Re: Référencement des critiques (topic provisoire)
Pour rester dans l'actualité Star Wars, j'ai ressorti un jeu de mes cartons de GBA... Et puis je me suis dit, pourquoi pas un test ? ^^
Développeur / Éditeur : Ubisoft
Genre : Action
Date de sortie (FR) : 30 Septembre 2004
Bienvenue en 2004 : la prélogie Star Wars n'est pas finie, et avant que George Lucas ne livre l'épisode III, Lucasfilm décide de ressortir en DVD la trilogie originale. Evidemment, il s'agit de profiter de l'attente pour ce qui aurait du être le dernier Star Wars pour remplir les caisses, et, au même moment, sort ce Star Wars Trilogy: Apprentice of the Force, nous promettant de revivre les folles aventures du jeune Skywalker.
Les scènes cultes seront évidemment de la partie.
Des jeux Star Wars, on en a eu des tas. Malheureusement, celui-ci ne rentrera pas dans l'histoire puisqu'il s'avère relativement répétitif et presque lassant alors même qu'il est très court.
On commence l'aventure sur Tatooine, la planète "natale" de notre héros. Le jeu nous met donc aux commandes de Luke, et après une courte cinématique (et le texte défilant, Star Wars oblige), il faut aller retrouver l'oncle de Luke devant la ferme, là où la famille récupère R2-D2 et C3PO. Première impression : décors un peu trop figés, et les animations de Luke sont exemplaires.
Les niveaux s'enchaînent ensuite, avec principalement deux gameplays : Beat'em all avec Luke et Shoot'em Up avec un vaisseau. Les premières consiste en un enchaînement répétitif de phase "j'avance en sautant au dessus de quelques trous" et "tuer tous les ennemis d'une zone pour avancer". Luke peut utiliser son blaster pour, en appuyant sur B, tirer devant lui ou en diagonale (bouton R), blaster pour lequel on peut récupérer des upgrades aux munitions limités (tirs plus puissants et/ou tirs plus rapides), puis récupère son sabre laser, qui permet aussi de renvoyer les tirs ennemis en appuyant sur L.
Luke et R2-D2 (le jeu, fidèle à la VF du film, l'appelle D2-R2) à l'assaut de l'Étoile Noire.
Luke récupère aussi au fur et à mesure de son aventure des capacités avec la Force (projeter quelque chose, ralentir le temps ou regagner de la vie par exemple). Cependant, le jeu utilise très peu cet aspect là (tout juste quelques tronc d'arbres à pousser de temps en temps) et reste un Beat'em all très classique. Enlevez la Force, remplacez le sabre laser par une épée et vous avez un jeu très générique.
Vous aurez aussi quelques fois des compagnons pour vous aider (Leïa ou R2-D2), qui ont une barre de vie propre, mais pas d’inquiétude, vous aurez souvent de quoi remonter leur PV sans trop de soucis.
Les phases en Shoot'em Up sont plus rares, et sont elles aussi très basiques. Deux gameplays différents, un très classique à la R-Type et un autre où vous vous dirigerez à 360° dans l'espace. Ces phases ont au moins le mérite d'exister, ce qui nous permet de nous faufiler à l’assaut de l'Étoile Noire...
Extrapoler quelques scènes du film (ici, l'exécution de la troupe par Jabba) permet de gagner un peu de durée de vie.
Comme dit plus tôt, le jeu est très court : comptez environ 3h pour en voir le bout, et, comble de l'hérésie, seulement 30 minutes pour boucler le meilleur film, le V...
Les niveaux sont assez courts, plutôt facile puisque les ennemis lâchent en permanence de la vie et que les checkpoints sont nombreux, les combats contre les boss sont rapides, et les cinématiques/dialogues sont eux aussi réduit un maximum.
Et puis, une fois le jeu fini, il n'y a plus rien à faire. Il y a bien une petite dizaine de photos/artworks disponible en tant que bonus (mais sur un écran GBA, c'est pas la folie non plus) et un mode multijoueur, que je n'ai pas pu tester.
Niveau musique, rien de bien mémorable, on reprends des thèmes de la saga, mais ceux-ci ne rendent pas très bien sur la GBA. Je soupçonne tout de même un peu d'incompétence de la part des développeurs, la GBA, bien que limitée, pouvait tout de même offrir des musiques de qualité...
L'un des meilleurs moments du jeu.
Au final, on a une étrange impression : les développeurs semblent avoir passé tout leur temps sur les animations des sprites, puis ont du livrer un jeu 1 mois après. Certains passages semblent bâclés (la cinématique du "Je suis ton père" assez affligeante, Luke blond (?) sur Hoth, ou le dernier niveau se contentant de sauts de l'ange) et le tout est expéditif. Dommage, la perspective de jouer aux premiers Star Wars était plaisante.
+ Toujours un plaisir de jouer dans l'univers des films.
+ Les animations très soignées.
+ Un style graphique agréable.
+ Quelques bons passages.
- Trop court...
- ... Et pourtant lassant avant la fin.
- Répétitif et ultra basique.
- Pas assez de contenu.
- Force sous exploitée.
Note : 5/10
Trop basique, tout juste correct... A réserver seulement aux fans purs de la saga qui veulent jouer à tous les jeux de la license.
Re: Référencement des critiques (topic provisoire)
Tiens c'est marrant, ce jeu m'intriguait pas mal et je pensais me le chopper un de ces jours. Dommage qu'il soit moyen :/
Par contre graphiquement, ça me fait vachement penser a l'adaptation GBA de Prince of Persia les Sables du temps (qui était elle aussi assez moyenne).
