Retour de Vacance, retour a la vie normale... pas envie d'écouter des trucs d'été pas envie d'écouter des paroles, je met des trucs instrumentaux.
Le soir quand la chaleur retombe et qu'un vent salvateur se lève...
La flutiste Ludivie Issambourg qui nous sort un album intemporel dans le style fusion jazz 70's.
Dr Rubberfunk - Slim's Mood pareil on est en plein dans les 70's là, alors que c'est sorti en 2019
La Harpiste de Jazz Dorothy Ashby
Et parce que j'arriverais jamais a me défaire du son funky des années 80, y'a rien a faire je suis pas né a la bonne époque.
Sadao !
Bonne rentrée a tous et bonne vacances pour ceux qui y sont encore.
Le jeu vidéo est-t'il un art ?
Non, c'est l'art qui est un jeu.
Vous revoilà enfin ! Ce n’est pas trop tôt, les zamis ! J’espère de tout cœur que vous avez pu regonfler vos poumons dans un endroit autre que le domicile qui est la pire chambre de décompression – j’en parle en connaissance, n’ayant pas quitté Marseille, je respire du CO2 matin et soir –, j’espère que vous avez pu vous mettre au vert. En tout cas c’est cool de revoir vos avatars ! Vous me manquiez. Preuve que je vous suis ombilicalement attaché. Le fil d’Ariane est un fil qui nous rattache, que les camarades tiennent et qui permet de partager des musiques auxquelles nous n’aurions pas songé sans leur intervention, des musiques célestes comme celles que notre enfance envoyait par le fil du cerf-volant – aujourd’hui c’est « drone » qu’on dit. Mais assez parlé. Pour célébrer le retour des amis GreenSnake et Atronak, je propose cette rare mais non moins célèbre incursion des Doors en territoire funky.
Oh purée, me parle pas de l’Ardèche, l’ami ! J’avais fait ado la classique descente en canoë avec un pote et deux copines, j’en garde un goût étrange.
Mon pauvre vieux, mais qu'est-ce que vous faisiez avec ces filles ?!! C'était vraiment des copines à vous ?! ^^
Vu comme tu m'as décris ton périple dans les gorges je me pose des questions.
Comme quoi, mieux vaux voyager seul que mal accompagné. Tu m'étonne que t'en garde un goût étrange.
Et le coup des provisions... Bordel de noms d'oiseaux !!!!
Moi je t'aurais balancé tout ça à la grenade ni une ni deux, on aurait déclaré deux noyées le lendemain aux infos. :p
Pour te répondre c'était bien les gorges de l'Ardèche et non du Verdon, que j'ai déjà faites mais que je referais avec grand plaisir tout comme le Tarn et la Dordogne d'ailleurs. L'Ardèche je les avais déjà faites 2 fois mais quand on passe à côté pourquoi se priver !! ^^
Et les plateaux du Vercors sont magnifiques, c'est toujours un plaisir d'aller barouder dans le coin, surtout pour y observer des loups, mon animal de prédilection.
Merci pour la petite piqûre de rappel avec American Football et Owen car grâce à toi j'ai pu prendre connaissance de son nouvel album.
Bon je vois que les Doors ont le vent en poupe alors on va enchainer avec un p'tit Yes :
Oh et puis un 2ème tiens, t'en qu'on y est :
Pourquoi 2 Yes me direz-vous ? Et bien parce que ça fait
... ▼▲
Parfois... ▼▲
il m'arrive d'avoir honte de moi, mais seulement parfois.
Ginko, mon p'ti coeur, je pense très fort à toi... tous les jours.
Mon pauvre vieux, mais qu'est-ce que vous faisiez avec ces filles ?!! C'était vraiment des copines à vous ?! ^^
Vu comme tu m'as décris ton périple dans les gorges je me pose des questions.
