Bon, c'est fait mais sans gloire, technique du double écran. J'ai regardé vite fait sur le net pour voir la durée du machin et quand j'ai vu le dernier input, je me suis dit au diable mon honneur. Sérieux, pratiquement impossible à timer le machin sans savoir.
Pour ceux qui ont fait ça sans la barre de rythme en parallèle sur un autre écran, vous êtes des dieux. Au dessus de mes forces perso et j'aurais, je pense, abandonné. Faut pas déconner quoi ^^
Bref, lancez-moi des tomates, j'assume parfaitement :p
Perso m'était acharné dessus. Par contre pour le truc a la fin j'ai été voir les topic du boss sous gamefaqs pour le timming de merde sur le coup de pute sur l'écran noir.
Je l'avais commencé sans aide et je gérais plutôt bien l'ensemble, sauf un putain de passage. J'avais donc essayé de le faire avec une aide visuelle, mais ça ne m'avait pas du tout aidé, au contraire. J'ai donc continué sans aide et à force d'entraînement je suis arrivé à passer le passage qui me bloquait, mais à mon avant-dernier essai je me suis fait avoir sur la dernière entrée... Après ça, je me suis pris une p'tite nuit de sommeil, et le lendemain j'ai tout démonté, du premier coup, sans aide.
J'adore ce boss.
Ce boss et son thème, les éléments déclencheurs qui m'ont permis de considérer ce jeu comme un chef-d’œuvre.
Eh ben voilà, je me suis lancé dans Drakengard 3. Fallait bien que ça arrive vu que j'aime beaucoup le travail de Yoko Taro, que j'ai fait le premier, Nier et Nier: Automata, c'était couru d'avance ^^
Pour le moment j'aime beaucoup, vraiment, on retrouve tout de suite le style si particulier de Yoko Taro, avec des personnages hyper charismatiques qui ont tous un pète au casque et un regard sur le monde tragi-comique assez désespéré et en même temps très humain.
Côté gameplay, alors, c'est du Drakengard, c'est clair, mais quand même en vachement mieux :D
Ça se contrôle bien, c'est fluide, nerveux, simple mais efficace et je trouve la possibilité de switcher entre les différents types d'armes à la volée hyper fun.
Petite précision, je fais le jeu sur émulateur, donc j'ai beaucoup moins de soucis de framerate que sur console. Par contre, pour la caméra, il n'y a rien à faire, elle est parfois complètement à la ramasse, on frappe littéralement à l'aveugle par moments.
Les musiques sont vraiment excellentes même si je regrette un (tout) petit peu les compositions très particulières du premier Drakengard.
J'aurais dû m'en douter et, pourtant, j'ai été assez surpris par la violence du jeu et plus particulièrement celle de Zéro, le personnage qu'on incarne. C'est vraiment rare de voir un jeu qui demande au joueur de s'identifier à un tel personnage. Mais elle me plait bien :P
Bref, j'avance tranquillement, je maudis déjà le moment où je vais devoir collectionner toutes les armes et, dans l'ensemble, j'apprécie l'expérience :D
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
M'a mis dans tous mes états lui. Je suis passé du : "boarf, c'est faisable" au "merde c'est chaud en fait" puis au "m'en cogne, je cheat avec la technique du double écran parce qu'il ne faut pas non plus déconner hein :p"
Le Drakengard que je préfère malgré la catastrophe technique (sur ps3).
Bon, après une bonne pause, j'ai en quelque sorte terminé Drakengard 3.
Je dis en quelque sorte parce que, en fait, il est hors de question que je farm comme un sagouin pour avoir toutes les armes, c'est bidon comme truc et, malheureusement, il faut le faire pour avoir accès à la branche D et voir le true last boss. On est bien d'accord que c'est dommage mais, vraiment, déso Taro mais non. Si encore l'obtention de ces armes passait par un processus intéressant, pourquoi pas ? Mais non, le but est juste de farmer de l'or pour ensuite acheter les armes (et aussi utiliser les différents acolytes pour renforcer leur attachement et qu'ils finissent par nous filer la leur).
Du coup, go YouTube :D
Alors, c'est comment, Drakengard 3 ?
Eh ben, c'est un bon jeu, il n'y a pas à dire et c'est un jeu de Yoko Taro, pas de doute là-dessus ^^
On retrouve bien ses obsessions : la quête d'identité, la volonté désespérée de sauver les autres au mépris de sa propre condition, ce nihilisme teinté d'humour, bref ! Tout est là et c'est toujours aussi fascinant d'évoluer dans ce monde où tout semble perdu mais où une lueur d'espoir brille malgré tout.