Re: Référencement des critiques (topic provisoire)
Bah tu sens que ça a été un peu baclé pour coller avec la sortie des DVD ^^
Perso, j'ai bien aimé me battre contre Vador (même si c'est très simple) et ya un passage sur Hoth où tu es au sol, et les AT-AT te passe au dessus, c'est pas mal comme phase. Mais le reste est plutôt dispensable (surtout vers la fin où tu as des plateformes que tu vois pas trop et tout les 5 mètres tu es obligé de tuer tous les ennemis qui viennent pour continuer)
Pour Prince of Persia c'est logique, ça utilise le même moteur apparemment. Ils ont du partir de la même base...
Re: Référencement des critiques (topic provisoire)
bon,je vais me lancer dans mon premier test complet! en espérant que je vais bien m'en sortir!
REMEMBER ME (PS3,XBOX360,PC)
[img][center]
[/img][/center]
genre: action développeurs: DONTNOD éditeurs: capcom date de sortie: 7 juin 2013 testé sur: Xbox 360
DONTNOD: un jeune studio français été crée en 2008 par 5 personnes: Hervé bonin,aleksi briclot,Alain damasio,oskar guilbert et jean-maxime moris. Le jeu, nommé au départ ADRIFT, développé en cette même année 2008 devait être a la base une exclusivité Sony jusqu’à ce que ce dernier ait annulé 10 projets et parmit eux, ce jeu. Après des difficultés de financement, le jeu rebaptisé remember me et fut présenté a la gamescom 2012 et capcom a décidé d'en etre l'éditeur. Puis,remmember me sort l'année d’après en juin 2013. Malheureusement, capcom décida de ne faire aucun effort marketing, trop occuper pour son resident evil revelation HD (sans parler du fait qu'il est sorti apres l'E3 et une semaine avant the last of us...) et ce fut le bide,et quel dommage..... car nous allons parlé la,d'une perle rare méconnu! un univers unique!
graphiquement, le jeu est très beaux, mais c'est surtout sa direction artistique qui m’impressionne le plus:elle est sublime! l'univers de ce néo paris de 2084 est divisé en deux parties: la partie "chic" ou on peux voir des rues avec beaucoup de monde, des restaurants ou des terrasses a café, des bâtiments de plusieurs dizaines de mètres de haut et de large ou encore des monuments historique comme la tour Eiffel, par exemple. Mais,très vite, le jeu nous détourne de tout cela et nous emmène dans la deuxième partie de la ville: la partie "pauvre" avec ses taudis, ses bidonville ou encore ses lieux de prostitution. Sans parler des leaders, créature terrifiante donc je vous parlerait plus loin dans mon test...
une ost particulière mais qui colle parfaitement a l'ambiance du jeu!
les musiques de remember me sont spéciaux mais sont néanmoins excellentes! on a droit a des musiques classique pour des phases de plateforme (qui font penser au prince of persia 3d au passage mais en bien moins dur, tout de même) ou on a des scènes avec des paysages (avec,des fois, des monuments historique), et on a des musiques techno pour les combats et également un mélange de musique classique/techno pour certaine scènes d'action du jeu. La,ou je trouve que c'est incroyable, c'est que olivier derivière, le compositeur du jeu (a qui ont doit notamment l'ost de la série obscure et le alone in the dark de 2008 au passage), a utilisé de la musique classique pour représenté paris dans son coté contemporain et la techno pour le coté futuriste. Ainsi,en mélangeant les deux, olivier derivière a crée une ost a l'image de l'univers et de l'ambiance de ce remember me et de son néo paris de 2084.
un système de combat exigent mais original
en battant des ennemis, on récupère de l'expérience qui, au bout d'un certain palier, nous donne accès a des pressens (souvenirs de combat). Ces pressens, une fois mit cote a cote donne lieu a des combos. Il y a quatre type de pressen: puissance pour infliger plus de dégâts, régénération pour récupérer de la vie, recharge qui sert a recharger plus vite les S-pressens et chaîne qui décuple les effets d'un des 3 précédament cités. Concernant les S-pressens,il y en a 5: furie pour plus de dégâts, DOS qui crée une onde de choc étourdissants tout les ennemis, rust in pièce qui contrôle les robots afin qu'ils attaquent leur allier avant de s'autodétruire, bombe logique qui explose une bonne partie du champ de bataille et camo qui permet de se rendre invisible afin d'éliminé un ennemis a l'arrière d'un coup. Il ne suffit pas de bourriner la touche X et Y pour faire des combos, il faut surtout avoir le bon timing! contre un ennemis, c'est très facile, mais contre dix, c'est une autre paire de manche! ce qui a surement rebuter certain joueurs mais ce que moi j'ai adoré, car ça rend le jeu plus technique. On peux esquiver les attaques et poursuive son combo. Au niveau du bestiaire, on a les leapers, monstre que j'adore au passage car il represente la décadence de la société, les gardes enforcers de memorize ainsi que des robots. Ce qui est top, c'est que chaque ennemis a une ou deux manière de le vaincre, ainsi,les leapers écorcheur perdent leur invincibilité une fois leurs sbires morts, les enforcers d’élite sont sensible aux pressens de régénération, les robots peuvent être contrôlés grâce au S-pressens rust in pièce et les ennemis aérien ou ceux qui s’accrochent aux murs peuvent être toucher grâce au spammer (arme de tir a distance).
