Super Mario Kart

Bien, suite à cette blague au goût plus que douteux, je vais rédiger des excuses en différentes parties qui aborderont distinctement les raisons qui m'ont poussées à la faire, le contexte de cette plaisanterie, et présentant des circonstances atténuantes pouvant m'être accordées.

Mais en premier lieu, je m'excuse auprès de Pihoo qui vient juste d'arriver sur le site, qui est toute gentille et mignonne et qui n'a rien demandé à personne, mais qui s'en prend quand même plein la figure.
(...Et merde cette phrase est totalement dégueulasse.)
Donc Pihoo, saches qu'en vrai, il est bien évidemment hors de question de partager qui que ce soit, et loin de moi l'idée de réellement considérer les femmes comme des choses à "faire tourner".
Je sais que ce sont des personnes. Des personnes à faire tourner donc. \o/

Bien suite à cette deuxième blague ignominieuse et répugnante, je vais rédiger un autre texte d'excuse dans ce texte d'excuse afin d'... Euh, non en fait ça va foutre la merde, donc je vais simplement continuer normalement.

Je souhaite donc aborder le premier point en attirant votre attention sur le fait que bien que ces propos peuvent paraître choquants, ils n'en restent pas moins un simple persiflage.
Certes les âmes les plus sensibles pourront se sentir offensées, mais c'est bien pour ça que je prends la peine de l'expliquer ici. Qu'elles se rassurent donc, je ne fait pas partie de ces gens qui frappent leur conjoint, ni qui l'insulte à longueur de journée. Ce qui est logique puisque je suis célibataire...T_T
Balancer des saloperies, sur le ton de l'humour me permet d'évacuer la pression. Je sais bien que ce n'est vraiment pas facile tous les jours, et que certains sont dans des situations très graves, mais à mon sens l'humour gras/gore/trash est justement une bonne occasion de se le rappeler sans forcément déprimer à cette idée.
Après , je sais bien que peu de gens y sont réceptifs, et que beaucoup ne trouvent pas ça drôle et même de mauvais goût.
Et ils ont tout à fait le droit de ne pas aimer ce genre d'humour.
Dans ce cas, merci de ne pas en tenir compte, et dites-vous simplement que cette vanne ne vous est pas destinée.

En parlant de vanne, j'en viens au deuxième point qui sera l'explication de la dite gauloiserie.
Elle fait référence à tout ce délire que Yess à mis en place et toutes les réponses qui s'en sont suivit et que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire, c'était bien fun.^^
Du coup, comme il "partage" mon avis j'en profite pour lui glisser ce clin d'œil grivois.
Clin d'œil donc ; )

Quant au troisième point, il concerne ma situation personnelle. Et elle est grave : Je vis dans le Loir-et-Cher. Oui.
Vous ne savez pas le placer sur une carte ? C'est normal, personne ne le sais. Même les géographes ne sont pas d'accord sur le sujet.
Alors c'est sûr, on est pas très finaud, et un peu rustique, mais on est quand même des bons gars.
Et malgré l'isolement, on est tenu au courant des évolutions de la société. Tiens justement, l'autre fois, un messager de la capitale est venu au marché pour nous parlé des nouvelles lois sur les femmes, et la considération ou je sais pas quoi.
Mais nous on avait déjà pris des mesures. Nos femmes on les fait plus vêler dans la cuisine. Ça fait déjà un moment qu'on a aménager une pièce dans une arrière salle du foyer communal, c'est vachement mieux. : )
Tout ça pour dire, même si les manières nous manquent et qu'on est un peu brute, on a quand même un bon fond. Faut pas nous juger trop vite.

