C'est pas con, il y en a pleins des jeux qui te permettent de switcher (loul) d'un mode à l'autre. Ça permet de jauger la difficulté que tu veux, si tu trouves ça trop dur hop tu baisses et tu peux faire ça en instantané, c'est particulièrement pratique dans les rpg.
Pour revenir à la difficulté de base de ce jeu il a quand même une difficulté putain de mal dosé ça c'est un des défauts majeur dont je me souviendrais au final. Au début c'est bien le jeu nous résiste mais très vite on lui roule dessus si on joue en mode normale/exploration.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
oui difficulté très mal dosé mais c'est le jeu qui veut çà,t'as juste à aller au collisée à 100 m en sortant du plateau du prélude et tu fais le plein d'armes,çà devient un carnage très vite c'est décevant de ce côté-là,la lassitude s'installe très vite dans ce jeu,tu passe 90% du jeu à te ballader sans aucunes difficultées devant toi
Euh, moi j'ai quand même galéré pour trouver tous les sanctuaires et même pour certaines énigmes environnementales.
oui mais pour les trouver c'était juste de la ballade t'avais pas d'ennemies à tuer ou de boss et pour certains c'était le resultat d'une quête,pour ma part les sanctuaires ont été une grosse décéption
Bah, comme tous les jeux monde ouvert avec beaucoup d'exploration, dès lors que tu t'amuses à faire plein de quêtes annexes.
Non ça c'est faux. Y'a pleins de jeux mondes ouvert bien mieux géré que ce Zelda sur la difficulté.
C'est sûr que c'est un point difficile à gérer et que c'est rarement (jamais?) parfait mais là dans Zelda ça a été particulièrement raté je trouve.
Mais beaucoup de jeux même s'ils ne sont pas forcément mieux dosé propose plusieurs modes de difficultés switchable (loul) en jeu. Là est l'intérêt Bely tu vois, dans Skyrim si à un moment tu deviens trop over power bah t'augmentes la difficulté si ça te va pas, dans ce Zelda tu peux pas (en même temps même avec des ennemis qui tapent plus fort bah tu peux tellement spammer les soins et les dégâts au bout d'un moment que ça ne changerait pas grand chose).
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Non ça c'est faux. Y'a pleins de jeux mondes ouvert bien mieux géré que ce Zelda sur la difficulté.
Ah bon ? Lesquels ?
Moi je me souviens que dans Xenoblade, si tu fais les quêtes annexes, tu roules sur le jeu (et d'ailleurs au début tu n'as aucune difficulté contre les boss principaux). Dans les deux premiers The Witcher, tu galères au début, puis tu roules sur les ennemis à la fin du jeu (à mon avis c'est pareil pour The Witcher III). Final Fantasy XII, tu fais les contrats de chasse, tu roules sur les boss principaux. Dans ce que j'ai vu de Final Fantasy XV, pareil, tu roules sur la fin du jeu si tu fais plein de chasses et de quêtes annexes. Les autres Zelda 3D, tu amasses plein de quarts de coeurs, de flacons, d'épées plus puissantes ou de tenues qui augmentent ta puissance, tu te mets à rouler sur les ennemis. Dans Final Fantasy VI, tu vas galérer si tu vas très tôt dans la Tour de Kefka, mais si tu fais toutes les quêtes annexes du jeu, la fin du jeu est une balade de santé. Dans le premier Fallout, si je fais plein de quêtes annexes, que j'ai plein de compagnons, que j'ai l'armure de la Brotherhood of Steel, je roule sur les ennemis à la fin. Dans les Metroid, tu explores à fond, tu trouves plein de réserves d'énergie et de missiles : tu finis le jeu super facilement.
Mais après, je ne prends même pas ça pour un défaut : si je fais des quêtes annexes, c'est justement dans le but de devenir plus puissant et de rouler sur les ennemis, car c'est ça qui est sympa aussi dans la montée en puissance de notre avatar. Par contre, si je veux de la difficulté, et bien je ne fais pas de quêtes annexes dans un RPG, tout simplement. C'est aussi pour cette raison que je joue à un jeu monde ouvert. Moi j'ai horreur des ennemis qui s'adaptent trop au niveau du joueur au point de l'écoeurer à l'idée de monter en puissance, vu qu'il ne ressent pas cette montée en puissance. De même, je déteste changer de difficulté dans un jeu : je préfère commencer directement dans le mode de difficulté le plus élevé si j'en ai la possibilité.
