nouveau de se lever. A peine bougea-t-il la jambe qu'il poussa un cri de douleur. Effrayés, des oiseaux qui s'étaient rapprochés dans les arbres près du feu s'envolèrent. Cody lui-même sursauta et abattit sa main sur la poitrine de Marius pour le maintenir allongé sur son brancard.
— Je te l’ai déjà dit : ne bouge sous aucun prétexte ! Mon garçon, il semble que tu n'aies aucune idée de l'état de ton corps après cette chute, lui intima-t-il.
— Désolé, soupira Marius.
— Je vais t'expliquer, poursuivit calmement Cody. Te souviens-tu du moment où tu as voulu mettre fin à tes jours ?
— Oui, souffla le blessé.
— Nous surveillions les frontières suite à des rapports troublants qui nous indiquaient la présence de troupe du roi Dylan sur nos terres.
Marius se remémora ce qu'il avait appris sur l'histoire du pays.
— Des troupes du roi Dylan ? Je croyais que la guerre était finie…
— Il n’y aura jamais de paix ! tonna Cody. Tu sais que Dylan a tué la première femme de notre roi Antoine 1er. Alors tous les prétextes pour faire livrer bataille sont bons à prendre. Soit Dylan a dépassé le nombre de troupes autorisées par le traiter de paix ou simplement il a refusé une invitation.
— Quel rapport entre cette histoire et la mienne ? demanda Marius.
— Même si le roi Antoine ne te connait pas, tu es un de ses sujets et nous avons juré protection à tous ses sujets. Aussi, quand nous avons compris que tu voulais mettre fin à tes jours, nous avons décidé d’intervenir. Dans la précipitation - car nous n'avons pas l'habitude de ce genre de situation - la reine t’a blessé avec sa lance pour t’empêcher de sauter...
— La reine ! Mais que faisait-elle avec vous ? N'est-ce pas trop dangereux ? interrogea Marius
— C'est compliqué à expliquer, mais sache que la reine est plus forte que moi, rétorqua Cody en baissant la voix.
Il resta un moment silencieux, puis se leva pour aller s’installer près du feu.
— Son altesse pensait pouvoir t'immobiliser. Le problème, c’est que tu étais trop près du bord de la falaise, et coup t'a poussé dans le vide. J'ai voulu intervenir mais mon cheval a fait un écart. Tu connais la suite...
Marius leva les yeux. Le haut de la falaise disparaissait dans les ténèbres de la nuit.
— Comment ai-je survécu à une telle chute ? demanda-t-il.
— Il faut croire que tu as plus de chance que tous les brigands de taverne du royaume réuni ! s’esclaffa Cody. Tu es tombé sur le feuillage des arbres qui ont dû amortir ta chute. Quand je t’ai ramassé, tu avais perdu connaissance, mais le fait est que tu étais bel et bien vivant. Et j’ai pansé ta jambe.
Cody avait prononcé ces mots d'une voie neutre, mais Marius vit quelques larmes rouler sur la joue de Cody.
— Ne te crois tiré d’affaire pour autant, Marius. La plaie de ta jambe n’est pas belle à voir. Si on ne trouve pas le moyen de te soigner mieux que cela d’ici deux jours, j’ai bien peur que tu ne sois plus de ce monde, dit Cody.
— Mais pourquoi ? souffla Marius
— Dans la précipitation Sam, enfin je veux dire la reine, a tiré beaucoup trop fort et la lance a provoqué une hémorragie.
Au final, Marius s'en moquait. Mourir fracassé au bas de la falaise ou vidé progressivement de son sang, changeait pas grand chose. Il allait quitter ce monde qui ne voulait pas de lui pour un monde qu'il pensait meilleurs.
— Qu'il en soit ainsi, dit-il calmement. Dans deux jours, tout sera terminé…
Cody avait arpenté bien des champs de batailles, et il avait vu bien des braves mourir. Mais il n'avait jamais entendu de paroles aussi désespérées. Il n'avait jamais rencontré d'être aussi vide d'espoir. Il se dressa d’un bond et se mit à marcher de long en large, cherchant des arguments à répliquer.
— Si tu souhaites mourir, c'est ton droit ! Mais si tu es quelqu'un de bien, ce dont je ne doute pas une seconde, tu auras l’amabilité d’attendre que nous ayons quitté cet endroit maudit !
— Et pour quelle raison ? s’étonna Marius.
— Parce que si tu meurs ici, ce seront deux vies que tu enlèveras, répondit sèchement Cody.
Marius nageait dans l'incompréhension la plus totale.
— Qu'est-ce que cela change si je meurs ici ou là-bas, rétorqua-t-il en élevant la voix. Au contraire, vous reviendrez plus vite chez vous si vous n'avez pas un blessé à vos côtés pour vous ralentir. Et vous retrouverez plus vite votre cheval, votre reine et votre vie de guerrier !
Marius avait prononcé ces mots du même ton que s’il avait parlé de la pluie et du beau temps. Cody lui tourna le dos, afin de cacher son trouble.
