Je suis pas vraiment d'accord avec toi sur se coup la ^^
Il est pas raté mais complètement différent , on passe d'un jeu action plates-formes a un RPG-like action. Et il est rempli mais rempli de chose incohérente (le coup de la tornade....voila quoi , sa ma gaspillé presque 30mn de ma vie pour une chose impossible a deviner pareil pour le sol invisible et le combat de dracula qui est lamentable comparé au 1er)
Petite précision , je compare le 2 uniquement avec le 1er (comparé le 2 et le 4 n'aurait aucun sens)
Et Si on peut dire que c'est le Zelda II de castlevania parce que c'est un changement complet du style , il faut aimer , moi les incohérences présentes dans le jeu me débecte. Mais chacun ses gouts comme on dit :) et je pense que sa n'a pas plu a beaucoup de gens vu que les 4 opus qui ont suivis sont revenus à la sauce du 1er (et pour moi symphonie of night c'est pas un castlevania , c'est surtout un metroid-like tipé castlevania mais sa reste mon avis ^^)
La tornade, c'était trouvable, car un PNJ le dit dans un village. C'est plutôt le coup du lac qui est introuvable. Mais une fois qu'on sait ce qu'il fallait faire avec le lac et qu'un PNJ nous donne un indice en nous parlant de tornade et de mur, alors on sait quoi faire pour la tornade (car on connaît cette "mécanique de jeu" consistant à s'agenouiller plusieurs secondes à ce stade du jeu).
Bref, le seul truc introuvable, c'est juste le lac (et peut-être aussi le coup de l'ail/garlic pour obtenir une arme secondaire), et encore il me semble que la notice indiquait ce qu'il fallait faire exactement (je me souviens d'une vidéo qui montrait la notice et le notice, la vidéo (ratée) de l'AVGN je crois). Tout le reste est trouvable tout seul, il ne faut pas exagérer.
(je ferai plus tard ma petite rétrospective de la série)
Je ne suis pas moi non plus un grand fan de Castlevania II, loin de là même. Je préfère bien plus le I et le III, surtout le I en fait, je n'arrive pas à m'en lasser !
Mais Castlevania II a vraiment de grandes qualités, comme vous l'avez dit, c'est juste qu'il est différent. En fait vous allez peut-être penser que je pousse loin, mais je considère Castlevania II comme un épisode totalement à part dans la série, dans le sens différent. Tout comme on peut différencier les Castlevania old-chool par niveau (I, II, III, Chi no Rondo, Super Castlevania IV,...) et le style Symphony of the Night (comme les opus DS par exemple), et bien moi je distingue Castlevania II comme un étant un jeu vraiment différent du I et du III.
Je me suis pris le 1, j'aime bien le jeu pour l'instant (j'en suis au niveau 4) et autant je trouve les niveaux très facile autant je flippe à chaque boss maintenant je trouve qu'ils sont super chaud >< (bon je fais une petite pause et je m'y remet).
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Bon, je fais ma petite rétrospective des épisodes auxquels j'ai joué.
- Castlevania 1 (NES): La base, tout simplement. Tout y est ou presque: le héros Belmont armé de son fouet, le hall d'entrée, le pont menant à Dracula qui s'effondre, les premières musiques cultes souvent reprises, les squelettes, les chevaliers lanceurs de hache, les chauves-souris, les têtes de méduse, la créature de Frankenstein, la Mort et ses faucilles enquiquineuses mortelles, Dracula qu'on doit frapper uniquement à la tête, les objets secondaires (crucifix, eau bénite, dague, montre). Que dire de plus? Culte, tout simplement!
- Castlevania 2: Simon's Quest (NES). J'affectionne particulièrement cet épisode, qui a l'ambiance la plus triste et sinistre de la trilogie NES, avec des musiques cultes dont le fameux thème Bloody Tears. J'ai adoré cet aspect aventure renforcé, où on n'est plus cantonné au château mais où on explore la Transylvanie et des villages. Un ou deux trucs introuvables sans soluce ou sans notice (le coup du lac), mais sinon une ambiance fantastique et une quête mémorable. Quelques éléments "RPG" qui seront repris dans Symphony of the Night: un personnage qui évolue en combattant, devient plus fort, trouve de nouvelles armes. C'était la mode des jeux d'action/aventure en vue de profil (aujourd'hui disparus) comme Zelda 2, The Battle of Olympus, Faxanadu ou encore les Monster World. Quel dommage que les épisodes suivants n'aient jamais repris le concept aventure de Simon's Quest (un petit peu Order of Ecclesia, mais bon).
- Castlevania 3: Dracula's Curse (NES). Pour moi le meilleur volet NES. Peut-être la meilleure bande-son de la série. Des graphismes vraiment pas mal pour de la NES, pour une ambiance superbe. Plusieurs personnages secondaires pourront être incarnés pour aider Trévor Belmont: si Alucard (qui fait son apparition dans la série) est un peu naze au combat (plus intéressant dans sa forme chauve-souris), Grant a le mérite de pouvoir monter sur les murs et plafonds (avec possibilité de contrôler le saut), tandis que Sylpha la magicienne peut ramasser des sorts magiques très intéressants. L'apparition du système d'embranchement de niveau (qui sera bien plus abouti dans Rondo of Blood), pour un nombre incroyable de niveaux au total: de loin le Castlevania classique proposant le plus de niveaux! Bref, un aboutissement sur NES.
- Super Castlevania IV (SNES). Peut-être mon Castlevania préféré tous épisodes confondus (et le premier volet classique 2D auquel j'ai joué, sur le tard). Il y a quelque chose d'unique dans l'ambiance particulièrement travaillé, tant au niveau visuel que sonore et musical. Sorte de relecture de Castlevania 1. Le dernier épisode "rétro": le jeu garde une allure "8 bits" dans ses graphismes et sa jouabilité, avec tout de même l'évolution remarquable du fouet désormais multi-directionnel. Un jeu qui s'était fait aussi remarquer pour son utilisation du Mode 7. Des niveaux assez nombreux (moins que dans Castlevania 3 néanmoins), variés, des idées de situation et d'ambiance originales (la salle au trésor!). Et cet épisode comporte à mon goût le meilleur final de la série: le combat culte contre Dracula dans sa mise en scène, et la fin avec cette musique magnifique! Archi-culte, quoi!
- Castlevania Rondo of Blood (PC Engine et PSP). L'épisode qui commence à faire évoluer la série, sorte de chaînon manquant entre la série classique et les futurs Metroidvania (sachant que Symphony of the Night en est la suite directe). Peut-être l'épisode classique le plus abouti au niveau du gameplay. Le jeu reprend des idées de Castlevania 3: un personnage secondaire jouable en plus du héros Richter Belmont, et ce système d'embranchement bien plus poussé. Désormais, les embranchements n'ont plus lieu à la fin d'un niveau, mais il faut les trouver nous-mêmes en explorant les niveaux qui ont chacun au moins un chemin alternatif et une sorte alternative. Ainsi, les niveaux proposent un début d'exploration qui préfigure les futurs Metroidvania. Les combats sont beaucoup plus aboutis que par le passé, le jeu ne se joue plus comme les vieux Castlevania avec des objets secondaires qui ne fonctionnent plus de la même façon (exit les power up "II" et "III" entre autres, maintenant on a une attaque spéciale qui sera reprise dans Bloodlines et Vampire Kiss). Le fouet n'est plus multi-directionnel, mais pour compenser on peut désormais sauter sur les escaliers et faire un salto-arrière pour éviter des attaques (très utile et classe). Les musiques sont péchues et profitent du support CD de la PC Engine, même si, comme Hooper, je les trouve moins "profondes" que dans le IV. Je lui reprocherai surtout Dracula qui est super décevant, le niveau bonus 5' a un côté inachevé et "patchwork" bizarre (pas de boss à la fin) et le fait de sauver les filles ne change quasi rien à la fin... du moins sur PC Engine.