des concepts fantastiques mais un problème de rythme
une des particularités de remember me est ce qu'on appelle les memory remix, le concept est juste fantastique! pour résumer, on modifie un souvenir d'une personne pour lui faire croire quelque chose et la manipuler, pour cela ,on interagie avec des éléments de décors pour arriver au résultat voulu, on a vraiment l'impression qu'on est le maître des souvenirs de la personne en question en rembobinant ou en accélérant le souvenir afin de pouvoir trouver des faille mémoriels et pourvoir lui altérer la mémoire et ainsi observé les conséquences de nos actes. Malheureusement, et c'est ce que je reproche au jeu, il y a trop peu de memory remix! et c'est dommage, car c'est une super idée! j'aurait aimé que le jeu nous mette plus souvent face a notre propre moralité. Il en va de même pour les énigmes, très peu nombreuses et pourtant bien intéressantes. Sans être difficile, elle nous oblige a utilisé un peu de notre matière grise. Le problème du jeu, c'est son rythme: la narration est au second plan alors que l'action (bien que jamais mauvais au niveau de la plateforme ou au système de combat) passe au premier plan. Durant notre progression du jeu, on récupère des documents a lire qui me font penser a des vidéos youtube comme les consultations (référence au nombre de vue?) ou les nombre de je m'en souviens et de j'ai oublier (référence au nombre de "j'aime" ou "j'aime pas"?) et ces documents enrichirent énormément l'univers de ce néo paris (car oui, c'est plus complexe que ce que je vous ai raconter) ce que j'aurait aimé, c'est que c'est documents ne soient pas seulement en documents, mais expliquer et mit directement dans le scénario du jeu. Et puisqu'on parle de scénario....
une critique de la société subtil dans un scénario très intéressant
memorize, la plus grande société de néo paris, a inventé un implant nommé sensen ce qui permet a tout individu possédant cette implant de numériser ses souvenirs, de les partager, les échanger ou les supprimés si ils sont douloureux ou dérangeant (exactement comme sur internet avec les vidéos, on en reviens au documents donc je vous parlait un peu plus en haut). De ce fait du succès du sensen, memorize a un contrôle total sur néo paris. Un groupe personnes désapprouvant cela nommés errorists tentent de renverser memorize mais se font arrêter puis emmener a la bastille (redevenu une prison au passage) pour se voir leur souvenirs confisqués. A cela se rajoute la menace des leapers, être humain qui ont perdu leur humanité en ayant consommé trop de souvenirs. Le jeu dénonce des tas de choses: la censure, les violations des droits de liberté et d'intimité, les médias ou encore les problèmes de communauté. L’héroïne se nomme Nilin, errorist qui s'est vu confisquer sa mémoire et qui va tenté de renversé memorize. J'ai trouvé Nilin très charismatique de part son caractère de femme forte, de ses répliques et de son histoire qui se dévoile au fur et a mesure du jeu. La durée de vie est de plus ou moins 10 heures.
conclusion les +
-un univers et une ambiance unique!
-une ost excellente et qui colle parfaitement au jeu!
-un système de combat original
-un bestiaire excellent!
-les memory remix et les énigmes
-un scénario très intéressant ainsi qu'une critique de la société subtil
-les documents qui améliorent grandement le background du jeu
-le personnage de nilin
les -
-la narration est au second plan tandis que l'action est au premier
-trop peu de memory remix et d’énigmes
remember me est un chef d'oeuvre a la fois vidéoludique, politique et historique! un jeu qui a été grandement sous estimer par la plupart des joueurs! une perle videoludique méconnu unique en son genre!
note:9.5/10
voila,j'espère que ce test vous aura plus,n'hésiter pas a me dire ce que vous en avez penser et merci a tout ceux qui auront lu ce texte!
Re: Référencement des critiques (topic provisoire)
God of War (PS2, PS3)
Genre : Action Développeurs : Santa Monica Studio Editeurs : Sony Date de sortie : 22 juin 2005 Testé sur : PS2
A l'heure ou les jeux d'action ravagent la génération 128 bits, Sony tente sa chance avec un bon gros défouloir bien sanglant, bourrin et surtout exclusif a la PS2. Le beat them all est un genre a double tranchant. Il peut se révéler répétitif, ennuyeux et avoir un mauvais gameplay ou bien au contraire passionnant et jouissif. God of War, va nous prouver quesque un bon jeu d'action et imposer les codes du genre, encore respectés aujourd'hui.
Une épopée captivante Kratos est le plus grand guerrier des dieux. Forcé de leur obéir à cause des crimes qu'il a commit par le passé, il est chargé d’éliminer les ennemis des dieux avec l'aide de ses lames du chaos. Mais âpres 10 ans d'obéissance, décide de demander grâce a la déesse Athéna. Celle-ci accepte de lui pardonner ses crimes et de lui rendre sa liberté, en échange d'une ultime épreuve. Kratos doit tuer Ares, le dieu de la guerre, qui est en train de saccager Athènes. Mais le seul moyen de tuer un dieu, est de posséder le pouvoir de la boite de Pandore, l'arme la plus puissante jamais crée. Ainsi que commence le périple de notre (anti)heros. Mais qu'a bien pu faire Kratos pour mériter ce châtiment ? Et pourquoi veut t-il se venger du dieu de la guerre ? C'est ce que l'on découvrira au fil de cette aventure.