C'est à chaque fois pareil dès qu'un nouveau jeu monde ouvert sort : les mêmes reproches, l'histoire qui se répète. Une fois, c'est à Final Fantasy XII qu'on fait ce reproche, puis ensuite à Xenoblade, puis ensuite à Zelda, puis demain ce sera encore un autre jeu monde ouvert : c'est à croire que les gens ont la mémoire courte et ne font que découvrir ce qu'est réellement un jeu ouvert à chaque nouveau jeu qui sort. Et les gens se plaignent qu'un jeu devient trop facile alors qu'ils font plein de quêtes annexes et qu'ils savent pourtant à l'avance que ça va les rendre très puissants : c'est contradictoire, quand même.
Si vraiment vous voulez de la difficulté dans un jeu ouvert, ne faites pas les quêtes annexes, ou alors faites juste d'abord la quête principale, puis ensuite réservez-vous toutes les quêtes annexes à la fin du jeu (ou alors sur une autre partie). Ce sont des jeux ouverts, donc qui vous autorisent justement à jouer comme vous le sentez, sans pour autant utiliser l'artifice du changement de mode de difficulté à la volée.
Dans Oblivion le monde ce met a ton nivaux. L'on pourrait ce dire que c'est mieux. Problème, quant tu galère dans une ruine contre des squelette, que tu repart fait quelque quéte et gagner quelque niveau, et que tu revient et pouf plus de squelette mais des Goléms de glace... Et bien j'ai envie de dire a quoi bon gagner des niveau ?
Perso c'est ce qui ma fait arrêter le jeux, je ne voyer pas l’intérêt de faire évoluer un personnage si tu ne gagne pas réellement en puissance face aux ennemis.
Je préfère donc un jeux comme Zelda ou aux début tu n'est rien,e t aux bout d'une 50en d'heurs tu est le héros qui pourfend tous les ennemis.
Après je reste objectif, j'aurais préférer que le jeux me résiste plus longtemps, et qu'il contienne quelque nouveau chalange pour de "let game". Mais sur le font l'objectif est remplis, le jeux est baser officiellement sur LE Héros, qui déchut doit retrouver toute ça puissance, et c'est ce qu'il fait ressentir.
Moi ce Zelda m'a quand même résisté bien plus longtemps que la plupart d'entre vous, parce qu'au départ je n'ai augmenté que la jauge d'endurance, donc je n'ai obtenu mon premier réceptacle de coeur qu'après environ vingt heures de jeu, quand j'ai fini mon premier donjon chez les Gerudos (et j'avais vraiment galéré). Je m'étais même amusé à traverser tout le donjon final avec trois coeurs jusqu'à la salle du boss final, avant de partir ensuite pour les Gerudos, donc j'avais eu ma dose de défi. Et c'est après avoir fait tous les donjons et maximisé ma jauge d'endurance que j'ai commencé à augmenter mon nombre de coeurs, donc déjà j'avais fait le défi le plus intéressant et gratifiant. Bref, c'est vraiment à partir de quarante heures de jeu (je dirais) que la difficulté a vraiment commencé à flancher dans ma partie, parce que justement je commençais à devenir assez puissant.
C'était volontaire de ma part car je savais très bien ce qui m'attendait si j'avais d'abord augmenté mon nombre de coeurs (et puis de toute façon j'ai estimé que l'exploration reste le coeur du jeu, donc que la jauge d'endurance est beaucoup plus importante pour ça, sans oublier que je gardais mes réflexes "Dark Souls" dans lequel l'endurance est également super importante).
Par contre, ce qu'il aurait fallu faire pour mieux contenter les joueurs en quête de défi en fin de jeu, c'est de mettre davantage d'épreuves comme celle de l'Île Finalis ou cette nouvelle épreuve du DLC qui consistent à virer tout l'équipement de Link pour qu'il démarre à poil.