C'est sur PSP que ces défauts seront corrigés: désormais le niveau bonus 5' est limite méconnaissable graphiquement et propose un tout nouveau boss bien dur, le fait de ne pas sauver Annette (qui n'est plus enfermée au même endroit) nous fait affronter un autre boss que Shaft dans la tour d'horloge, et le fait de la sauver nous permet de profiter d'une troisième forme de Dracula qui a été rajoutée et qui efface complètement la déception de l'affrontement sur PC ENgine (troisième forme bien plus dure et plus intéressante). De plus, je préfère le design des personnages sur PSP plutôt que sur PC Engine (trop gamin pour Maria par exemple), et quelques passages comme la phase en radeau profitent bien de la 3D et des changements d'angler de caméra. Bref, le jeu est sublimé sur PSP, c'est la version à faire pour moi (sachant que de toutes façons, le jeu d'origine est débloquable en plus de Symphony of the Night).
- Castlevania Bloodlines (Megadrive). Un épisode particulier qui change complètement le cadre de la série: on n'est plus au château de Dracula (on en explore juste quelques ruines), mais on explore carrément l'Europe, et en pleine Première Guerre Mondiale en plus! Deux héros jouables: John Morris (au fouet) et Eric Lecarde (à la lance). Pour moi l'épisode qui propose le plus d'idées originales dans les niveaux, et dont je ne vais pas parler. Les niveaux sont moins nombreux, mais sont plus longs, sont découpés en plus de partie, et comportement un (voire plusieurs) mini-boss. La bande-son est fantastique et regorge de nouveaux thèmes, certains devenus cultes comme Iron Blue Intention. L'action est bien plus dynamique que les autres volets (on se rapproche un peu des jeux d'action standard de la Megadrive). Les graphismes sont corrects (sans plus), mais l'animation des monstres est particulièrement bien travailéle. Par contre, les bruitages sont très moyens. Un volet trop méconnu et pris de haut, à découvrir absolument (et il connaître une suite du nom de Portrait of Ruin sur DS).
- Castlevania Vampire Kiss (SNES). Sorte de version alternative de Rondo of Blood: on retrouve à peu près le même scénario, les mêmes niveaux (mais complètement modifiés), le même bestiaire, les mêmes musiques. Pour moi l'épisode classique le plus faible de la série, mais pas dénue de qualité: le jeu est beau (mais inégal), les musiques toujours belles, quelques niveaux et boss meilleurs que leur équivalent PC Engine (la tour d'horloge par exemple, ou le boss Dracula). Hélas, Maria n'est plus jouable, il y a moins de niveaux, le système d'embranchement a été simplifié, et il y a des lourdeurs (le coup de la clé à se trimballer sans mourir pendant un niveau et demi).
- Castlevania 64 et Legacy of Darkness (N64). Cet épisode tient une place particulière pour moi car il s'agit du tout premier Castlevania auquel j'ai joué (eh oui!). Un épisode assez décrié pour sa jouabilité il est vrai assez perfectible, ainsi que sa caméré: il y a quelques phases de plate-forme pas évidentes du tout. Pourtant, l'ambiance est excellente, plus sombre et sinistre que les autres volets. On retrouve l'interface jour/nuit qui était apparue dans Simon's Quest (et on en retrouve la même utilité: les ennemis sont plus forts la nuit, et on atteint une mauvaise fin si trop de journées s'écoulent), et on retrouve un petit côté aventure pour le niveau de la villa, voire un côté Survival Horror pour ce niveau: on explore une villa et une grande maison, on affronte des vampires qui peuvent nous vampiriser s'ils nous mordent et qu'on n'a pas d'antidote (oui, un des rares Castlevania où on affronte des vampires autres que Dracula lui-même), un labyrinthe végétal super stressant quand on se fait poursuivre par deux chiens féroces et la créature de Frankenstein armée d'une tronçonneuse (invincinbles). Le scénario est aussi plus développé que d'habitude. Je me souviens aussi d'un grand moment de stress dans le niveau 5 où il faut traverser tout le niveau en portant de la nitroglycérine, sans sauter ni se faire attaquer pour ne pas exploser: grand moment de souffrance! On incarne soit Reinhardt Schneider (un Belmont), soit Carrie Fernandez (une descende de Sylpha Belnades de Castlevania 3): seuls trois niveaux changent selon le personnage (et les personnages secondaires ainsi que certains boss changent aussi).
Le "remake" Legacy of Darkness reprend le jeu d'origine, mais y rajoute un nouveau héros: Cornell le loup-garou. Sa quête comporte de nouveaux niveaux (ainsi que d'anciens niveaux recyclés et modifiés), dont un niveau prologue se passant sur un bateau. La quête se passe huit ans (je crois) avant celles de Reinhardt et Carrie, et il faut finir cette quête obligatoirement (ainsi que la mini-quête du chevalier Henri consistant à sauver des enfants dans les premiers niveaux, il est armé d'un flingue) pour débloquer les quêtes de Reinhardt et Carrie. Cornell attaque avec ses griffes et peut se transformer en loup-garou (pas comme on veut). Au final, le jeu est très long pour le genre si on veut finir avec tous les personnages, assez difficile, avec une excellente ambiance, et même un scénario plus travaillé que d'habitude dans un Castlevania: c'est surtout la jouabilité perfectible qui peut poser problème, mais on s'y fait si on accroche au jeu qui mérite vraiment d'être joué (de préférence Legacy of Darkness qui est une version "complète" du jeu). Dommage que Iga ait viré le jeu de sa chronologie des Castlevania.
- Castlevania Symphony of the Night (Playstation). Bon, j'y ai joué après avoir fait trois autres Metroidvania. C'est le jeu qui confirme le changement amorcé par Rondo of Blood et bascule la série dans une orientation à la Metroid. Désormais, plus rien ne sera comme avant. Ce que j'ai aimé dans le jeu, c'est évidemment son enrobage graphique et musicale, ainsi que la classe du héros Alucard, mais également le côté ouvert de l'exploration qui permet au joueur d'explorer plusieurs endroits dans le désordre (chose qui ne serai pas trop possible dans d'autres Metroidvania comportant une progression bien plus linéaire). La jouabilité n'est plus du tout comme avant, ça n'a plus à rien voir avec les vieux Castlevania plus raides: c'est vif désormais, on se croirait plutôt dans un Megaman. On retrouve aussi le concept des objets particuliers à trouver et de l'action particulière à faire pendant le faux combat final pour aboutir à la seconde partie du jeu et ne pas accéder à la mauvaise fin. Les salles sont également plus "uniques" et beaucoup moins "copiées-collées" que dans les autres Metroidvania. Ce que j'ai moins aimé par contre, c'est la facilité des ennemis et des boss (à part la grosse statue dorée qui tranche avec tous les autres boss du jeu).
Ce que j'ai carrément détesté, c'est toute la seconde partie du château inversé. Cette seconde partie, malheureusement, n'est qu'une redite laborieuse et répétitive de la première partie, avec un recyclage éhonté du level-design (on prend le même et on le met à l'envers: bof!), conjuguée à la faculté d'Alucard de voler absolument partout en brume, ce qui annule complètement tout level-design!!! Bah oui, à partir du moment où on peut voler partout, il n'y a plus de level-design! On enchaîne alors des boss super faciles (la Mort, non mais franchement, je l'ai expédié en moins de deux, alors que c'est censé être un grand moment et un affrontement difficile dans la série), on passe son temps à voler dans un level-design inexistant (et repris de la première partie), et on affronte un Dracula au cours d'un combat très brouillon, bourrin et facile. En plus, dans cette seconde partie on entend quasiment toujours la même musique (sympa mais moins bonne que le reste de la bande-son). Bref, je me suis forcé à finir le jeu: autant j'ai adoré la première partie, autant la seconde partie du jeu m'a saoulé (pour une durée de vie artificiellement gonflée), c'est dommage!