Le jeu n’hésite pas a réécrire la mythologie grecque, de façon a mieux coller avec l'univers. Nul doute que certains "afficionados" tousseront lorsque ils constaterons que Chronos n'est pas dans le Tartare, mais le jeu s'en sort assez bien a ce niveaux la. Le background du jeu est travaillé et l'on a envie de connaitre le fin mot de l'histoire. Le scenario du jeu est donc un de ses gros points forts, et parvient a se faire discret quand il le faut.
Une odysée diversifié Contrairement a ce que je pensait la première fois que j'ai lancé la galette, le jeu n'est pas trop linéaire pour un beat them all. Les environnements sont divisés en plusieurs zones, (ex : place d'Athènes, toits d'Athènes...), et proposent une progression un peu plus axé sur "l’exploration", entre gros guillemets. Je vais vous donner un exemple ! A un moment, vous arrivez devant un pont baissé. Le mécanisme pour relever le pont se trouve de l'autre cotée et vous ne pouvez l'atteindre. Il vous faut donc trouver un autre chemin, au bout duquel vous trouverez un nouveau pouvoir qui vous permettra de relever le pont. Ce n'est pas aussi développée qu'un metroid ou un castlevania mais au moins on évite les classiques couloirs vides.
Le level diseign mélange habilement combats, plate forme et énigmes. Et là je parle de vrais énigmes ! Pas un truc du genre : "tire sur le l'interrupteur pour résoudre l'énigme", mais des vraies énigmes. J'ai d'ailleurs passé une bonne dizaine de minutes sur certaines d'entre elles. Les phases de plates formes, quand a elles s’avèrent plutôt sympathiques, avec un Kratos faisant des sauts qui rendrait Son Goku jaloux (sauf les passages sur les poutres... Faites le jeu vous comprendrez :p).
Un point qui m'a par contre beaucoup déçu, est le faible nombre de boss. On en compte 3 dans le jeu: Un au tout début, lors du prologue, un au milieu du jeu et, bien sur, le final boss. Dommage car quand on voit la qualité de ceux-ci on se dit que c'est bien triste de ne pas avoir eu le droit a un ou deux combats de plus (a noter qu'il devait y avoir 4 boss a la base, mais cela n'a pas pu être possible par manque de temps).
Une quête sanglante Le système de combat, s’avère être plutôt jouissif. Carré pour faire une attaque légère, triangle pour une attaque lourde, R1 pour parer et rond pour achever les ennemis. Bon, ça c'est dans la forme, parce que dans la pratique on se contente de marteler le bouton carré.
Vous disposerez aussi de quatre pouvoirs divins, qui se révéleront être extrêmement utiles. Grace a eux, vous pourrez par exemple attaquer a distance ou créer une onde de choc autour de vous (en échange d'un peu de mana, cela va de soi). Tout cela, rends les combats extrêmement dynamiques et l'on ne s’ennuie pas.
Une aventure épique Musicalement, le jeu joue la carte de l'épique avec des mélodies grandioses, qui nous mettent tout de suite dans l'ambiance. Elles sont pensées pour coller parfaitement a l’action, et ça marche ! Mais malheureusement, on pourra aussi reprocher le faible nombre de tracks au fil de l'aventure. Quand au doublages la VF s’avère être de bonne qualité, surtout la voix de Kratos.
Et je remarque que je n'ai toujours pas parlé des somptueux graphismes dont dispose le jeu. En effet le jeu regorge de petits détails cachées, qui permettent d'immerger le joueur dans l'univers du jeu. On a aussi le droit a plusieurs panoramas magnifiques, qui m'ont fait m’arrêter plusieurs minutes pour les admirer, comme Ares marchant sur un champ de bataille du haut de ses 30 mètres ou encore Cronos rampant dans le désert. Les animations s’avèrent être très bonnes elles aussi. Ah, et il y a aussi les cinématiques en images de synthèses qui sont plutôt jolies et nombreuses (une bonne quinzaine tout au long du jeu).
Un long voyage Comme vous l'aurez compris, God of War, s’avère être un excellent jeu qui ne vous laissera pas le temps de vous ennuyer et vous occupera un petit moment. Comptez une bonne douzaine d'heures, pour achever l'aventure en normal, la moyenne dans ce genre de jeu. Neanmois la replay value est présente pour ceux qui souhaiteraient se replonger dans l'aventure. En effet, une fois le jeu fini on débloque bon nombre de bonus, comme les défis des dieux assez hardus et rajoutant quelques heures de jeu ou encore le mode God qui vous encouragera a refaire le jeux avec de meilleures armes pour débloquer la totalité des bonus. Il y a aussi quelques Making off, qui se révèlent être vachement intéressant et qui nous en apprennent pas mal sur le développement du jeu (notamment les niveaux supprimés).
Conclusion :
Les + :
- Graphiquement magnifique
- Scénario et background intéressants
- Musiques épiques
- Gameplay nerveux
- Replay Value
- On ne s'ennuie pas une seconde
Les - :
- Trop peu de tracks
- Euh... Ne plaira pas a tout le monde ?
God of War est un des meilleurs jeux beat them all auquel j'ai pu jouer. Scénario bien écrit, graphismes sublimes, système de combat nerveux, bande-son épique et aventure prenante : tout y est. Certains pourront être rebutée par l'aspect un peu gore du jeu ou encore les modifications de la mythologie grecque mais c'est vraiment chipoter. GOW est un sans aucun doute un des plus grands Beat them all de touts les temps !
Pour rester dans l'actualité Star Wars, j'ai ressorti un jeu de mes cartons de GBA... Et puis je me suis dit, pourquoi pas un test ? ^^
Développeur / Éditeur : Ubisoft
Genre : Action
Date de sortie (FR) : 30 Septembre 2004
Bienvenue en 2004 : la prélogie Star Wars n'est pas finie, et avant que George Lucas ne livre l'épisode III, Lucasfilm décide de ressortir en DVD la trilogie originale. Evidemment, il s'agit de profiter de l'attente pour ce qui aurait du être le dernier Star Wars pour remplir les caisses, et, au même moment, sort ce Star Wars Trilogy: Apprentice of the Force, nous promettant de revivre les folles aventures du jeune Skywalker.
Les scènes cultes seront évidemment de la partie.
Des jeux Star Wars, on en a eu des tas. Malheureusement, celui-ci ne rentrera pas dans l'histoire puisqu'il s'avère relativement répétitif et presque lassant alors même qu'il est très court.
On commence l'aventure sur Tatooine, la planète "natale" de notre héros. Le jeu nous met donc aux commandes de Luke, et après une courte cinématique (et le texte défilant, Star Wars oblige), il faut aller retrouver l'oncle de Luke devant la ferme, là où la famille récupère R2-D2 et C3PO. Première impression : décors un peu trop figés, et les animations de Luke sont exemplaires.
Les niveaux s'enchaînent ensuite, avec principalement deux gameplays : Beat'em all avec Luke et Shoot'em Up avec un vaisseau. Les premières consiste en un enchaînement répétitif de phase "j'avance en sautant au dessus de quelques trous" et "tuer tous les ennemis d'une zone pour avancer". Luke peut utiliser son blaster pour, en appuyant sur B, tirer devant lui ou en diagonale (bouton R), blaster pour lequel on peut récupérer des upgrades aux munitions limités (tirs plus puissants et/ou tirs plus rapides), puis récupère son sabre laser, qui permet aussi de renvoyer les tirs ennemis en appuyant sur L.
Luke et R2-D2 (le jeu, fidèle à la VF du film, l'appelle D2-R2) à l'assaut de l'Étoile Noire.
Luke récupère aussi au fur et à mesure de son aventure des capacités avec la Force (projeter quelque chose, ralentir le temps ou regagner de la vie par exemple). Cependant, le jeu utilise très peu cet aspect là (tout juste quelques tronc d'arbres à pousser de temps en temps) et reste un Beat'em all très classique. Enlevez la Force, remplacez le sabre laser par une épée et vous avez un jeu très générique.
Vous aurez aussi quelques fois des compagnons pour vous aider (Leïa ou R2-D2), qui ont une barre de vie propre, mais pas d’inquiétude, vous aurez souvent de quoi remonter leur PV sans trop de soucis.
Les phases en Shoot'em Up sont plus rares, et sont elles aussi très basiques. Deux gameplays différents, un très classique à la R-Type et un autre où vous vous dirigerez à 360° dans l'espace. Ces phases ont au moins le mérite d'exister, ce qui nous permet de nous faufiler à l’assaut de l'Étoile Noire...
Extrapoler quelques scènes du film (ici, l'exécution de la troupe par Jabba) permet de gagner un peu de durée de vie.
Comme dit plus tôt, le jeu est très court : comptez environ 3h pour en voir le bout, et, comble de l'hérésie, seulement 30 minutes pour boucler le meilleur film, le V...
Les niveaux sont assez courts, plutôt facile puisque les ennemis lâchent en permanence de la vie et que les checkpoints sont nombreux, les combats contre les boss sont rapides, et les cinématiques/dialogues sont eux aussi réduit un maximum.
Et puis, une fois le jeu fini, il n'y a plus rien à faire. Il y a bien une petite dizaine de photos/artworks disponible en tant que bonus (mais sur un écran GBA, c'est pas la folie non plus) et un mode multijoueur, que je n'ai pas pu tester.
Niveau musique, rien de bien mémorable, on reprends des thèmes de la saga, mais ceux-ci ne rendent pas très bien sur la GBA. Je soupçonne tout de même un peu d'incompétence de la part des développeurs, la GBA, bien que limitée, pouvait tout de même offrir des musiques de qualité...
L'un des meilleurs moments du jeu.
Au final, on a une étrange impression : les développeurs semblent avoir passé tout leur temps sur les animations des sprites, puis ont du livrer un jeu 1 mois après. Certains passages semblent bâclés (la cinématique du "Je suis ton père" assez affligeante, Luke blond (?) sur Hoth, ou le dernier niveau se contentant de sauts de l'ange) et le tout est expéditif. Dommage, la perspective de jouer aux premiers Star Wars était plaisante.
+ Toujours un plaisir de jouer dans l'univers des films.
+ Les animations très soignées.
+ Un style graphique agréable.
+ Quelques bons passages.
- Trop court...
- ... Et pourtant lassant avant la fin.
- Répétitif et ultra basique.
- Pas assez de contenu.
- Force sous exploitée.
Note : 5/10
Trop basique, tout juste correct... A réserver seulement aux fans purs de la saga qui veulent jouer à tous les jeux de la license.
Après HooperVania, mon nouveau projet !
Tiens c'est marrant, ce jeu m'intriguait pas mal et je pensais me le chopper un de ces jours. Dommage qu'il soit moyen :/
Par contre graphiquement, ça me fait vachement penser a l'adaptation GBA de Prince of Persia les Sables du temps (qui était elle aussi assez moyenne).