C'est pas con, il y en a pleins des jeux qui te permettent de switcher (loul) d'un mode à l'autre. Ça permet de jauger la difficulté que tu veux, si tu trouves ça trop dur hop tu baisses et tu peux faire ça en instantané, c'est particulièrement pratique dans les rpg.
Pour revenir à la difficulté de base de ce jeu il a quand même une difficulté putain de mal dosé ça c'est un des défauts majeur dont je me souviendrais au final. Au début c'est bien le jeu nous résiste mais très vite on lui roule dessus si on joue en mode normale/exploration.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
oui difficulté très mal dosé mais c'est le jeu qui veut çà,t'as juste à aller au collisée à 100 m en sortant du plateau du prélude et tu fais le plein d'armes,çà devient un carnage très vite c'est décevant de ce côté-là,la lassitude s'installe très vite dans ce jeu,tu passe 90% du jeu à te ballader sans aucunes difficultées devant toi
Bah, comme tous les jeux monde ouvert avec beaucoup d'exploration, dès lors que tu t'amuses à faire plein de quêtes annexes.
Euh, moi j'ai quand même galéré pour trouver tous les sanctuaires et même pour certaines énigmes environnementales.
Non ça c'est faux. Y'a pleins de jeux mondes ouvert bien mieux géré que ce Zelda sur la difficulté.
C'est sûr que c'est un point difficile à gérer et que c'est rarement (jamais?) parfait mais là dans Zelda ça a été particulièrement raté je trouve.
Mais beaucoup de jeux même s'ils ne sont pas forcément mieux dosé propose plusieurs modes de difficultés switchable (loul) en jeu. Là est l'intérêt Bely tu vois, dans Skyrim si à un moment tu deviens trop over power bah t'augmentes la difficulté si ça te va pas, dans ce Zelda tu peux pas (en même temps même avec des ennemis qui tapent plus fort bah tu peux tellement spammer les soins et les dégâts au bout d'un moment que ça ne changerait pas grand chose).
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Ah bon ? Lesquels ?
Moi je me souviens que dans Xenoblade, si tu fais les quêtes annexes, tu roules sur le jeu (et d'ailleurs au début tu n'as aucune difficulté contre les boss principaux). Dans les deux premiers The Witcher, tu galères au début, puis tu roules sur les ennemis à la fin du jeu (à mon avis c'est pareil pour The Witcher III). Final Fantasy XII, tu fais les contrats de chasse, tu roules sur les boss principaux. Dans ce que j'ai vu de Final Fantasy XV, pareil, tu roules sur la fin du jeu si tu fais plein de chasses et de quêtes annexes. Les autres Zelda 3D, tu amasses plein de quarts de coeurs, de flacons, d'épées plus puissantes ou de tenues qui augmentent ta puissance, tu te mets à rouler sur les ennemis. Dans Final Fantasy VI, tu vas galérer si tu vas très tôt dans la Tour de Kefka, mais si tu fais toutes les quêtes annexes du jeu, la fin du jeu est une balade de santé. Dans le premier Fallout, si je fais plein de quêtes annexes, que j'ai plein de compagnons, que j'ai l'armure de la Brotherhood of Steel, je roule sur les ennemis à la fin. Dans les Metroid, tu explores à fond, tu trouves plein de réserves d'énergie et de missiles : tu finis le jeu super facilement.
Mais après, je ne prends même pas ça pour un défaut : si je fais des quêtes annexes, c'est justement dans le but de devenir plus puissant et de rouler sur les ennemis, car c'est ça qui est sympa aussi dans la montée en puissance de notre avatar. Par contre, si je veux de la difficulté, et bien je ne fais pas de quêtes annexes dans un RPG, tout simplement. C'est aussi pour cette raison que je joue à un jeu monde ouvert. Moi j'ai horreur des ennemis qui s'adaptent trop au niveau du joueur au point de l'écoeurer à l'idée de monter en puissance, vu qu'il ne ressent pas cette montée en puissance. De même, je déteste changer de difficulté dans un jeu : je préfère commencer directement dans le mode de difficulté le plus élevé si j'en ai la possibilité.
C'est à chaque fois pareil dès qu'un nouveau jeu monde ouvert sort : les mêmes reproches, l'histoire qui se répète. Une fois, c'est à Final Fantasy XII qu'on fait ce reproche, puis ensuite à Xenoblade, puis ensuite à Zelda, puis demain ce sera encore un autre jeu monde ouvert : c'est à croire que les gens ont la mémoire courte et ne font que découvrir ce qu'est réellement un jeu ouvert à chaque nouveau jeu qui sort. Et les gens se plaignent qu'un jeu devient trop facile alors qu'ils font plein de quêtes annexes et qu'ils savent pourtant à l'avance que ça va les rendre très puissants : c'est contradictoire, quand même.
Si vraiment vous voulez de la difficulté dans un jeu ouvert, ne faites pas les quêtes annexes, ou alors faites juste d'abord la quête principale, puis ensuite réservez-vous toutes les quêtes annexes à la fin du jeu (ou alors sur une autre partie). Ce sont des jeux ouverts, donc qui vous autorisent justement à jouer comme vous le sentez, sans pour autant utiliser l'artifice du changement de mode de difficulté à la volée.
Il faut voire ce qu'on veut aussi.
Dans Oblivion le monde ce met a ton nivaux. L'on pourrait ce dire que c'est mieux. Problème, quant tu galère dans une ruine contre des squelette, que tu repart fait quelque quéte et gagner quelque niveau, et que tu revient et pouf plus de squelette mais des Goléms de glace... Et bien j'ai envie de dire a quoi bon gagner des niveau ?
Perso c'est ce qui ma fait arrêter le jeux, je ne voyer pas l’intérêt de faire évoluer un personnage si tu ne gagne pas réellement en puissance face aux ennemis.
Je préfère donc un jeux comme Zelda ou aux début tu n'est rien,e t aux bout d'une 50en d'heurs tu est le héros qui pourfend tous les ennemis.
Après je reste objectif, j'aurais préférer que le jeux me résiste plus longtemps, et qu'il contienne quelque nouveau chalange pour de "let game". Mais sur le font l'objectif est remplis, le jeux est baser officiellement sur LE Héros, qui déchut doit retrouver toute ça puissance, et c'est ce qu'il fait ressentir.
Moi ce Zelda m'a quand même résisté bien plus longtemps que la plupart d'entre vous, parce qu'au départ je n'ai augmenté que la jauge d'endurance, donc je n'ai obtenu mon premier réceptacle de coeur qu'après environ vingt heures de jeu, quand j'ai fini mon premier donjon chez les Gerudos (et j'avais vraiment galéré). Je m'étais même amusé à traverser tout le donjon final avec trois coeurs jusqu'à la salle du boss final, avant de partir ensuite pour les Gerudos, donc j'avais eu ma dose de défi. Et c'est après avoir fait tous les donjons et maximisé ma jauge d'endurance que j'ai commencé à augmenter mon nombre de coeurs, donc déjà j'avais fait le défi le plus intéressant et gratifiant. Bref, c'est vraiment à partir de quarante heures de jeu (je dirais) que la difficulté a vraiment commencé à flancher dans ma partie, parce que justement je commençais à devenir assez puissant.
C'était volontaire de ma part car je savais très bien ce qui m'attendait si j'avais d'abord augmenté mon nombre de coeurs (et puis de toute façon j'ai estimé que l'exploration reste le coeur du jeu, donc que la jauge d'endurance est beaucoup plus importante pour ça, sans oublier que je gardais mes réflexes "Dark Souls" dans lequel l'endurance est également super importante).
Par contre, ce qu'il aurait fallu faire pour mieux contenter les joueurs en quête de défi en fin de jeu, c'est de mettre davantage d'épreuves comme celle de l'Île Finalis ou cette nouvelle épreuve du DLC qui consistent à virer tout l'équipement de Link pour qu'il démarre à poil.
Bon ben c'était bien 6h ^^
c'est au final assez bien foutu pour récupérer les armures, y'a des ptites énigmes à la con.