- Castlevania Circle of the Moon (GBA). En fait le premier Metroidvania auquel j'ai joué. Globalement, j'ai beaucoup aimé le jeu, pour sa difficulté élevée et ses combats bien plus techniques (et maintenant on peut faire une glissade façon Megaman pour esquiver). La bande-son est excellent, mais malheureusement presque uniquement composée de remixes (cela dit, la musique du premier niveau est géniale). Le jeu reprend l'approche de Symphony of the Night et donc de Metroid dans sa progression. Le héros trouvera des cartes lâchées par des ennemis vaincus (mais pas avec une probabilité de 100%), et il faudra bien exploiter ces cartes pour obtenir des pouvoirs, armes et aptitudes qui nous sauveront la vie durant certains combats. Je lui reproche quand même un level-design trop copié-collé, et comme dans tous les Metroidvania un aspect plate-forme punitif désormais sacrifié (on n'a plus de trous mortels dans les Metroidvania, rares sont les endroits comme les tours d'horloges remplies de têtes de méduse qui nous demandent de refaire un passage de plate-forme): c'est une part de l'identité des Castlevania qui a disparu. Néanmoins, j'ai adoré tout l'aspect action et combat, et Dracula est un des plus durs à battre de toute la série!
- Castlevania Aria of Sorrow (GBA). Autre déclinaison de la formule Metroidvania. Cette fois, en guise d'armes et de pouvoirs, on utilise des âmes qu'on a inspirées des ennemis vaincus. Ce qui change pas mal, c'est le scénario: on est dans un futur proche au XXIème siècle, et on apprend que Dracula a été tué pour de bon par le dernier Belmont (Julius) en date! Le scénario est plus travaillé avec un très bon coup de théâtre à la fin! Le level-design est mieux que dans Circle of the Moon, un peu moins collé, et l'exploration propose une petite ouverture dans le milieu: c'est le Metroidvania le plus court auquel j'ai joué (5 heures), ce qui lui permet d'éviter l'ennui dû à la redondance du level-design qui me faisait décrocher dans d'autres Metroidvania. Je lui reprocherais juste une difficulté trop faible (mise à part certains boss). Mais toujours est-il que j'ai beaucoup aimé cet épisode. Pas fait la suite Dawn of Sorrow sur DS.
- Castlevania Portrait of Ruin (DS). Bon, on retrouve toujours la formule Metroidvania. Quelques changements: on dirige un duo de héros au lieu d'un seul, et le jeu ne se passe plus uniquement au château mais également dans des niveaux au décor complètement différent et dépaysant (pyramide égyptienne, cité londonienne brumeuse...), accessible depuis des tableaux accrochés et cachés dans le château de Dracula. Suite de Bloodlines sur Megadrive: le héros Jonathan est le fils du héros John Morris du volet Megadrive, et le contexte de Première Guerre Mondial est remplacé par la Seconde Guerre Mondiale (mais ça reste super discret, on ne ressent pas du tout la Guerre). Changement de design pour les cinématiques, d'assez mauvais goût et trop manga à mon goût. Le jeu n'est pas mal, mais je le trouve un peu faiblard comparé à d'autres Metroidvania: toujours trop de copier-coller dans le level-design et les salles visitées, des musiques auxquelles je n'ai pas trop accroché (bien que ce soit du Yuzo Koshiro en bonne partie), j'ai trouvé que le duo n'apportait pas grand chose au gameplay, jeu un peu trop long. Apparition de quêtes annexes en parlant à Wind (qui cache un personnage connu des fans de Bloodlines), mais on se heurte trop souvent au défaut de l'objet à trouver qui apparaît avec une probabilité trop faible en battant un ennemi(quand il ne s'agit pas d'un ennemi rare qui s'enfuit rapidement).
Je lui reproche surtout la seconde partie, qui nous sort quatre nouveaux portraits qui ne sont que des variantes (même thématique: Egype, cité londonienne...) des quatre portraits de base: pfff, level-design recyclé puissance 10 (heureusement encore que les ennemis changent un peu)! On remarque aussi que les ennemis sont presque toujours les mêmes depuis Rondo of Blood et Symphony of the Night. Toutefois, je reconnais à Portrait of Ruin de proposer un très bon et vaste contenu annexe fan service (avec plein de boss optionnels), et un scénario plutôt pas mal, ainsi qu'un affrontement contre Dracula culte bénéficiant d'une idée unique pour la série. Et aussi une hausse de la difficulté par rapport à Aria of Sorrow, il faut gaffe contre les boss (qui me tuaient plusieurs fois pour la plupart) et certains ennemis.
- Castlevania Order of Ecclesia (DS). Ah, lui, c'est mon Metroidvania préféré, pour plusieurs raisons. Déjà, le changement de design opérant un retour à quelque chose de plus sombre, gothique et classe, avec une héroïne Shanoa très classe. On retrouve un petit peu l'idée de Simon's Quest consistant à visiter la Transylvanie et plus seulement le château de Dracula (ça joue un peu le même rôle de dépaysement que les tableaux de Portrait of Ruin), avec un village central à revisiter constamment (au début vide, il va peu à peu se remplir de personnages qu'on aura sauvés dans les niveaux). Ca reste tout de même du Metroidvania dans sa structure, mais cette variété d'environnement m'a plu, ainsi que l'ambiance que j'ai adorée, et surtout le système de combat! On combat avec des glyphes qu'on aspire des ennemis vaincus, qu'on peut combiner pour avoir d'autres effets: ça ressemble un peu au système d'âmes d'Aria of Sorrow. La difficulté a encore augmenté par rapport à Portrait of Ruin, il faut faire encore plus attention, être réactif, et bien utiliser les glyphes. On retrouve le concept des quêtes annexes données par des villageois, mais un peu plus réussies que celles données par Wind dans Portrait of Ruin, le jeu m'ayant donné l'impression d'avoir une meilleur probabilité d'obtenir un objet en battant un ennemi. La plupart des boss sont très intenses et très techniques (le crabe du phare par exemple), j'ai adoré les combats.
La seconde partie du jeu nous amène au château de Dracula, que j'ai trouvé plus ouvert que dans Portrait of Ruin (on peut explorer quelques zones et affronter quelques boss dans le désordre), et constitue un très moment et changement d'orientation du jeu (avec une très bonne musique reprise du thème principal du jeu). D'autres boss mémorables à affronter et pas faciles (celui en ombre chinoise, ou bien le boss énorme bien plus grand que l'écran de la DS et dont on peut monter sur le dos). Le scénario est sympa aussi, j'ai bien aimé. Il y a aussi quelques niveaux bonus à débloquer et à réussir: l'un orienté plate-forme punitive (vraiment pas facile), et un autre où on affronte plein d'ennemis en enchaînant plusieurs salles (c'est très chaud!). Bref, j'ai adoré le jeu qui est devenu mon Metroidvania préféré.
- Castlevania the Adventure: Rebirth (Wii Ware). Petit retour en arrière, revival rétro: exit l'orientation Metroidvania, on renoue avec l'orientation des vieux Castlevania 8 bits. Bon, l'épisode n'est pas totalement nouveau car c'est en fait un remake de Castlevania the Adventure sur Game Boy (que je n'ai pas fait, le jeu semble super dur et pas très réussi d'après le consensus général). La jouabilité est un peu raide (saut qu'on ne peut pas modifier, pas moyen de sauter sur les escaliers, on se croit revenu dans Castlevania 1), mais on s'y fait. La difficulté est bien présente, le jeu tient bien la route graphiquement avec une bonne ambiance, les musiques sont bonnes (en étant des remixes de musiques peu connues de la série: premier niveau de Bloodlines sur Megadrive, un niveau de Haunted Castle en arcade, de Belmont's Revenge sur Game Boy apparemment). Les niveaux proposent des embranchements accessibles par des portes à déverrouiller après avoir ramassé la clé peu avant, même si au final on affronte le même boss à la fin. Apparemment dans le jeu d'origine sur Game Boy, les niveaux étaient linéaires sans embranchement. Bref, un Castlevania rétro très sympa, pas facile, j'ai bien aimé.