Quatrièmement, j'ai pas fini de déblatérer toutes ces conneries. Et non ! J'ai fait croire au début que ça serait structuré et concis, mais en fait à force de rester à moitié sérieux d'un côté et de raconter des gaudrioles de l'autre, j'ai pété un câble et maintenant je vais continuer à dire n'importe quoi.
Je me demande combien de personnes vont réussir à tout lire. D'ailleurs pour être bien fourbe et décourager même les plus téméraires, je vais coller un texte ici. Ça fera un pavé bien massif et indigeste.
Je vais mettre du Freud. Comme la gaillardise initiale tournait autour de la bite, ce sera raccord. Il aime bien tout ce qui tourne autour de la bite Freud. En plus ça fera comme si j'étais intelligent.

Il y a un concept fondamental […] dont nous ne pouvons nous passer en psychologie : c'est celui de pulsion […]
Par poussée d'une pulsion on entend le facteur moteur de celle-ci, la somme de force ou la mesure d'exigence de travail qu'elle représente. Le caractère « poussant » est une propriété générale des pulsions, et même l'essence de celles-ci. Toute pulsion est un morceau d'activité ; quand on parle, d'une façon relâchée, de pulsions passives, on ne peut rien vouloir dire d'autre que pulsions à but passif.
Le but de la pulsion est toujours la satisfaction, qui ne peut être obtenue qu'en supprimant l'état d'excitation à la source de la pulsion. Mais, quoique ce but final reste invariable pour chaque pulsion, diverses voies peuvent mener au même but final, en sorte que différents buts, plus proches ou intermédiaires, peuvent s'offrir pour une pulsion ; ces buts se combinent ou s'échangent les uns avec les autres. L'expérience nous autorise à parler de pulsions « inhibées quant au but », dans le cas de processus pour lesquels une certaine progression dans la voie de la satisfaction pulsionnelle est tolérée, mais qui, ensuite, subissent une inhibition ou une dérivation. On peut supposer que même de tels processus ne vont pas sans une satisfaction partielle.
L'objet de la pulsion est ce en quoi ou par quoi la pulsion peut atteindre son but. Il est ce qu'il y a de plus variable dans la pulsion, il ne lui est pas originairement lié : mais ce n'est qu'en raison de son aptitude particulière à rendre possible la satisfaction qu'il est adjoint. Ce n'est pas nécessairement un objet étranger, mais c'est tout aussi bien une partie du corps propre. Il peut être remplacé à volonté tout au long des destins que connaît la pulsion ; c'est à ce déplacement de la pulsion que revient le rôle le plus important. Il peut arriver que le même objet serve à la satisfaction de plusieurs pulsions : c'est le cas de ce qu'Alfred Adler appelle l'entrecroisement des pulsions. Lorsque la liaison de la pulsion à l'objet est particulièrement intime, nous la distinguons par le terme fixation. Elle se réalise souvent dans des périodes du tout début du développement de la pulsion et met fin à la mobilité de celle-ci en résistant intensément à toute dissolution.
Par source de la pulsion, on entend le processus somatique qui est localisé dans un organe ou une partie du corps et dont l'excitation est représentée dans la vie psychique par la pulsion. Nous ne savons pas si ce processus est strictement de nature chimique ou s'il peut aussi correspondre à une libération d'autres forces, mécaniques par exemple. L'étude des sources pulsionnelles déborde le champ de la psychologie ; bien que le fait d'être issu de la source somatique soit l'élément absolument déterminant pour la pulsion, elle ne nous est connue, dans la vie psychique, que par ses buts.

En vrai j'ai pas lu Freud. Même ce texte je l'ai trouvé au pif sur internet. D'ailleurs je ne sais pas lire. Je rédige cet ersatz de plaidoirie en dictant via la reconnaissance vocale.

Pour conclure, tout ceci n'est qu'une vaste pantalonnade et le sérieux n'aura pas duré longtemps. Ça aura surtout été un moyen facétieux de balancer d'autres blagues débiles, et de raconter des conneries. Si vous êtes arrivé jusque là, déjà WHAT ?! Mais qu'est-ce que vous foutez là, vous avez rien d'autre à faire ?
Et aussi ben... GG. @ plus.