Bah tu sens que ça a été un peu baclé pour coller avec la sortie des DVD ^^
Perso, j'ai bien aimé me battre contre Vador (même si c'est très simple) et ya un passage sur Hoth où tu es au sol, et les AT-AT te passe au dessus, c'est pas mal comme phase. Mais le reste est plutôt dispensable (surtout vers la fin où tu as des plateformes que tu vois pas trop et tout les 5 mètres tu es obligé de tuer tous les ennemis qui viennent pour continuer)
Pour Prince of Persia c'est logique, ça utilise le même moteur apparemment. Ils ont du partir de la même base...
Après HooperVania, mon nouveau projet !
Ton impression est confirmée par la jaquette qui a exactement le même design que la trilogie DVD que j'ai acheté à l'époque.
bon,je vais me lancer dans mon premier test complet! en espérant que je vais bien m'en sortir!
REMEMBER ME (PS3,XBOX360,PC)
genre: action
développeurs: DONTNOD
éditeurs: capcom
date de sortie: 7 juin 2013
testé sur: Xbox 360
DONTNOD: un jeune studio français été crée en 2008 par 5 personnes: Hervé bonin,aleksi briclot,Alain damasio,oskar guilbert et jean-maxime moris. Le jeu, nommé au départ ADRIFT, développé en cette même année 2008 devait être a la base une exclusivité Sony jusqu’à ce que ce dernier ait annulé 10 projets et parmit eux, ce jeu. Après des difficultés de financement, le jeu rebaptisé remember me et fut présenté a la gamescom 2012 et capcom a décidé d'en etre l'éditeur. Puis,remmember me sort l'année d’après en juin 2013. Malheureusement, capcom décida de ne faire aucun effort marketing, trop occuper pour son resident evil revelation HD (sans parler du fait qu'il est sorti apres l'E3 et une semaine avant the last of us...) et ce fut le bide,et quel dommage..... car nous allons parlé la,d'une perle rare méconnu!
un univers unique!
graphiquement, le jeu est très beaux, mais c'est surtout sa direction artistique qui m’impressionne le plus:elle est sublime! l'univers de ce néo paris de 2084 est divisé en deux parties: la partie "chic" ou on peux voir des rues avec beaucoup de monde, des restaurants ou des terrasses a café, des bâtiments de plusieurs dizaines de mètres de haut et de large ou encore des monuments historique comme la tour Eiffel, par exemple. Mais,très vite, le jeu nous détourne de tout cela et nous emmène dans la deuxième partie de la ville: la partie "pauvre" avec ses taudis, ses bidonville ou encore ses lieux de prostitution. Sans parler des leaders, créature terrifiante donc je vous parlerait plus loin dans mon test...
une ost particulière mais qui colle parfaitement a l'ambiance du jeu!
les musiques de remember me sont spéciaux mais sont néanmoins excellentes! on a droit a des musiques classique pour des phases de plateforme (qui font penser au prince of persia 3d au passage mais en bien moins dur, tout de même) ou on a des scènes avec des paysages (avec,des fois, des monuments historique), et on a des musiques techno pour les combats et également un mélange de musique classique/techno pour certaine scènes d'action du jeu. La,ou je trouve que c'est incroyable, c'est que olivier derivière, le compositeur du jeu (a qui ont doit notamment l'ost de la série obscure et le alone in the dark de 2008 au passage), a utilisé de la musique classique pour représenté paris dans son coté contemporain et la techno pour le coté futuriste. Ainsi,en mélangeant les deux, olivier derivière a crée une ost a l'image de l'univers et de l'ambiance de ce remember me et de son néo paris de 2084.
un système de combat exigent mais original
en battant des ennemis, on récupère de l'expérience qui, au bout d'un certain palier, nous donne accès a des pressens (souvenirs de combat). Ces pressens, une fois mit cote a cote donne lieu a des combos. Il y a quatre type de pressen: puissance pour infliger plus de dégâts, régénération pour récupérer de la vie, recharge qui sert a recharger plus vite les S-pressens et chaîne qui décuple les effets d'un des 3 précédament cités. Concernant les S-pressens,il y en a 5: furie pour plus de dégâts, DOS qui crée une onde de choc étourdissants tout les ennemis, rust in pièce qui contrôle les robots afin qu'ils attaquent leur allier avant de s'autodétruire, bombe logique qui explose une bonne partie du champ de bataille et camo qui permet de se rendre invisible afin d'éliminé un ennemis a l'arrière d'un coup. Il ne suffit pas de bourriner la touche X et Y pour faire des combos, il faut surtout avoir le bon timing! contre un ennemis, c'est très facile, mais contre dix, c'est une autre paire de manche! ce qui a surement rebuter certain joueurs mais ce que moi j'ai adoré, car ça rend le jeu plus technique. On peux esquiver les attaques et poursuive son combo. Au niveau du bestiaire, on a les leapers, monstre que j'adore au passage car il represente la décadence de la société, les gardes enforcers de memorize ainsi que des robots. Ce qui est top, c'est que chaque ennemis a une ou deux manière de le vaincre, ainsi,les leapers écorcheur perdent leur invincibilité une fois leurs sbires morts, les enforcers d’élite sont sensible aux pressens de régénération, les robots peuvent être contrôlés grâce au S-pressens rust in pièce et les ennemis aérien ou ceux qui s’accrochent aux murs peuvent être toucher grâce au spammer (arme de tir a distance).
des concepts fantastiques mais un problème de rythme
une des particularités de remember me est ce qu'on appelle les memory remix, le concept est juste fantastique! pour résumer, on modifie un souvenir d'une personne pour lui faire croire quelque chose et la manipuler, pour cela ,on interagie avec des éléments de décors pour arriver au résultat voulu, on a vraiment l'impression qu'on est le maître des souvenirs de la personne en question en rembobinant ou en accélérant le souvenir afin de pouvoir trouver des faille mémoriels et pourvoir lui altérer la mémoire et ainsi observé les conséquences de nos actes. Malheureusement, et c'est ce que je reproche au jeu, il y a trop peu de memory remix! et c'est dommage, car c'est une super idée! j'aurait aimé que le jeu nous mette plus souvent face a notre propre moralité. Il en va de même pour les énigmes, très peu nombreuses et pourtant bien intéressantes. Sans être difficile, elle nous oblige a utilisé un peu de notre matière grise. Le problème du jeu, c'est son rythme: la narration est au second plan alors que l'action (bien que jamais mauvais au niveau de la plateforme ou au système de combat) passe au premier plan. Durant notre progression du jeu, on récupère des documents a lire qui me font penser a des vidéos youtube comme les consultations (référence au nombre de vue?) ou les nombre de je m'en souviens et de j'ai oublier (référence au nombre de "j'aime" ou "j'aime pas"?) et ces documents enrichirent énormément l'univers de ce néo paris (car oui, c'est plus complexe que ce que je vous ai raconter) ce que j'aurait aimé, c'est que c'est documents ne soient pas seulement en documents, mais expliquer et mit directement dans le scénario du jeu. Et puisqu'on parle de scénario....
une critique de la société subtil dans un scénario très intéressant
memorize, la plus grande société de néo paris, a inventé un implant nommé sensen ce qui permet a tout individu possédant cette implant de numériser ses souvenirs, de les partager, les échanger ou les supprimés si ils sont douloureux ou dérangeant (exactement comme sur internet avec les vidéos, on en reviens au documents donc je vous parlait un peu plus en haut). De ce fait du succès du sensen, memorize a un contrôle total sur néo paris. Un groupe personnes désapprouvant cela nommés errorists tentent de renverser memorize mais se font arrêter puis emmener a la bastille (redevenu une prison au passage) pour se voir leur souvenirs confisqués. A cela se rajoute la menace des leapers, être humain qui ont perdu leur humanité en ayant consommé trop de souvenirs. Le jeu dénonce des tas de choses: la censure, les violations des droits de liberté et d'intimité, les médias ou encore les problèmes de communauté. L’héroïne se nomme Nilin, errorist qui s'est vu confisquer sa mémoire et qui va tenté de renversé memorize. J'ai trouvé Nilin très charismatique de part son caractère de femme forte, de ses répliques et de son histoire qui se dévoile au fur et a mesure du jeu. La durée de vie est de plus ou moins 10 heures.
conclusion
les +
-un univers et une ambiance unique!
-une ost excellente et qui colle parfaitement au jeu!
-un système de combat original
-un bestiaire excellent!
-les memory remix et les énigmes
-un scénario très intéressant ainsi qu'une critique de la société subtil
-les documents qui améliorent grandement le background du jeu
-le personnage de nilin
les -
-la narration est au second plan tandis que l'action est au premier
-trop peu de memory remix et d’énigmes
remember me est un chef d'oeuvre a la fois vidéoludique, politique et historique! un jeu qui a été grandement sous estimer par la plupart des joueurs! une perle videoludique méconnu unique en son genre!
note:9.5/10
voila,j'espère que ce test vous aura plus,n'hésiter pas a me dire ce que vous en avez penser et merci a tout ceux qui auront lu ce texte!
je m'appelle Vengeur,mais appelez-moi Ven.
Développeurs : Santa Monica Studio
Editeurs : Sony
Date de sortie : 22 juin 2005
Testé sur : PS2
A l'heure ou les jeux d'action ravagent la génération 128 bits, Sony tente sa chance avec un bon gros défouloir bien sanglant, bourrin et surtout exclusif a la PS2. Le beat them all est un genre a double tranchant. Il peut se révéler répétitif, ennuyeux et avoir un mauvais gameplay ou bien au contraire passionnant et jouissif. God of War, va nous prouver quesque un bon jeu d'action et imposer les codes du genre, encore respectés aujourd'hui.
Une épopée captivante
Kratos est le plus grand guerrier des dieux. Forcé de leur obéir à cause des crimes qu'il a commit par le passé, il est chargé d’éliminer les ennemis des dieux avec l'aide de ses lames du chaos. Mais âpres 10 ans d'obéissance, décide de demander grâce a la déesse Athéna. Celle-ci accepte de lui pardonner ses crimes et de lui rendre sa liberté, en échange d'une ultime épreuve. Kratos doit tuer Ares, le dieu de la guerre, qui est en train de saccager Athènes. Mais le seul moyen de tuer un dieu, est de posséder le pouvoir de la boite de Pandore, l'arme la plus puissante jamais crée. Ainsi que commence le périple de notre (anti)heros. Mais qu'a bien pu faire Kratos pour mériter ce châtiment ? Et pourquoi veut t-il se venger du dieu de la guerre ? C'est ce que l'on découvrira au fil de cette aventure.
Le jeu n’hésite pas a réécrire la mythologie grecque, de façon a mieux coller avec l'univers. Nul doute que certains "afficionados" tousseront lorsque ils constaterons que Chronos n'est pas dans le Tartare, mais le jeu s'en sort assez bien a ce niveaux la. Le background du jeu est travaillé et l'on a envie de connaitre le fin mot de l'histoire. Le scenario du jeu est donc un de ses gros points forts, et parvient a se faire discret quand il le faut.