Ouf, ça y est, j'ai fini: c'était long! Et encore je n'ai parlé que des Castlevania auxquels j'ai joué (pas fait les volets arcade, les trois volets Game Boy, les volets 3D sur PS2 et consoles HD, ni Harmony of Dissonance et Dawn of Sorrow, ni la version GX 4000 de Castlevania 1)! ^^
J'ai finalement battu frankenstein (vraiment super chaud(oui je suis un noob)) et après j'ai arrétté parce que j'étais fatigué donc je recommencerais demain depuis le début (comme j'ai vue qu'il n'y a que 6 niveaux j'imagine que j'étais au niveau de la Mort qui est réputé pour être vraiment hard j'le sens mal)
EDIT: bon la mort est pas si hard c'est surtout le couloir juste avant avec les deux chevaliers et les têtes de méduse en gros je galère depuis se matin ><
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Je suis pas vraiment d'accord avec toi sur se coup la ^^
Il est pas raté mais complètement différent , on passe d'un jeu action plates-formes a un RPG-like action. Et il est rempli mais rempli de chose incohérente (le coup de la tornade....voila quoi , sa ma gaspillé presque 30mn de ma vie pour une chose impossible a deviner pareil pour le sol invisible et le combat de dracula qui est lamentable comparé au 1er)
Petite précision , je compare le 2 uniquement avec le 1er (comparé le 2 et le 4 n'aurait aucun sens)
Et Si on peut dire que c'est le Zelda II de castlevania parce que c'est un changement complet du style , il faut aimer , moi les incohérences présentes dans le jeu me débecte. Mais chacun ses gouts comme on dit :) et je pense que sa n'a pas plu a beaucoup de gens vu que les 4 opus qui ont suivis sont revenus à la sauce du 1er (et pour moi symphonie of night c'est pas un castlevania , c'est surtout un metroid-like tipé castlevania mais sa reste mon avis ^^)
Salut les gars ici 69zelos !
Pour le coup, Rudolf a raison : tout était trouvable si on lisait ce que disaient les PNJ et qu'on réfléchissait aux mécaniques du jeu (j'ai trouvé quand j'étais gosse, et je suis pas un esprit supérieur aux dernières nouvelles :D).
Après, tout comme pour l'ami Kaz, je conçois très bien que ça ne plaise pas à tout le monde :)
Sinon, je vais en choquer certains, mais pour moi, en dehors de Simon's Quest, Castlevania a été une série sympatoche sans plus, voire moyenne, jusqu'à ce que Symphony of the Night sorte ! Les épisodes "die and retry" ont toujours été très pauvres à mon sens (ambiance sonore mise à part), car à côté, j'avais les graphismes, le level design et le gameplay des Megaman Classic et X qui écrasaient complètement la série de Konami (dont je préférais pourtant l'univers) !
Et pour en finir avec les révélations, j'ai détesté - mais vraiment - Symphony of the Night lors de ma première partie, au point que j'ai failli le revendre ! Je n'ai compris l'intérêt de ce soft exceptionnellement riche et léché que plus d'un an après, quand je lui ai donné "un dernière chance avant de le revendre" !
Mais même si c'est mon Castlevania culte par excellence aujourd'hui, n'allez pas croire que je ne sois pas critique envers Symphony of the Night : le jeu est trop facile pour peu qu'on fasse un chouilla de levelling (mais vraiment juste un peu), ça manque un peu de PNJ/dialogues pour le côté RPG (comparativement à Simon's Quest), même si le château est grand et varié les phases en extérieurs manquent un peu (SQ again), le 2nd château est pas forcément mal mais on sent trop qu'il n'a pas été inclus correctement dans le level design d'ensemble, et le hasard est un peu trop présent (chopez la Crissaegrim, et vous comprendrez ce que je veux dire).
...
Ha oui, et la version Saturn est graphiquement honteuse (je rappelle que la console fait tourner Princess Crown, entre autres) !
Je suis a dracula, il est chaud (enfin pour moi ^^) mais il est prenable.
(j'ai honte mais pour la mort j'ai pris l'eau bénite qui était au début du niveau et je l'ais spamé '--)
EDIT: J'ai finalement terminée le jeu, je ferais bientôt une petite conclusion personnel, (j'ai essayé le mode difficile mais le niveau 2 avec toutes les têtes de méduse de partout c'était hard)
Conclusion: Bon part où commencer? Je vais déjà parler de mon expérience personnel, j'ai fais quelque Castlevania. Quatre en tous (oui c'est peu) et j'ai particulièrement aimé les opus typé action plateforme (le seul metroidvania que j'ai fais c'est SOTN et je l'ais apprécié moyennement). Ensuite j'ai fais très peu de jeu sur nes mais je n'en avais trouvé aucun excellent, je considérais donc que les consoles 8bit ce n'étais pas pour moi et que je ne pouvais vraiment aimé un jeu sur cette console.
Parenthèse fermé je vais dire directement ce que j'ai pensais du jeu, bah c'est excellent, j'ai pris énormément de fun à jouer et je me suis amusé de bout en bout (j'ai même moins ragé que dans Super Castlevania IV ^^), déjà à cause de quoi, le gameplay tout simplement, je sais qu'il a été énormément critiqué mais j'adore le gameplay old school des Castlevania (le meilleur gameplay à ce jour est pour moi celui de Richter dans Dracula X (j'ai trouvé celui de Castlevania IV mois amusent au final m'enfin)). J'ai beaucoup aimé les sauts rigide mais qui nes sont pas forcément génant puisque les jeu est pensé pour eux seul point noir, les escalier je ne pensais pas que l'on pouvait faire pire que dans Castlevania IV mais là c'est on rentre à un bout et on sort par l'autre sans ses deux bouts les escalier ce n'est rien. Ensuite graphiquement, bein c'est de la nes et comme je l'ais dit je ne suis pas le mieux plassé pour juger cette console, il faut quand même noté que c'est agréable à l'oeil (sauf le début du stage six (le pont avec les plantes accroché le long de la tour je trouve que l'oeil est perdu lorsque l'on regarde ça mais c'est uniquement une petite portion de niveau (juste l'écran du début).
Musicalement et bien c'est du Castlevania j'ai beaucoup apprécié la bande son (une des meilleurs bande son que j'ai jamais entendu sur nes) mention spécial pour la musique du stage 5.
Quesqu'il nous reste, rejouabilité? Je ne sais pas encore, je me suis refait le jeu tout à l'heure est j'ai pris une heure pour le finir (refait le mode facile pas difficile ^^)
Durée de vie, et bien ça dépend du joueur je pense.
A oui je devais parlé des boss, et bien ils sont... et bien c'est spécial, j'ai trouvé le premier boss (chauve sourie) nul mais bon c'est le premier on va dire que ça va, le deuxième (la méduse) c'est du bourrinage total pareil pour le 3ème (les momies), j'ai trouvé que le 4ème (Frankenstein) était abusé, la mort quand a elle est vraiment intéressant à combattre (un truc à faire ^^) et quand a Dracula une première forme très intéressante (raaah quand il pope sur nous ><) par contre j'ai pas compris le principe de sa deuxième forme du coup j'ai bourriné et c'est passé.
Bon je me trompe peut être (si ça se trouve (Frankenstein (c'est plus court que de dire "la créature de Frankenstein) est juste un boss technique est très intéressant), après tout les boss ont un défaut (sauf dracula et la chauve souris (pratique de voler :p)) c'est qu'on peut les freezer avec l'eau bénite mais ça c'est plutôt le défaut de l'eau bénite qui est abusé (je m'en suis servis une fois sur la mort (mais un jour je me la ferais sans cette fâcheuse stratégie).
Donc voilà pour Castlevania I, pour conclure on peux retenir que c'est un bon jeu est surtout un jeu culte (je pense que je me souviendrais toute ma vie (jusqu’à ce que je perde la mémoire :p) de cette aventure épique dans le château de Dracula.
EDIT: Oula un peu brouillon ^^'
A oui et le fait que j'ai finalement choisi de le prendre sur console virtuel a été poussé par le fait que je n'étais pas certain d'aimé donc je n'ais pas voulu acheter de nes et que je vais bientôt me procurer castlevania bloodlines sur Megadrive, comme je ne suis pas richissime j'ai choisi l'option émulation sur la wii.