— J’ai tué des dizaines d'hommes… J’ai détruits des familles entières, assassinés des enfants pour les empêcher de devenir des hommes forts et prendre les armes contre notre roi. J’ai incendié des villages, ravagé des cultures… J'ai anéanti en quelques minutes ce que des hommes avaient mis une vie entière à bâtir. J'ai envoyé des hommes sacrifier leur vie pour une cause qu'il leur était inconnue… Alors ne me dit ce que je dois faire !
La voix de Cody roulait comme le tonnerre dans un ciel d’orage. Marius, soudain, sentit ses forces l’abandonner à nouveau. Cette conversation l’épuisait.
— Si vous n'aviez pas tué ces hommes, ce sont eux qui auraient pris votre vie. Vous êtes un grand guerrier, voilà tout ! lâcha Marius en grimaçant de douleur.
— Un grand guerrier ? Un grand guerrier ! Les gens m'acclament comme un héros, comme leur sauveur, c’est vrai. Le roi m’appelle « brave parmi les braves » et me récompense pour mes exploits. Mes exploits ! Tu sais ce que sont mes exploits ? Je vis avec les cris des enfants dans ma tête… Les supplications de leurs mères, les flammes qui ravagent leurs maisons, et l’odeur de leurs cadavres calcinés me hantent jour et nuit. Mon passé n’est qu’un gigantesque charnier. L’incendie qui brûle dans ma mémoire ne s’éteindra qu’avec ma vie. Je peux te dire que je connais la tentation d'en finir ! C'est avec miracle que je trouve la force de me lever chaque matin…
La douleur à présent irradiait Marius. Elle prenait naissance dans sa cuisse et remontait le long d’un fil incandescent jusqu’à son cerveau.
— Quel rapport avec moi ? marmonna Marius. Faites ce que vous voulez de votre vie, et laisser moi faire ce que je veux de la mienne.
— Je ne me reste pas assez de jours à vivre pour racheter les fautes de mon passé, Marius. Ce n’est pas une raison pour renoncer. J’ai fait vœux d’être utile… Assez de sang ! Assez de larmes ! Si je t’abandonnais ici, je ne serai plus un homme mais une abomination. Alors que ce soit par la force ou avec ta collaboration, je vais te ramener. Même si je dois t'assommer pour ça.
Tout en disant ces mots, Cody sortit son épée de son fourreau. Marius tressaillit. Dans la lueur dansante des flammes, il le fit alors embrocher quelque chose sur sa lame avant de mettre à rôtir sur le feu. Une odeur de viande grillée lui chatouilla presque instantanément les narines.
— Vous avez un plan ? marmonna Marius.
— Pas vraiment, répondit Cody, mais j’y réfléchis.
— Vos hommes ne vont-ils pas tenter de venir nous chercher ? Nous n'avons qu'à trouver un moyen d'indiquer notre position, proposa Marius.
— Et sinon ? Il t'arrive d'écouter quand on te parle ? demanda Cody
Marius qui ne s'attendait pas à ce type de réponse, se renfrogna.
— Nous sommes dans le royaume de Dylan. A ton avis, comment réagira-t-il si mes hommes pénètrent sur son territoire ? demanda Cody.
— Trouvons un village, et demandons notre chemin, proposa innocemment Marius.
— Interroge n'importe qui, et il y a une chance sur deux pour que tu tombes sur quelqu’un dont j'ai tué un membre de sa famille. Ou que j'en sois responsable, c’est pareil. Et malheureusement, j'ai une tête que l'on n’oublie pas.
— Qu’allons-nous faire alors ? demanda Marius.
Cody retourna auprès du feu pour retirer sa broche improvisée.
— On réfléchit mieux le ventre plein. Te sens-tu capable de manger ?
Marius prit le morceau que Cody venait de découper et de lui offrir. Il planta ses dents dans la viande et arracha une bouchée. Il ferma les yeux de contentement lorsque le goût du lièvre envahit son palais.
Cody vint s'assoir à côté de lui. Les deux hommes mangèrent en silence, puis le chevalier se leva pour remettre du bois sur le feu.
— Tu devrais dormir et prendre des forces, conseilla-t-il au garçon.
Marius se laissa retomber sur sa couche et, à peine eut-il fermé les yeux, qu'il sombra dans un profond sommeil. Cody qui le regardait soupira.
— Utilise ta matière grise tête de pioche si tu veux te sortir de ce guêpier, murmura-t-il en se frappant la tempe de l’index.
je vois que personne est motivé a tous lire lol
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Car ce n'est qu'un tissu de mensonge!
Premièrement je ne suis jamais en colère. Le titre est donc faux.
Non j'ai les cheveux brun, une grosse tête imposante et je me démarque par mon corps musclé qui rendrai jaloux Hulk.
Faux je suis toujours habillé avec des vestes à 400 balles, en costard, un short déchiré par mes nombreux combats et avec des baskets nike air max.
Mouais c'est presque ça.
Non ça m'a toujours gonflé.
Et le reste n'est qu'une simple fan-fic qui ne respecte pas la grandeur de mes aventures.
Il y a les jeux vidéos, et il y a Pit Fighter.