Je vous propose un peu de sérénité dans ce monde de brutes pour ne pas oublier que la beauté et le calme sont importants pour garder un équilibre mental. Aussi, n'oubliez pas que la musique peut avoir un effet sur les émotions ressenties. N'hésitez donc pas à écouter de la musique pour vous faire du bien !
Steve Reich - Duet for Two Solo Violins and String Orchestra
Navré pour le microparasite, de 3:38 à 3:40, en deux temps, survenu sans doute après encodage. C’est ainsi. On n’y peut rien. Il ne parvient pas malgré tout à contaminer le discours de ces violons hautement « sanitaire », adjectif qui ne devrait s’utiliser que pour la musique de Steve Reich.
Mozart – Adagio en Do pour armonica de verre, interprété par Dennis James
Pour sortir, de l’armonica de verre, sa sonorité enchanteresse, il faut se laver les mains 100 fois par jour et ne surtout pas s’essuyer. Sinon on n’obtient rien. C’est, tout comme avec les verres en cristal, l'eau sur les doigts qui donne naissance au son. Vous trouverez ici, si ça vous intéresse, une présentation de l’instrument par le musicien français Thomas Bloch.
Jacques Castérède - Ménage à trois (pour piano à six mains)
Sarah Kirkland Snider — Unremembered : No. 11, The Orchard (David Michael Stith, chant lead)
L’idée d’avoir demandé à David Michael Stith de prêter sa voix, au lieu d’un traditionnel ténor ou contreténor, donne une sacrée belle couleur. On croirait entendre Robert Wyatt chanter. Décidément Sarah Kirkland Snider fait partie du cortège des bâtons dans les roues, des empêcheurs de tourner en rond. Sa musique, entre le figuratif et le non-figuratif, la difficulté d’être et l’attraction du rêve, est comme un soleil. Elle naît d’une âme qui se consume et nous fait fondre avec elle.
Christopher Cerrone — Liminal Highway : IV Liminal (Tim Munro, flûte)
L'île des morts de Sergueï Rachmaninov (1873-1943) est un poème symphonique inspiré par la peinture du même nom d'Arnold Böcklin (1827-1901). On peut y entendre les mouvements de l'eau et de la rame du passeur Charon qui conduit les mortels vers leur ultime demeure.
Spoiler ▼▲
Vous pourrez y entendre le thème du Dies irae, thème généralement associé à la mort dans la religion catholique.
Rachmaninov n'est pas le premier à utiliser ce thème dans une de ses œuvres : Lully, Charpentier, Gossec, Berlioz, Liszt, Dvorak, Saint-Saëns, Brahms, Mahler...
Je vous propose un peu de sérénité dans ce monde de brutes pour ne pas oublier que la beauté et le calme sont importants pour garder un équilibre mental. Aussi, n'oubliez pas que la musique peut avoir un effet sur les émotions ressenties. N'hésitez donc pas à écouter de la musique pour vous faire du bien !
Bonne écoute !
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Karl Goldmark (1830-1915) est un compositeur hongrois exerçant à Vienne notamment.
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
(Vidéo de Máni Sigfússon)
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
L'île des morts de Sergueï Rachmaninov (1873-1943) est un poème symphonique inspiré par la peinture du même nom d'Arnold Böcklin (1827-1901). On peut y entendre les mouvements de l'eau et de la rame du passeur Charon qui conduit les mortels vers leur ultime demeure.
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)