Une odysée diversifié
Contrairement a ce que je pensait la première fois que j'ai lancé la galette, le jeu n'est pas trop linéaire pour un beat them all. Les environnements sont divisés en plusieurs zones, (ex : place d'Athènes, toits d'Athènes...), et proposent une progression un peu plus axé sur "l’exploration", entre gros guillemets. Je vais vous donner un exemple ! A un moment, vous arrivez devant un pont baissé. Le mécanisme pour relever le pont se trouve de l'autre cotée et vous ne pouvez l'atteindre. Il vous faut donc trouver un autre chemin, au bout duquel vous trouverez un nouveau pouvoir qui vous permettra de relever le pont. Ce n'est pas aussi développée qu'un metroid ou un castlevania mais au moins on évite les classiques couloirs vides.
Le level diseign mélange habilement combats, plate forme et énigmes. Et là je parle de vrais énigmes ! Pas un truc du genre : "tire sur le l'interrupteur pour résoudre l'énigme", mais des vraies énigmes. J'ai d'ailleurs passé une bonne dizaine de minutes sur certaines d'entre elles. Les phases de plates formes, quand a elles s’avèrent plutôt sympathiques, avec un Kratos faisant des sauts qui rendrait Son Goku jaloux (sauf les passages sur les poutres... Faites le jeu vous comprendrez :p).
Un point qui m'a par contre beaucoup déçu, est le faible nombre de boss. On en compte 3 dans le jeu: Un au tout début, lors du prologue, un au milieu du jeu et, bien sur, le final boss. Dommage car quand on voit la qualité de ceux-ci on se dit que c'est bien triste de ne pas avoir eu le droit a un ou deux combats de plus (a noter qu'il devait y avoir 4 boss a la base, mais cela n'a pas pu être possible par manque de temps).
Une quête sanglante
Le système de combat, s’avère être plutôt jouissif. Carré pour faire une attaque légère, triangle pour une attaque lourde, R1 pour parer et rond pour achever les ennemis. Bon, ça c'est dans la forme, parce que dans la pratique on se contente de marteler le bouton carré.
Vous disposerez aussi de quatre pouvoirs divins, qui se révéleront être extrêmement utiles. Grace a eux, vous pourrez par exemple attaquer a distance ou créer une onde de choc autour de vous (en échange d'un peu de mana, cela va de soi). Tout cela, rends les combats extrêmement dynamiques et l'on ne s’ennuie pas.
Une aventure épique
Musicalement, le jeu joue la carte de l'épique avec des mélodies grandioses, qui nous mettent tout de suite dans l'ambiance. Elles sont pensées pour coller parfaitement a l’action, et ça marche ! Mais malheureusement, on pourra aussi reprocher le faible nombre de tracks au fil de l'aventure. Quand au doublages la VF s’avère être de bonne qualité, surtout la voix de Kratos.
Et je remarque que je n'ai toujours pas parlé des somptueux graphismes dont dispose le jeu. En effet le jeu regorge de petits détails cachées, qui permettent d'immerger le joueur dans l'univers du jeu. On a aussi le droit a plusieurs panoramas magnifiques, qui m'ont fait m’arrêter plusieurs minutes pour les admirer, comme Ares marchant sur un champ de bataille du haut de ses 30 mètres ou encore Cronos rampant dans le désert. Les animations s’avèrent être très bonnes elles aussi. Ah, et il y a aussi les cinématiques en images de synthèses qui sont plutôt jolies et nombreuses (une bonne quinzaine tout au long du jeu).
Un long voyage
Comme vous l'aurez compris, God of War, s’avère être un excellent jeu qui ne vous laissera pas le temps de vous ennuyer et vous occupera un petit moment. Comptez une bonne douzaine d'heures, pour achever l'aventure en normal, la moyenne dans ce genre de jeu. Neanmois la replay value est présente pour ceux qui souhaiteraient se replonger dans l'aventure. En effet, une fois le jeu fini on débloque bon nombre de bonus, comme les défis des dieux assez hardus et rajoutant quelques heures de jeu ou encore le mode God qui vous encouragera a refaire le jeux avec de meilleures armes pour débloquer la totalité des bonus. Il y a aussi quelques Making off, qui se révèlent être vachement intéressant et qui nous en apprennent pas mal sur le développement du jeu (notamment les niveaux supprimés).
Conclusion :
Les + :
- Graphiquement magnifique
- Scénario et background intéressants
- Musiques épiques
- Gameplay nerveux
- Replay Value
- On ne s'ennuie pas une seconde
Les - :
- Trop peu de tracks
- Euh... Ne plaira pas a tout le monde ?
God of War est un des meilleurs jeux beat them all auquel j'ai pu jouer. Scénario bien écrit, graphismes sublimes, système de combat nerveux, bande-son épique et aventure prenante : tout y est. Certains pourront être rebutée par l'aspect un peu gore du jeu ou encore les modifications de la mythologie grecque mais c'est vraiment chipoter. GOW est un sans aucun doute un des plus grands Beat them all de touts les temps !
God of War = meilleur des séries PlayStation ! :)
J'ai pas fait le 2 et le 3 donc je peux pas dire :p
Mais un des best jeux de la PS2, ça oui ;)
'préfère prince of persia :p
Prince of Persia Les Sables du Temps, ça c'était du jeu :) ! Ca me manque ce bon vieux temps..