Malgré tout, j'ai quand même trouvé l'histoire un peu simple et son évolution vraiment timide tout au long de l'aventure : Zero doit en finir avec les invocatrices et... bah voilà, c'est à peu près tout. Et c'est pareil pour les personnages qui sont un peu unidimensionnels.
D'accord, comme dans le premier, on se retrouve avec une bande d'outsiders mais, contrairement à Drakengard 1, ici on n'en apprend pas vraiment plus sur chacun d'eux et leur principal trait de caractère (ils en ont un seul) peut parfois s'avérer sacrément redondant à être répété sans cesse.
Et ça donne au jeu un côté très nihiliste aussi : ici, à peu près tous les personnages sont des sales types et il n'y a pas grand chose qui vienne nuancer cette impression.
Enfin, j'ai trouvé la narration un peu artificielle, pour le coup, avec ces multiples embranchements pas foncièrement justifiés et des brisages de quatrième mur un peu forcés pour faire avancer l'intrigue (à la fin de certaines branches, la narratrice nous dit parfois carrément "bon, on a fini cette branche et c'est une impasse, donc on va partir dans une autre direction").
Le gros souci, c'est que tout avance dans la branche D. Il y a carrément une mission de cette branche qui n'a qu'un seul but : tout expliquer. Et, vraiment, se rendre compte qu'on se farcit des heures de jeu pendant lesquelles ça n'avance pas et voir que tout se met en place dans les deux dernières heures qui ne sont accessibles qu'une fois qu'on aura farmé encore quelques heures, disons que... voilà, ça fait un peu souffler du nez, quoi :P
C'est un truc qu'on pouvait craindre avec Yoko Taro : que sa façon de nous raconter des histoires devienne un gimmick, un lieu commun, et c'est un peu le cas ici, je trouve.
Dans l'ensemble j'ai trouvé l'intrigue moins fluide et moins intéressante que celle de Drakengard 1. Ça se traîne et la plupart des branches n'amènent pas grand chose. Dommage Eliane !
Côté gameplay, c'est plutôt pas mal. Le système de combat est dynamique et très fluide, notamment grâce à la possibilité de changer d'arme à la volée, même s'il n'est pas très profond. Ce qui est un peu dommage, c'est que les séquences de gameplay sont très peu variées. On fait vraiment tout le temps la même chose, on bourre dans le tas en parcourant des décors très linéaires et, au bout de plusieurs heures de jeu, un petit bout de lassitude pointe le bout de son nez. D'autant plus que le bestiaire à lui aussi tendance à se répéter.
C'est dommage parce que, quand le jeu varie un peu les plaisirs, c'est réussi, les différents gameplay s'emboîtent bien et on s'amuse vraiment.
M'enfin quand même, ça reste bien meilleur que le premier Drakengard qui était à la limite de l'injouable :D
Bon, je me rends compte que je brosse un portrait assez négatif du jeu mais, en vrai, j'ai bien aimé ^^
Même si le gameplay est répétitif, il reste agréable et fun. Même si l'histoire traînasse pas mal, elle n'en reste pas moins intéressante. Et puis, ça reste un jeu de Yoko Taro, donc on retrouve ces fulgurances, ces moments de grâce, cette atmosphère si particulière (soutenue par la très belle musique de Keiichi Okabe), bref, tout ce qui fait qu'on aime les jeux du bonhomme.
Et le true last boss reste quand même un grand moment de jeu vidéo (même si c'est horriblement difficile, de ce que j'ai vu).
C'est plutôt un jeu que je conseillerais aux fans de Taro un peu curieux et qui voudraient se replonger dans son univers en attendant son prochain titre.
Pour les autres, eh bien... Nier: Automata ! :D
Ouep, erreur de jugement ^^
Bon, c'est fait mais sans gloire, technique du double écran. J'ai regardé vite fait sur le net pour voir la durée du machin et quand j'ai vu le dernier input, je me suis dit au diable mon honneur. Sérieux, pratiquement impossible à timer le machin sans savoir.