Les deux filles ▼▲
Tu sais bien, avec les filles, on a toujours dans un premier temps ce sentiment de colin-maillard où nos mains touchent du vide et rencontrent rarement formes douces. Au collège-lycée, j’étais aveugle et sourd à ce jeu-là. Je n’y comprenais rien. Plus j’allais vers elles, plus je constatais que l’erreur triomphait et qu’il n’existait aucun recul puisqu’il n’y a que l’immédiat – je me disais – qui compte : là était mon erreur. C’est cette absence de recul qui faussait les perspectives et m’écrasait le nez contre la vitre. Un vrai couillon, quoi. Les deux filles en question venaient du lycée Montgrand, mon pote et moi de Saint Thomas d’Aquin chez les sœurs dominicaines. Le midi on déjeunait ensemble au Cortès, sur la Place de Rome à Marseille, le troquet existe toujours, nous étions toute une tablée. L’hiver elles portaient un manteau de fourrure. Puis, à l’arrivée des beaux jours, nous leur avions proposé cette escapade en Ardèche et elles avaient dit oui. Moi je croyais que ce oui était un oui sur toute la ligne. Ben non. Elles avaient accepté le voyage mais pas le reste. Bah, avec le recul, je peux les comprendre. Deux jeunes poulains issus des sœurs dominicaines, c’est deux chaussettes sans élastique lâchées dans la nature. On portait encore bermudas et Kickers, c’est te dire l’ampleur du désastre.
White Silent a écrit:
Pour te répondre c'était bien les gorges de l'Ardèche et non du Verdon, que j'ai déjà faites mais que je referais avec grand plaisir tout comme le Tarn et la Dordogne d'ailleurs. (...) Et les plateaux du Vercors sont magnifiques, c'est toujours un plaisir d'aller barouder dans le coin, surtout pour y observer des loups, mon animal de prédilection.
Merci de ta réponse. Ce doit être fabuleux de croiser des loups. T’en as vu d’assez près pour contempler leurs yeux qui regardent ailleurs, l’air de rien, comme s’ils pensaient le monde ? Ils ont de ces yeux ! Et t’as fait comme Bashung, White Silent ? T’as déjà sauté à l’élastique depuis le pont de Ponsonnas ?
Bon ben, je vais être très féminin pour la peine.
Puisque tu dis Yes, je dis No, voilà !
Avec John Adams et son Harmonium, œuvre pour formation gigantesque qu’il a écrite sur des poèmes de John Donne et Emily Dickinson. Divisée en trois mouvements (2 et 3 s’enchaînent), le premier s’intitule Negative Love et commence par ces paroles : « No no no no no no no no no (...) Never never never never never never... » Une musique qui conviendra aux darksouliens, aux amateurs d’épique.
Puis The Figurehead, chanson extraite de l’incontournable album Pornography, opposant le feu et la glace, la haine et l’amour, les battements primitifs et la vie contemporaine, pur(e) cri(se) de l'être en révolte contre le monde et contre soi-même. « I can never say no... I can never say no to anyone but you »
Pourquoi deux "No", me direz-vous ? Eh bien parce que ça fait
... ▼▲
Jamais... ▼▲
...je ne laisse un copain se consumer seul de honte. Jamais.
Tiens Depakote, j'ai trouvé un endroit sympa ou l'on pourrait se retrouver pour boire un verre...
:p ▼▲
C'est un lieu réservé à ceux qui n'ont honte de rien. ^^
Merci de m'avoir éclairé au sujet de cette histoire avec les "deux filles". Je te comprends, moi aussi je n'étais pas très doué à cette époque là, à vrai dire je m'en foutais un peu et j'ai loupé quelques occasions mais bon. Et parfois c'était l'inverse, je dressais des plans sur la comète en me berçant d'illusions... mais on finit par s'en remettre. ^^
Depakote a écrit:
Bah, avec le recul, je peux les comprendre. Deux jeunes poulains issus des sœurs dominicaines, c’est deux chaussettes sans élastique lâchées dans la nature
Des chaussettes sans élastiques sont des chaussettes libres et moi je cris :
... ▼▲
Depakote a écrit:
On portait encore bermudas et Kickers, c’est te dire l’ampleur du désastre.