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Citation:
Dit comme ça, ça rebute mais il y encore plus méchant. Les vrais boss (La créature, La mort et Dracula) sont vraiment mais alors vraiment durs. Heureusement, le bonus de l'horloge (sablier) permet de les arrêter un court instant.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
castlevania 2 fut mon tout premier castlevania et je peux vous dire qu'il ma profondément marqué. sans doute mon prefere apres le IV.
Je suis pas vraiment d'accord avec toi sur se coup la ^^
Il est pas raté mais complètement différent , on passe d'un jeu action plates-formes a un RPG-like action. Et il est rempli mais rempli de chose incohérente (le coup de la tornade....voila quoi , sa ma gaspillé presque 30mn de ma vie pour une chose impossible a deviner pareil pour le sol invisible et le combat de dracula qui est lamentable comparé au 1er)
Petite précision , je compare le 2 uniquement avec le 1er (comparé le 2 et le 4 n'aurait aucun sens)
Et Si on peut dire que c'est le Zelda II de castlevania parce que c'est un changement complet du style , il faut aimer , moi les incohérences présentes dans le jeu me débecte. Mais chacun ses gouts comme on dit :) et je pense que sa n'a pas plu a beaucoup de gens vu que les 4 opus qui ont suivis sont revenus à la sauce du 1er (et pour moi symphonie of night c'est pas un castlevania , c'est surtout un metroid-like tipé castlevania mais sa reste mon avis ^^)
Salut les gars ici 69zelos !
https://www.youtube.com/channel/UCyNfRMkg9zn2gk4Pn-kmsWg
La tornade, c'était trouvable, car un PNJ le dit dans un village. C'est plutôt le coup du lac qui est introuvable. Mais une fois qu'on sait ce qu'il fallait faire avec le lac et qu'un PNJ nous donne un indice en nous parlant de tornade et de mur, alors on sait quoi faire pour la tornade (car on connaît cette "mécanique de jeu" consistant à s'agenouiller plusieurs secondes à ce stade du jeu).
Bref, le seul truc introuvable, c'est juste le lac (et peut-être aussi le coup de l'ail/garlic pour obtenir une arme secondaire), et encore il me semble que la notice indiquait ce qu'il fallait faire exactement (je me souviens d'une vidéo qui montrait la notice et le notice, la vidéo (ratée) de l'AVGN je crois). Tout le reste est trouvable tout seul, il ne faut pas exagérer.
(je ferai plus tard ma petite rétrospective de la série)
C'est vrai que le mot "raté" est un peu excessif je vous l'accorde :p
Mains nom de dieu que ce jeu m'a déçu !
Je ne suis pas moi non plus un grand fan de Castlevania II, loin de là même. Je préfère bien plus le I et le III, surtout le I en fait, je n'arrive pas à m'en lasser !
Mais Castlevania II a vraiment de grandes qualités, comme vous l'avez dit, c'est juste qu'il est différent. En fait vous allez peut-être penser que je pousse loin, mais je considère Castlevania II comme un épisode totalement à part dans la série, dans le sens différent. Tout comme on peut différencier les Castlevania old-chool par niveau (I, II, III, Chi no Rondo, Super Castlevania IV,...) et le style Symphony of the Night (comme les opus DS par exemple), et bien moi je distingue Castlevania II comme un étant un jeu vraiment différent du I et du III.
Je me suis pris le 1, j'aime bien le jeu pour l'instant (j'en suis au niveau 4) et autant je trouve les niveaux très facile autant je flippe à chaque boss maintenant je trouve qu'ils sont super chaud >< (bon je fais une petite pause et je m'y remet).
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Bon, je fais ma petite rétrospective des épisodes auxquels j'ai joué.
- Castlevania 1 (NES): La base, tout simplement. Tout y est ou presque: le héros Belmont armé de son fouet, le hall d'entrée, le pont menant à Dracula qui s'effondre, les premières musiques cultes souvent reprises, les squelettes, les chevaliers lanceurs de hache, les chauves-souris, les têtes de méduse, la créature de Frankenstein, la Mort et ses faucilles
enquiquineusesmortelles, Dracula qu'on doit frapper uniquement à la tête, les objets secondaires (crucifix, eau bénite, dague, montre). Que dire de plus? Culte, tout simplement!- Castlevania 2: Simon's Quest (NES). J'affectionne particulièrement cet épisode, qui a l'ambiance la plus triste et sinistre de la trilogie NES, avec des musiques cultes dont le fameux thème Bloody Tears. J'ai adoré cet aspect aventure renforcé, où on n'est plus cantonné au château mais où on explore la Transylvanie et des villages. Un ou deux trucs introuvables sans soluce ou sans notice (le coup du lac), mais sinon une ambiance fantastique et une quête mémorable. Quelques éléments "RPG" qui seront repris dans Symphony of the Night: un personnage qui évolue en combattant, devient plus fort, trouve de nouvelles armes. C'était la mode des jeux d'action/aventure en vue de profil (aujourd'hui disparus) comme Zelda 2, The Battle of Olympus, Faxanadu ou encore les Monster World. Quel dommage que les épisodes suivants n'aient jamais repris le concept aventure de Simon's Quest (un petit peu Order of Ecclesia, mais bon).
- Castlevania 3: Dracula's Curse (NES). Pour moi le meilleur volet NES. Peut-être la meilleure bande-son de la série. Des graphismes vraiment pas mal pour de la NES, pour une ambiance superbe. Plusieurs personnages secondaires pourront être incarnés pour aider Trévor Belmont: si Alucard (qui fait son apparition dans la série) est un peu naze au combat (plus intéressant dans sa forme chauve-souris), Grant a le mérite de pouvoir monter sur les murs et plafonds (avec possibilité de contrôler le saut), tandis que Sylpha la magicienne peut ramasser des sorts magiques très intéressants. L'apparition du système d'embranchement de niveau (qui sera bien plus abouti dans Rondo of Blood), pour un nombre incroyable de niveaux au total: de loin le Castlevania classique proposant le plus de niveaux! Bref, un aboutissement sur NES.
- Super Castlevania IV (SNES). Peut-être mon Castlevania préféré tous épisodes confondus (et le premier volet classique 2D auquel j'ai joué, sur le tard). Il y a quelque chose d'unique dans l'ambiance particulièrement travaillé, tant au niveau visuel que sonore et musical. Sorte de relecture de Castlevania 1. Le dernier épisode "rétro": le jeu garde une allure "8 bits" dans ses graphismes et sa jouabilité, avec tout de même l'évolution remarquable du fouet désormais multi-directionnel. Un jeu qui s'était fait aussi remarquer pour son utilisation du Mode 7. Des niveaux assez nombreux (moins que dans Castlevania 3 néanmoins), variés, des idées de situation et d'ambiance originales (la salle au trésor!). Et cet épisode comporte à mon goût le meilleur final de la série: le combat culte contre Dracula dans sa mise en scène, et la fin avec cette musique magnifique! Archi-culte, quoi!
- Castlevania Rondo of Blood (PC Engine et PSP). L'épisode qui commence à faire évoluer la série, sorte de chaînon manquant entre la série classique et les futurs Metroidvania (sachant que Symphony of the Night en est la suite directe). Peut-être l'épisode classique le plus abouti au niveau du gameplay. Le jeu reprend des idées de Castlevania 3: un personnage secondaire jouable en plus du héros Richter Belmont, et ce système d'embranchement bien plus poussé. Désormais, les embranchements n'ont plus lieu à la fin d'un niveau, mais il faut les trouver nous-mêmes en explorant les niveaux qui ont chacun au moins un chemin alternatif et une sorte alternative. Ainsi, les niveaux proposent un début d'exploration qui préfigure les futurs Metroidvania. Les combats sont beaucoup plus aboutis que par le passé, le jeu ne se joue plus comme les vieux Castlevania avec des objets secondaires qui ne fonctionnent plus de la même façon (exit les power up "II" et "III" entre autres, maintenant on a une attaque spéciale qui sera reprise dans Bloodlines et Vampire Kiss). Le fouet n'est plus multi-directionnel, mais pour compenser on peut désormais sauter sur les escaliers et faire un salto-arrière pour éviter des attaques (très utile et classe). Les musiques sont péchues et profitent du support CD de la PC Engine, même si, comme Hooper, je les trouve moins "profondes" que dans le IV. Je lui reprocherai surtout Dracula qui est super décevant, le niveau bonus 5' a un côté inachevé et "patchwork" bizarre (pas de boss à la fin) et le fait de sauver les filles ne change quasi rien à la fin... du moins sur PC Engine.
C'est sur PSP que ces défauts seront corrigés: désormais le niveau bonus 5' est limite méconnaissable graphiquement et propose un tout nouveau boss bien dur, le fait de ne pas sauver Annette (qui n'est plus enfermée au même endroit) nous fait affronter un autre boss que Shaft dans la tour d'horloge, et le fait de la sauver nous permet de profiter d'une troisième forme de Dracula qui a été rajoutée et qui efface complètement la déception de l'affrontement sur PC ENgine (troisième forme bien plus dure et plus intéressante). De plus, je préfère le design des personnages sur PSP plutôt que sur PC Engine (trop gamin pour Maria par exemple), et quelques passages comme la phase en radeau profitent bien de la 3D et des changements d'angler de caméra. Bref, le jeu est sublimé sur PSP, c'est la version à faire pour moi (sachant que de toutes façons, le jeu d'origine est débloquable en plus de Symphony of the Night).
- Castlevania Bloodlines (Megadrive). Un épisode particulier qui change complètement le cadre de la série: on n'est plus au château de Dracula (on en explore juste quelques ruines), mais on explore carrément l'Europe, et en pleine Première Guerre Mondiale en plus! Deux héros jouables: John Morris (au fouet) et Eric Lecarde (à la lance). Pour moi l'épisode qui propose le plus d'idées originales dans les niveaux, et dont je ne vais pas parler. Les niveaux sont moins nombreux, mais sont plus longs, sont découpés en plus de partie, et comportement un (voire plusieurs) mini-boss. La bande-son est fantastique et regorge de nouveaux thèmes, certains devenus cultes comme Iron Blue Intention. L'action est bien plus dynamique que les autres volets (on se rapproche un peu des jeux d'action standard de la Megadrive). Les graphismes sont corrects (sans plus), mais l'animation des monstres est particulièrement bien travailéle. Par contre, les bruitages sont très moyens. Un volet trop méconnu et pris de haut, à découvrir absolument (et il connaître une suite du nom de Portrait of Ruin sur DS).
- Castlevania Vampire Kiss (SNES). Sorte de version alternative de Rondo of Blood: on retrouve à peu près le même scénario, les mêmes niveaux (mais complètement modifiés), le même bestiaire, les mêmes musiques. Pour moi l'épisode classique le plus faible de la série, mais pas dénue de qualité: le jeu est beau (mais inégal), les musiques toujours belles, quelques niveaux et boss meilleurs que leur équivalent PC Engine (la tour d'horloge par exemple, ou le boss Dracula). Hélas, Maria n'est plus jouable, il y a moins de niveaux, le système d'embranchement a été simplifié, et il y a des lourdeurs (le coup de la clé à se trimballer sans mourir pendant un niveau et demi).
- Castlevania 64 et Legacy of Darkness (N64). Cet épisode tient une place particulière pour moi car il s'agit du tout premier Castlevania auquel j'ai joué (eh oui!). Un épisode assez décrié pour sa jouabilité il est vrai assez perfectible, ainsi que sa caméré: il y a quelques phases de plate-forme pas évidentes du tout. Pourtant, l'ambiance est excellente, plus sombre et sinistre que les autres volets. On retrouve l'interface jour/nuit qui était apparue dans Simon's Quest (et on en retrouve la même utilité: les ennemis sont plus forts la nuit, et on atteint une mauvaise fin si trop de journées s'écoulent), et on retrouve un petit côté aventure pour le niveau de la villa, voire un côté Survival Horror pour ce niveau: on explore une villa et une grande maison, on affronte des vampires qui peuvent nous vampiriser s'ils nous mordent et qu'on n'a pas d'antidote (oui, un des rares Castlevania où on affronte des vampires autres que Dracula lui-même), un labyrinthe végétal super stressant quand on se fait poursuivre par deux chiens féroces et la créature de Frankenstein armée d'une tronçonneuse (invincinbles). Le scénario est aussi plus développé que d'habitude. Je me souviens aussi d'un grand moment de stress dans le niveau 5 où il faut traverser tout le niveau en portant de la nitroglycérine, sans sauter ni se faire attaquer pour ne pas exploser: grand moment de souffrance! On incarne soit Reinhardt Schneider (un Belmont), soit Carrie Fernandez (une descende de Sylpha Belnades de Castlevania 3): seuls trois niveaux changent selon le personnage (et les personnages secondaires ainsi que certains boss changent aussi).
Le "remake" Legacy of Darkness reprend le jeu d'origine, mais y rajoute un nouveau héros: Cornell le loup-garou. Sa quête comporte de nouveaux niveaux (ainsi que d'anciens niveaux recyclés et modifiés), dont un niveau prologue se passant sur un bateau. La quête se passe huit ans (je crois) avant celles de Reinhardt et Carrie, et il faut finir cette quête obligatoirement (ainsi que la mini-quête du chevalier Henri consistant à sauver des enfants dans les premiers niveaux, il est armé d'un flingue) pour débloquer les quêtes de Reinhardt et Carrie. Cornell attaque avec ses griffes et peut se transformer en loup-garou (pas comme on veut). Au final, le jeu est très long pour le genre si on veut finir avec tous les personnages, assez difficile, avec une excellente ambiance, et même un scénario plus travaillé que d'habitude dans un Castlevania: c'est surtout la jouabilité perfectible qui peut poser problème, mais on s'y fait si on accroche au jeu qui mérite vraiment d'être joué (de préférence Legacy of Darkness qui est une version "complète" du jeu). Dommage que Iga ait viré le jeu de sa chronologie des Castlevania.
- Castlevania Symphony of the Night (Playstation). Bon, j'y ai joué après avoir fait trois autres Metroidvania. C'est le jeu qui confirme le changement amorcé par Rondo of Blood et bascule la série dans une orientation à la Metroid. Désormais, plus rien ne sera comme avant. Ce que j'ai aimé dans le jeu, c'est évidemment son enrobage graphique et musicale, ainsi que la classe du héros Alucard, mais également le côté ouvert de l'exploration qui permet au joueur d'explorer plusieurs endroits dans le désordre (chose qui ne serai pas trop possible dans d'autres Metroidvania comportant une progression bien plus linéaire). La jouabilité n'est plus du tout comme avant, ça n'a plus à rien voir avec les vieux Castlevania plus raides: c'est vif désormais, on se croirait plutôt dans un Megaman. On retrouve aussi le concept des objets particuliers à trouver et de l'action particulière à faire pendant le faux combat final pour aboutir à la seconde partie du jeu et ne pas accéder à la mauvaise fin. Les salles sont également plus "uniques" et beaucoup moins "copiées-collées" que dans les autres Metroidvania. Ce que j'ai moins aimé par contre, c'est la facilité des ennemis et des boss (à part la grosse statue dorée qui tranche avec tous les autres boss du jeu).
Ce que j'ai carrément détesté, c'est toute la seconde partie du château inversé. Cette seconde partie, malheureusement, n'est qu'une redite laborieuse et répétitive de la première partie, avec un recyclage éhonté du level-design (on prend le même et on le met à l'envers: bof!), conjuguée à la faculté d'Alucard de voler absolument partout en brume, ce qui annule complètement tout level-design!!! Bah oui, à partir du moment où on peut voler partout, il n'y a plus de level-design! On enchaîne alors des boss super faciles (la Mort, non mais franchement, je l'ai expédié en moins de deux, alors que c'est censé être un grand moment et un affrontement difficile dans la série), on passe son temps à voler dans un level-design inexistant (et repris de la première partie), et on affronte un Dracula au cours d'un combat très brouillon, bourrin et facile. En plus, dans cette seconde partie on entend quasiment toujours la même musique (sympa mais moins bonne que le reste de la bande-son). Bref, je me suis forcé à finir le jeu: autant j'ai adoré la première partie, autant la seconde partie du jeu m'a saoulé (pour une durée de vie artificiellement gonflée), c'est dommage!
- Castlevania Circle of the Moon (GBA). En fait le premier Metroidvania auquel j'ai joué. Globalement, j'ai beaucoup aimé le jeu, pour sa difficulté élevée et ses combats bien plus techniques (et maintenant on peut faire une glissade façon Megaman pour esquiver). La bande-son est excellent, mais malheureusement presque uniquement composée de remixes (cela dit, la musique du premier niveau est géniale). Le jeu reprend l'approche de Symphony of the Night et donc de Metroid dans sa progression. Le héros trouvera des cartes lâchées par des ennemis vaincus (mais pas avec une probabilité de 100%), et il faudra bien exploiter ces cartes pour obtenir des pouvoirs, armes et aptitudes qui nous sauveront la vie durant certains combats. Je lui reproche quand même un level-design trop copié-collé, et comme dans tous les Metroidvania un aspect plate-forme punitif désormais sacrifié (on n'a plus de trous mortels dans les Metroidvania, rares sont les endroits comme les tours d'horloges remplies de têtes de méduse qui nous demandent de refaire un passage de plate-forme): c'est une part de l'identité des Castlevania qui a disparu. Néanmoins, j'ai adoré tout l'aspect action et combat, et Dracula est un des plus durs à battre de toute la série!
- Castlevania Aria of Sorrow (GBA). Autre déclinaison de la formule Metroidvania. Cette fois, en guise d'armes et de pouvoirs, on utilise des âmes qu'on a inspirées des ennemis vaincus. Ce qui change pas mal, c'est le scénario: on est dans un futur proche au XXIème siècle, et on apprend que Dracula a été tué pour de bon par le dernier Belmont (Julius) en date! Le scénario est plus travaillé avec un très bon coup de théâtre à la fin! Le level-design est mieux que dans Circle of the Moon, un peu moins collé, et l'exploration propose une petite ouverture dans le milieu: c'est le Metroidvania le plus court auquel j'ai joué (5 heures), ce qui lui permet d'éviter l'ennui dû à la redondance du level-design qui me faisait décrocher dans d'autres Metroidvania. Je lui reprocherais juste une difficulté trop faible (mise à part certains boss). Mais toujours est-il que j'ai beaucoup aimé cet épisode. Pas fait la suite Dawn of Sorrow sur DS.
- Castlevania Portrait of Ruin (DS). Bon, on retrouve toujours la formule Metroidvania. Quelques changements: on dirige un duo de héros au lieu d'un seul, et le jeu ne se passe plus uniquement au château mais également dans des niveaux au décor complètement différent et dépaysant (pyramide égyptienne, cité londonienne brumeuse...), accessible depuis des tableaux accrochés et cachés dans le château de Dracula. Suite de Bloodlines sur Megadrive: le héros Jonathan est le fils du héros John Morris du volet Megadrive, et le contexte de Première Guerre Mondial est remplacé par la Seconde Guerre Mondiale (mais ça reste super discret, on ne ressent pas du tout la Guerre). Changement de design pour les cinématiques, d'assez mauvais goût et trop manga à mon goût. Le jeu n'est pas mal, mais je le trouve un peu faiblard comparé à d'autres Metroidvania: toujours trop de copier-coller dans le level-design et les salles visitées, des musiques auxquelles je n'ai pas trop accroché (bien que ce soit du Yuzo Koshiro en bonne partie), j'ai trouvé que le duo n'apportait pas grand chose au gameplay, jeu un peu trop long. Apparition de quêtes annexes en parlant à Wind (qui cache un personnage connu des fans de Bloodlines), mais on se heurte trop souvent au défaut de l'objet à trouver qui apparaît avec une probabilité trop faible en battant un ennemi(quand il ne s'agit pas d'un ennemi rare qui s'enfuit rapidement).
Je lui reproche surtout la seconde partie, qui nous sort quatre nouveaux portraits qui ne sont que des variantes (même thématique: Egype, cité londonienne...) des quatre portraits de base: pfff, level-design recyclé puissance 10 (heureusement encore que les ennemis changent un peu)! On remarque aussi que les ennemis sont presque toujours les mêmes depuis Rondo of Blood et Symphony of the Night. Toutefois, je reconnais à Portrait of Ruin de proposer un très bon et vaste contenu annexe fan service (avec plein de boss optionnels), et un scénario plutôt pas mal, ainsi qu'un affrontement contre Dracula culte bénéficiant d'une idée unique pour la série. Et aussi une hausse de la difficulté par rapport à Aria of Sorrow, il faut gaffe contre les boss (qui me tuaient plusieurs fois pour la plupart) et certains ennemis.
- Castlevania Order of Ecclesia (DS). Ah, lui, c'est mon Metroidvania préféré, pour plusieurs raisons. Déjà, le changement de design opérant un retour à quelque chose de plus sombre, gothique et classe, avec une héroïne Shanoa très classe. On retrouve un petit peu l'idée de Simon's Quest consistant à visiter la Transylvanie et plus seulement le château de Dracula (ça joue un peu le même rôle de dépaysement que les tableaux de Portrait of Ruin), avec un village central à revisiter constamment (au début vide, il va peu à peu se remplir de personnages qu'on aura sauvés dans les niveaux). Ca reste tout de même du Metroidvania dans sa structure, mais cette variété d'environnement m'a plu, ainsi que l'ambiance que j'ai adorée, et surtout le système de combat! On combat avec des glyphes qu'on aspire des ennemis vaincus, qu'on peut combiner pour avoir d'autres effets: ça ressemble un peu au système d'âmes d'Aria of Sorrow. La difficulté a encore augmenté par rapport à Portrait of Ruin, il faut faire encore plus attention, être réactif, et bien utiliser les glyphes. On retrouve le concept des quêtes annexes données par des villageois, mais un peu plus réussies que celles données par Wind dans Portrait of Ruin, le jeu m'ayant donné l'impression d'avoir une meilleur probabilité d'obtenir un objet en battant un ennemi. La plupart des boss sont très intenses et très techniques (le crabe du phare par exemple), j'ai adoré les combats.
La seconde partie du jeu nous amène au château de Dracula, que j'ai trouvé plus ouvert que dans Portrait of Ruin (on peut explorer quelques zones et affronter quelques boss dans le désordre), et constitue un très moment et changement d'orientation du jeu (avec une très bonne musique reprise du thème principal du jeu). D'autres boss mémorables à affronter et pas faciles (celui en ombre chinoise, ou bien le boss énorme bien plus grand que l'écran de la DS et dont on peut monter sur le dos). Le scénario est sympa aussi, j'ai bien aimé. Il y a aussi quelques niveaux bonus à débloquer et à réussir: l'un orienté plate-forme punitive (vraiment pas facile), et un autre où on affronte plein d'ennemis en enchaînant plusieurs salles (c'est très chaud!). Bref, j'ai adoré le jeu qui est devenu mon Metroidvania préféré.
- Castlevania the Adventure: Rebirth (Wii Ware). Petit retour en arrière, revival rétro: exit l'orientation Metroidvania, on renoue avec l'orientation des vieux Castlevania 8 bits. Bon, l'épisode n'est pas totalement nouveau car c'est en fait un remake de Castlevania the Adventure sur Game Boy (que je n'ai pas fait, le jeu semble super dur et pas très réussi d'après le consensus général). La jouabilité est un peu raide (saut qu'on ne peut pas modifier, pas moyen de sauter sur les escaliers, on se croit revenu dans Castlevania 1), mais on s'y fait. La difficulté est bien présente, le jeu tient bien la route graphiquement avec une bonne ambiance, les musiques sont bonnes (en étant des remixes de musiques peu connues de la série: premier niveau de Bloodlines sur Megadrive, un niveau de Haunted Castle en arcade, de Belmont's Revenge sur Game Boy apparemment). Les niveaux proposent des embranchements accessibles par des portes à déverrouiller après avoir ramassé la clé peu avant, même si au final on affronte le même boss à la fin. Apparemment dans le jeu d'origine sur Game Boy, les niveaux étaient linéaires sans embranchement. Bref, un Castlevania rétro très sympa, pas facile, j'ai bien aimé.
Ouf, ça y est, j'ai fini: c'était long! Et encore je n'ai parlé que des Castlevania auxquels j'ai joué (pas fait les volets arcade, les trois volets Game Boy, les volets 3D sur PS2 et consoles HD, ni Harmony of Dissonance et Dawn of Sorrow, ni la version GX 4000 de Castlevania 1)! ^^
J'ai finalement battu frankenstein (vraiment super chaud(oui je suis un noob)) et après j'ai arrétté parce que j'étais fatigué donc je recommencerais demain depuis le début (comme j'ai vue qu'il n'y a que 6 niveaux j'imagine que j'étais au niveau de la Mort qui est réputé pour être vraiment hard j'le sens mal)
EDIT: bon la mort est pas si hard c'est surtout le couloir juste avant avec les deux chevaliers et les têtes de méduse en gros je galère depuis se matin ><
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Pour le coup, Rudolf a raison : tout était trouvable si on lisait ce que disaient les PNJ et qu'on réfléchissait aux mécaniques du jeu (j'ai trouvé quand j'étais gosse, et je suis pas un esprit supérieur aux dernières nouvelles :D).
Après, tout comme pour l'ami Kaz, je conçois très bien que ça ne plaise pas à tout le monde :)
Sinon, je vais en choquer certains, mais pour moi, en dehors de Simon's Quest, Castlevania a été une série sympatoche sans plus, voire moyenne, jusqu'à ce que Symphony of the Night sorte ! Les épisodes "die and retry" ont toujours été très pauvres à mon sens (ambiance sonore mise à part), car à côté, j'avais les graphismes, le level design et le gameplay des Megaman Classic et X qui écrasaient complètement la série de Konami (dont je préférais pourtant l'univers) !
Et pour en finir avec les révélations, j'ai détesté - mais vraiment - Symphony of the Night lors de ma première partie, au point que j'ai failli le revendre ! Je n'ai compris l'intérêt de ce soft exceptionnellement riche et léché que plus d'un an après, quand je lui ai donné "un dernière chance avant de le revendre" !
Mais même si c'est mon Castlevania culte par excellence aujourd'hui, n'allez pas croire que je ne sois pas critique envers Symphony of the Night : le jeu est trop facile pour peu qu'on fasse un chouilla de levelling (mais vraiment juste un peu), ça manque un peu de PNJ/dialogues pour le côté RPG (comparativement à Simon's Quest), même si le château est grand et varié les phases en extérieurs manquent un peu (SQ again), le 2nd château est pas forcément mal mais on sent trop qu'il n'a pas été inclus correctement dans le level design d'ensemble, et le hasard est un peu trop présent (chopez la Crissaegrim, et vous comprendrez ce que je veux dire).
...
Ha oui, et la version Saturn est graphiquement honteuse (je rappelle que la console fait tourner Princess Crown, entre autres) !
Je suis a dracula, il est chaud (enfin pour moi ^^) mais il est prenable.
(j'ai honte mais pour la mort j'ai pris l'eau bénite qui était au début du niveau et je l'ais spamé '--)
EDIT: J'ai finalement terminée le jeu, je ferais bientôt une petite conclusion personnel, (j'ai essayé le mode difficile mais le niveau 2 avec toutes les têtes de méduse de partout c'était hard)
Conclusion: Bon part où commencer? Je vais déjà parler de mon expérience personnel, j'ai fais quelque Castlevania. Quatre en tous (oui c'est peu) et j'ai particulièrement aimé les opus typé action plateforme (le seul metroidvania que j'ai fais c'est SOTN et je l'ais apprécié moyennement). Ensuite j'ai fais très peu de jeu sur nes mais je n'en avais trouvé aucun excellent, je considérais donc que les consoles 8bit ce n'étais pas pour moi et que je ne pouvais vraiment aimé un jeu sur cette console.
Parenthèse fermé je vais dire directement ce que j'ai pensais du jeu, bah c'est excellent, j'ai pris énormément de fun à jouer et je me suis amusé de bout en bout (j'ai même moins ragé que dans Super Castlevania IV ^^), déjà à cause de quoi, le gameplay tout simplement, je sais qu'il a été énormément critiqué mais j'adore le gameplay old school des Castlevania (le meilleur gameplay à ce jour est pour moi celui de Richter dans Dracula X (j'ai trouvé celui de Castlevania IV mois amusent au final m'enfin)). J'ai beaucoup aimé les sauts rigide mais qui nes sont pas forcément génant puisque les jeu est pensé pour eux seul point noir, les escalier je ne pensais pas que l'on pouvait faire pire que dans Castlevania IV mais là c'est on rentre à un bout et on sort par l'autre sans ses deux bouts les escalier ce n'est rien. Ensuite graphiquement, bein c'est de la nes et comme je l'ais dit je ne suis pas le mieux plassé pour juger cette console, il faut quand même noté que c'est agréable à l'oeil (sauf le début du stage six (le pont avec les plantes accroché le long de la tour je trouve que l'oeil est perdu lorsque l'on regarde ça mais c'est uniquement une petite portion de niveau (juste l'écran du début).
Musicalement et bien c'est du Castlevania j'ai beaucoup apprécié la bande son (une des meilleurs bande son que j'ai jamais entendu sur nes) mention spécial pour la musique du stage 5.
Quesqu'il nous reste, rejouabilité? Je ne sais pas encore, je me suis refait le jeu tout à l'heure est j'ai pris une heure pour le finir (refait le mode facile pas difficile ^^)
Durée de vie, et bien ça dépend du joueur je pense.
A oui je devais parlé des boss, et bien ils sont... et bien c'est spécial, j'ai trouvé le premier boss (chauve sourie) nul mais bon c'est le premier on va dire que ça va, le deuxième (la méduse) c'est du bourrinage total pareil pour le 3ème (les momies), j'ai trouvé que le 4ème (Frankenstein) était abusé, la mort quand a elle est vraiment intéressant à combattre (un truc à faire ^^) et quand a Dracula une première forme très intéressante (raaah quand il pope sur nous ><) par contre j'ai pas compris le principe de sa deuxième forme du coup j'ai bourriné et c'est passé.
Bon je me trompe peut être (si ça se trouve (Frankenstein (c'est plus court que de dire "la créature de Frankenstein) est juste un boss technique est très intéressant), après tout les boss ont un défaut (sauf dracula et la chauve souris (pratique de voler :p)) c'est qu'on peut les freezer avec l'eau bénite mais ça c'est plutôt le défaut de l'eau bénite qui est abusé (je m'en suis servis une fois sur la mort (mais un jour je me la ferais sans cette fâcheuse stratégie).
Donc voilà pour Castlevania I, pour conclure on peux retenir que c'est un bon jeu est surtout un jeu culte (je pense que je me souviendrais toute ma vie (jusqu’à ce que je perde la mémoire :p) de cette aventure épique dans le château de Dracula.
EDIT: Oula un peu brouillon ^^'
A oui et le fait que j'ai finalement choisi de le prendre sur console virtuel a été poussé par le fait que je n'étais pas certain d'aimé donc je n'ais pas voulu acheter de nes et que je vais bientôt me procurer castlevania bloodlines sur Megadrive, comme je ne suis pas richissime j'ai choisi l'option émulation sur la wii.
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Quelqu'un peut m’expliquer ça (je viens de le lire ici http://castlevania.free.fr/v2006/jeux/jeux/presentation.php5?idJ=2 ) j'ai éssayé cher moi ça les ralentie à peine (mais vraiment a peine) mais ça ne les arrêtes pas.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.