Pour ceux qui ont fait ça sans la barre de rythme en parallèle sur un autre écran, vous êtes des dieux. Au dessus de mes forces perso et j'aurais, je pense, abandonné. Faut pas déconner quoi ^^
Bref, lancez-moi des tomates, j'assume parfaitement :p
Perso m'était acharné dessus. Par contre pour le truc a la fin j'ai été voir les topic du boss sous gamefaqs pour le timming de merde sur le coup de pute sur l'écran noir.
Boss le plus hard ever.
https://youtu.be/1PVq-8gxi2c?t=2m57s
LP FFXIV
LP MH-Frontier
Soluce Dragon's Dogma
Death's gambit:AL Spoiler Free
Mega respect ^^ Sinon, malgré ses évidents défauts, j'ai passé un très bon moment sur le jeu. Comme quoi.
Je l'avais commencé sans aide et je gérais plutôt bien l'ensemble, sauf un putain de passage. J'avais donc essayé de le faire avec une aide visuelle, mais ça ne m'avait pas du tout aidé, au contraire. J'ai donc continué sans aide et à force d'entraînement je suis arrivé à passer le passage qui me bloquait, mais à mon avant-dernier essai je me suis fait avoir sur la dernière entrée... Après ça, je me suis pris une p'tite nuit de sommeil, et le lendemain j'ai tout démonté, du premier coup, sans aide.
J'adore ce boss.
Ce boss et son thème, les éléments déclencheurs qui m'ont permis de considérer ce jeu comme un chef-d’œuvre.
Ouais la musique est très chouette et visuellement, le boss est très classe.
Salut les gens !
Eh ben voilà, je me suis lancé dans Drakengard 3. Fallait bien que ça arrive vu que j'aime beaucoup le travail de Yoko Taro, que j'ai fait le premier, Nier et Nier: Automata, c'était couru d'avance ^^
Pour le moment j'aime beaucoup, vraiment, on retrouve tout de suite le style si particulier de Yoko Taro, avec des personnages hyper charismatiques qui ont tous un pète au casque et un regard sur le monde tragi-comique assez désespéré et en même temps très humain.
Côté gameplay, alors, c'est du Drakengard, c'est clair, mais quand même en vachement mieux :D
Ça se contrôle bien, c'est fluide, nerveux, simple mais efficace et je trouve la possibilité de switcher entre les différents types d'armes à la volée hyper fun.
Petite précision, je fais le jeu sur émulateur, donc j'ai beaucoup moins de soucis de framerate que sur console. Par contre, pour la caméra, il n'y a rien à faire, elle est parfois complètement à la ramasse, on frappe littéralement à l'aveugle par moments.
Les musiques sont vraiment excellentes même si je regrette un (tout) petit peu les compositions très particulières du premier Drakengard.
J'aurais dû m'en douter et, pourtant, j'ai été assez surpris par la violence du jeu et plus particulièrement celle de Zéro, le personnage qu'on incarne. C'est vraiment rare de voir un jeu qui demande au joueur de s'identifier à un tel personnage. Mais elle me plait bien :P
Bref, j'avance tranquillement, je maudis déjà le moment où je vais devoir collectionner toutes les armes et, dans l'ensemble, j'apprécie l'expérience :D
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Bordel drakengard 3 a 60FPS... vais surement me le refaire pasque bon.. 15-20FPS master race sur ps3 LUL
Tu va surtout maudire le true end boss...
LP FFXIV
LP MH-Frontier
Soluce Dragon's Dogma
Death's gambit:AL Spoiler Free
Oh bordel, hâte de te voir au vrai boss de fin.
M'a mis dans tous mes états lui. Je suis passé du : "boarf, c'est faisable" au "merde c'est chaud en fait" puis au "m'en cogne, je cheat avec la technique du double écran parce qu'il ne faut pas non plus déconner hein :p"
Le Drakengard que je préfère malgré la catastrophe technique (sur ps3).
Ouais, j'ai vu pour le boss de fin, on ne peut même pas utiliser la technique de la pause sauvage, comme dans le 1 ! Quel salow, ce Taro :D
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Bon, après une bonne pause, j'ai en quelque sorte terminé Drakengard 3.
Je dis en quelque sorte parce que, en fait, il est hors de question que je farm comme un sagouin pour avoir toutes les armes, c'est bidon comme truc et, malheureusement, il faut le faire pour avoir accès à la branche D et voir le true last boss. On est bien d'accord que c'est dommage mais, vraiment, déso Taro mais non. Si encore l'obtention de ces armes passait par un processus intéressant, pourquoi pas ? Mais non, le but est juste de farmer de l'or pour ensuite acheter les armes (et aussi utiliser les différents acolytes pour renforcer leur attachement et qu'ils finissent par nous filer la leur).