:v ▼▲
Blague à part, le combo bermudas/kickers c'était stylé, je faisais partis de cette confrérie.
Après cette très belle Harmonie négative et cette cure musicale je vais jouer la carte de l'indécision et te répondre "peut-être" par 3 fois :
Pourquoi trois "peut-être", me direz vous ? Eh bien parce que c'est comme ça, voilà !!!
Ginko, mon p'ti coeur, je pense très fort à toi... tous les jours.
Sympa le lieu que tu as dégoté pour les gens qui n’ont honte de rien. C’est même vachement bien trouvé, White Silent. Présentée ainsi, ton invitation d’aller prendre un verre, je ne peux évidemment qu’y répondre par un franc et ferme...
tan...tantan... ▼▲
En ouvrant la balise « Mel Gibson », j’ai été surpris. Son cri – « Freeeeedommmm for Burlington !!! » – est à la fois percutant et mobilisateur. Il devrait se lancer en politique. Je le vois bien discourir à la tribune d’un meeting pendant que la foule en délire agiterait des chaussettes rouges et bleues constellées de paillettes.
Hein ? Attendez... Que veulent dire tous ces « maybe », mademoiselle ? Comment ça, vous jouez la carte de l’indécision ? No way ! Si je convoitais PJ Harvey, je comprendrais, la pauvre a la tête farcie de stratus et de toiles d’araignée. Mais c’est tout de même un comble que Björk la délurée et Janis la camée se mettent à jouer les pimbêches, les mijaurées, merde ! Mais non je ne crie pas !!! Écoutez, mademoiselle... Écoutez... Vous ne voulez pas m’écouter ? Soit ! Je vais appeler Jeanne à ma rescousse – Jeanne, au s’cours ! – car vous avez une porte en ferraille à la place du cœur.
Vraiment, si jeune mais si froide, cela me dépasse...
Je ne vous comprends pas, non. Votre cœur s’oppose au doux vertige et joue un peu le rôle du plomb qui assure l’équilibre des bonshommes tombant toujours debout si on les jette en l’air. Vous me prenez, me soupesez et me jetez en l’air comme ça, vlan ! Le jeu vous amuse, hein ! Mais jusqu’à quand vais-je retomber en un seul morceau ? Que faut-il donc faire, mademoiselle, pour que vous disiez oui ? Vous couvrir de diamants, de fourrure et de champagne ?
J’ai cassé ma cache-maille pour un collier de perles. Je trouvais le chant de cette fille envoûtant, sa musique générait dans mon cerveau l’image d’une jolie plaine désoléeeeuuuuh (copyright Yassine). Alors, histoire d’ajouter du mystère au mystère, le coffret de bois renfermant le collier, j’ai demandé au service livraison de DHL International de le placer dans une forêt en Islande où cette fille a l’habitude de se promener, en insistant bien sur un détail : je voulais un système de fil rouge pour éviter qu’elle se fasse chier à le chercher trois plombes parce qu’il neige sans arrêt là-bas. Monsieur DHL m’a dit OK, ça vous fera tant – la mise en scène m’a coûté plus cher que le reste. La nana, moi, je pensais que ça allait lui faire plaisir. Ben, à la découverte du coffret et de son contenu, elle a changé du tout au tout : son chant est devenu affolé, son visage aussi flippant que la tronche des zombies de RE. J’ai rien compris. Je vois pas où j’ai merdé. En fait, je crois que cette fille, durant toute sa vie, sentira sa vie finir. À force de faire la planche sur l’Achéron, elle semble comme la toile de fond permanente sur quoi se découpe son existence déjà raide. Bref, conseil d’ami : n’essayez jamais de pécho une gothique.
(Ou alors... elle se serait vexée en voyant que les perles étaient fausses... Impossible, non. Si c’était le cas, ce serait petit de sa part, très petit.)
J'aime bien la manière dont tu décris le clip, on à l'impression que c'est du vécu. Une sorte de recueil fantasmé tel le capitaine d'un fabuleux 3 mâts qui, se retrouvant acculé entre l'écueil et la plage, rédigerait son testament à la pointe de sa pensée.
Je n'ai jamais essayé de "pécho" une gothique, tout du moins je n'en ai jamais eu l'occasion mais si c'est pour qu'elle réagisse de cette manière juste à cause d'un collier de perle, très peu pour moi. ^^
Symphatique cette "fille utopique", je ne connaissais pas. Solveig Matthildur fait trembler les forêts Islandaises avec l'écho lancinent de sa voix emplie d'une tristesse incomprise par les autres.
Une utopiste qui découvre une boite de pandore suite à une pérégrination guidé par un fil rouge aux nœuds multiples. La "pandora'box" s'étant matérialisé en un simple collier de perle nacré, la fille pénétra dans une sorte de trans passive et douce. Le collier dans ses mains, elle se demanda si elle n'avait pas déjà vu le même dans une bijouterie au coin de sa rue.
Moralité : L'utopie est un doux rêve qui reflète une dure réalité.
Depakote a écrit:
Si je convoitais PJ Harvey, je comprendrais, la pauvre a la tête farcie de stratus et de toiles d’araignée.
Je ne peux pas te laisser dire du mal de PJ Harvey, vile mécréant. Pour la peine, voici ton châtiment :p
Suivi d'un revers de la main gauche en compagnie d'une amourette déchu :
Et enfin l'uppercut final, l'homme, seul, en compagnie des ses mauvaises graines qui se remet de ce chagrin d'amour :
Que je ne t'y reprenne plus. ^^
Ginko, mon p'ti coeur, je pense très fort à toi... tous les jours.
@Depakote : Trois semaines après je te réponds sur Audioslave : Cool que tu aimes et les morceaux que tu cites sont effectivement de la bonne came !
Sans transition :
The Coral, excellent groupe de Britt pop/rock injustement méconnu.
Sinon dans ma chaîne Hi-Fi il y a cet album qui traîne :
C'est velu comme il faut tout en proposant de belles harmonies et de bons solos.
Sell kids for food
Retour de Vacance, retour a la vie normale... pas envie d'écouter des trucs d'été pas envie d'écouter des paroles, je met des trucs instrumentaux.
Le soir quand la chaleur retombe et qu'un vent salvateur se lève...
La flutiste Ludivie Issambourg qui nous sort un album intemporel dans le style fusion jazz 70's.
Dr Rubberfunk - Slim's Mood pareil on est en plein dans les 70's là, alors que c'est sorti en 2019
La Harpiste de Jazz Dorothy Ashby
Et parce que j'arriverais jamais a me défaire du son funky des années 80, y'a rien a faire je suis pas né a la bonne époque.
Sadao !
Bonne rentrée a tous et bonne vacances pour ceux qui y sont encore.
Le jeu vidéo est-t'il un art ?
Non, c'est l'art qui est un jeu.
Playlist spotify funk pour soirée chill:
https://open.spotify.com/playlist/43X0D7Gyzj7zVqI1S5v9ug?si=3dbd3ec35e1047af
Yep la fin des vacances est bien là... Bon courage à tous !
Sans transition :
Lourd quand même...
Sell kids for food
Mon pauvre vieux, mais qu'est-ce que vous faisiez avec ces filles ?!! C'était vraiment des copines à vous ?! ^^
Vu comme tu m'as décris ton périple dans les gorges je me pose des questions.
Comme quoi, mieux vaux voyager seul que mal accompagné. Tu m'étonne que t'en garde un goût étrange.
Et le coup des provisions... Bordel de noms d'oiseaux !!!!
Moi je t'aurais balancé tout ça à la grenade ni une ni deux, on aurait déclaré deux noyées le lendemain aux infos. :p
Pour te répondre c'était bien les gorges de l'Ardèche et non du Verdon, que j'ai déjà faites mais que je referais avec grand plaisir tout comme le Tarn et la Dordogne d'ailleurs. L'Ardèche je les avais déjà faites 2 fois mais quand on passe à côté pourquoi se priver !! ^^
Et les plateaux du Vercors sont magnifiques, c'est toujours un plaisir d'aller barouder dans le coin, surtout pour y observer des loups, mon animal de prédilection.
Merci pour la petite piqûre de rappel avec American Football et Owen car grâce à toi j'ai pu prendre connaissance de son nouvel album.
Bon je vois que les Doors ont le vent en poupe alors on va enchainer avec un p'tit Yes :
Oh et puis un 2ème tiens, t'en qu'on y est :
Pourquoi 2 Yes me direz-vous ? Et bien parce que ça fait
Ginko, mon p'ti coeur, je pense très fort à toi... tous les jours.
Bon ben, je vais être très féminin pour la peine.
Puisque tu dis Yes, je dis No, voilà !
Pourquoi deux "No", me direz-vous ? Eh bien parce que ça fait
Tiens Depakote, j'ai trouvé un endroit sympa ou l'on pourrait se retrouver pour boire un verre...
C'est un lieu réservé à ceux qui n'ont honte de rien. ^^
Merci de m'avoir éclairé au sujet de cette histoire avec les "deux filles". Je te comprends, moi aussi je n'étais pas très doué à cette époque là, à vrai dire je m'en foutais un peu et j'ai loupé quelques occasions mais bon. Et parfois c'était l'inverse, je dressais des plans sur la comète en me berçant d'illusions... mais on finit par s'en remettre. ^^
Des chaussettes sans élastiques sont des chaussettes libres et moi je cris :
Blague à part, le combo bermudas/kickers c'était stylé, je faisais partis de cette confrérie.
Après cette très belle Harmonie négative et cette cure musicale je vais jouer la carte de l'indécision et te répondre "peut-être" par 3 fois :
Pourquoi trois "peut-être", me direz vous ? Eh bien parce que c'est comme ça, voilà !!!
Ginko, mon p'ti coeur, je pense très fort à toi... tous les jours.
Vraiment, si jeune mais si froide, cela me dépasse...
(Ou alors... elle se serait vexée en voyant que les perles étaient fausses... Impossible, non. Si c’était le cas, ce serait petit de sa part, très petit.)
J'aime bien la manière dont tu décris le clip, on à l'impression que c'est du vécu. Une sorte de recueil fantasmé tel le capitaine d'un fabuleux 3 mâts qui, se retrouvant acculé entre l'écueil et la plage, rédigerait son testament à la pointe de sa pensée.
Je n'ai jamais essayé de "pécho" une gothique, tout du moins je n'en ai jamais eu l'occasion mais si c'est pour qu'elle réagisse de cette manière juste à cause d'un collier de perle, très peu pour moi. ^^
Symphatique cette "fille utopique", je ne connaissais pas. Solveig Matthildur fait trembler les forêts Islandaises avec l'écho lancinent de sa voix emplie d'une tristesse incomprise par les autres.
Une utopiste qui découvre une boite de pandore suite à une pérégrination guidé par un fil rouge aux nœuds multiples. La "pandora'box" s'étant matérialisé en un simple collier de perle nacré, la fille pénétra dans une sorte de trans passive et douce. Le collier dans ses mains, elle se demanda si elle n'avait pas déjà vu le même dans une bijouterie au coin de sa rue.
Moralité : L'utopie est un doux rêve qui reflète une dure réalité.
Je ne peux pas te laisser dire du mal de PJ Harvey, vile mécréant. Pour la peine, voici ton châtiment :p
Suivi d'un revers de la main gauche en compagnie d'une amourette déchu :
Et enfin l'uppercut final, l'homme, seul, en compagnie des ses mauvaises graines qui se remet de ce chagrin d'amour :
Que je ne t'y reprenne plus. ^^
Ginko, mon p'ti coeur, je pense très fort à toi... tous les jours.