Du coup, go YouTube :D
Alors, c'est comment, Drakengard 3 ?
Eh ben, c'est un bon jeu, il n'y a pas à dire et c'est un jeu de Yoko Taro, pas de doute là-dessus ^^
On retrouve bien ses obsessions : la quête d'identité, la volonté désespérée de sauver les autres au mépris de sa propre condition, ce nihilisme teinté d'humour, bref ! Tout est là et c'est toujours aussi fascinant d'évoluer dans ce monde où tout semble perdu mais où une lueur d'espoir brille malgré tout.
Malgré tout, j'ai quand même trouvé l'histoire un peu simple et son évolution vraiment timide tout au long de l'aventure : Zero doit en finir avec les invocatrices et... bah voilà, c'est à peu près tout. Et c'est pareil pour les personnages qui sont un peu unidimensionnels.
D'accord, comme dans le premier, on se retrouve avec une bande d'outsiders mais, contrairement à Drakengard 1, ici on n'en apprend pas vraiment plus sur chacun d'eux et leur principal trait de caractère (ils en ont un seul) peut parfois s'avérer sacrément redondant à être répété sans cesse.
Et ça donne au jeu un côté très nihiliste aussi : ici, à peu près tous les personnages sont des sales types et il n'y a pas grand chose qui vienne nuancer cette impression.
Enfin, j'ai trouvé la narration un peu artificielle, pour le coup, avec ces multiples embranchements pas foncièrement justifiés et des brisages de quatrième mur un peu forcés pour faire avancer l'intrigue (à la fin de certaines branches, la narratrice nous dit parfois carrément "bon, on a fini cette branche et c'est une impasse, donc on va partir dans une autre direction").
Le gros souci, c'est que tout avance dans la branche D. Il y a carrément une mission de cette branche qui n'a qu'un seul but : tout expliquer. Et, vraiment, se rendre compte qu'on se farcit des heures de jeu pendant lesquelles ça n'avance pas et voir que tout se met en place dans les deux dernières heures qui ne sont accessibles qu'une fois qu'on aura farmé encore quelques heures, disons que... voilà, ça fait un peu souffler du nez, quoi :P
C'est un truc qu'on pouvait craindre avec Yoko Taro : que sa façon de nous raconter des histoires devienne un gimmick, un lieu commun, et c'est un peu le cas ici, je trouve.
Dans l'ensemble j'ai trouvé l'intrigue moins fluide et moins intéressante que celle de Drakengard 1. Ça se traîne et la plupart des branches n'amènent pas grand chose. Dommage Eliane !
Côté gameplay, c'est plutôt pas mal. Le système de combat est dynamique et très fluide, notamment grâce à la possibilité de changer d'arme à la volée, même s'il n'est pas très profond. Ce qui est un peu dommage, c'est que les séquences de gameplay sont très peu variées. On fait vraiment tout le temps la même chose, on bourre dans le tas en parcourant des décors très linéaires et, au bout de plusieurs heures de jeu, un petit bout de lassitude pointe le bout de son nez. D'autant plus que le bestiaire à lui aussi tendance à se répéter.
C'est dommage parce que, quand le jeu varie un peu les plaisirs, c'est réussi, les différents gameplay s'emboîtent bien et on s'amuse vraiment.
M'enfin quand même, ça reste bien meilleur que le premier Drakengard qui était à la limite de l'injouable :D
Bon, je me rends compte que je brosse un portrait assez négatif du jeu mais, en vrai, j'ai bien aimé ^^
Même si le gameplay est répétitif, il reste agréable et fun. Même si l'histoire traînasse pas mal, elle n'en reste pas moins intéressante. Et puis, ça reste un jeu de Yoko Taro, donc on retrouve ces fulgurances, ces moments de grâce, cette atmosphère si particulière (soutenue par la très belle musique de Keiichi Okabe), bref, tout ce qui fait qu'on aime les jeux du bonhomme.
Et le true last boss reste quand même un grand moment de jeu vidéo (même si c'est horriblement difficile, de ce que j'ai vu).
C'est plutôt un jeu que je conseillerais aux fans de Taro un peu curieux et qui voudraient se replonger dans son univers en attendant son prochain titre.
Pour les autres, eh bien... Nier: Automata ! :D
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok