Miss Peregrine et les enfants particuliers. Ceux qui m'offrent des livres me prennent pour un adolescent. :p
Car oui c'est plutôt pour les jeunes adultes. Alors je n'ai pas vu l'adaptation ciné de Burton, et puis ça m'aurait spoilé donc tant mieux.
J'en suis loin d'en avoir lu la moitié, et franchement pour vous le dire, ça ne m'emballe pas des masses. Peut-être ai-je trop l'habitude de lire quasi-exclusivement des ouvrages du 18 et 19ième. Mais je le terminerai, ça prendra le temps qu'il faudra. Les lectures que j'en fais sont tellement espacées - déjà sur plusieurs mois, - que n'ayant en plus pas la mémoire des noms, j'en oublie facilement ceux des protagonistes.
Alors à partir d'ici, je spoile un peu sans vraiment spoiler, c'est pour ça que je ne mets pas le bouton "spoiler" ; c'est juste pour présenter le début. Alors ça se passe aux States, en Floride si je ne me goure pas lamentablement. Jacob est un ado, et pas du style populaire au bahut (le schéma classique pour qu'un jeune lecteur s'identifie au héros), qui n'a qu'un seul ami marginal, et qui n'est véritablement proche que de son grand-père. Ce dernier lui racontait à l'époque, les pouvoirs surnaturels concernant des gosses étranges, lorsqu'il était en pension dans un orphelinat britannique pour fuir le nazisme, car oui surprenant, la famille de Jacob est juive et son grand-père s'appelle Abraham.
De prime-abord, vous remarquerez le parallèle entre une histoire d'enfants à part et isolés du reste du monde, puisque habitant au fond d'une île galloise et n'étant pas dans la normalité, et les juifs subissant l'antisémitisme, rejetés et n'étant pas dans la norme non plus (voire en parallèle aussi avec la place qu'occupe Jacob vis-à-vis des jeunes de son âge).
Toute la première partie qui se déroule aux USA est très clichée, que ce soit l'environnement ou les caractères des personnages, tout cela sonne très caricature d'une banlieue pavillonnaire américaine, genre comme dans Malcolm mais en pas loufoque. Certainement que l’auteur a voulu grossir les traits pour marquer la différence d'avec l'ambiance sur l'île, la différence entre le réel bien connu et les faits fantastiques du papy.
Pour apporter des preuves à ses récits, le papy montrait à Jacob des vieilles photos, mais tout le monde pensait à des trucages grossiers (d'ailleurs des photos sont montrées dans le livre, ça faisait longtemps que je n'avais pas lu des livres avec des images :p). Le pépé avait fini par ne plus parler de ses histoires, mais au temps où le récit se déroule, il devint angoissé et complétement toqué. Au final Jacob le retrouve agonisant tout juste ayant été attaqué par... :p
De là le Jacob va malgré ce traumatisme enquêter sur tout cela, jusqu'à aller accompagné de son père, sur l'île où était apparemment l’orphelinat. Et je m'en suis arrêté par là, au moment où un vieil autochtone parle d'un bombardement en 40.
Pour résumé, pas d'histoire d'amour, une intrigue qui est lente à se décanter, peut-être pour le suspense qui sait, un style et une qualité littéraire plutôt moyens, mais bon, difficile de critiquer à cause de la traduction qui simplifie toujours un peu cela et déforme certains sens. À voir par la suite.
Les légendes des contrées oubliées! Cela fait tellement longtemps que je l'ai pas lu!
Les souvenirs affluent... Douce nostalgie! Le duel entre le chevalier-tonnerre et Morkaï, c'était quelque chose!
Ah! C'est là que mes souvenirs sont flous!
Je me souviens clairement de Ewandor et Ssin, mais les autres, c'est beaucoup plus vague. Faut que je me la relise!
Hasard du calendrier sans doute, j'ai commencé "La lucidité" de l'écrivain portugais José Saramango — prix Nobel de littérature en 1998.
Le roman se déroule dans un contexte électoral. Au moment du dépouillement, on se rend compte que 83% des électeurs de la capitale ont voté blanc — le reste du pays a voté normalement.
Face à cette situation incompréhensible, les différents partis politiques — au pouvoir ou non — crient au scandale et à la conspiration. Pour contenir ce qu'il pense être un chaos, le gouvernement déclare l'état de siège et se lance dans une chasse aux coupables, aidé en cela par la presse qui pense devoir les désigner.
C'est marrant de se demander ce qui arriverait si ça se passait réellement.
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
C'est pas faux. Cependant, même s'il n'est pas pris en compte, le fait de se déplacer pour exprimer un vote de ce type pourrait, à mon sens, avoir un impact non négligeable, surtout dans de telles proportions. C'est quand même différent de la simple abstention.
La situation serait un peu différente en Belgique par exemple, puisque le vote y est obligatoire et qu'il me semble que là non plus, le vote blanc ne soit pas comptabilisé comme vote blanc.
Enfin, pour être certain qu'il n'y ait aucun malentendu, c'est surtout l'idée du roman qui me plaît. Disons que l'avantage de la théorie, c'est qu'on peut imaginer ce qu'on veut sans les inconvénients.
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Miss Peregrine et les enfants particuliers. Ceux qui m'offrent des livres me prennent pour un adolescent. :p
Car oui c'est plutôt pour les jeunes adultes. Alors je n'ai pas vu l'adaptation ciné de Burton, et puis ça m'aurait spoilé donc tant mieux.
J'en suis loin d'en avoir lu la moitié, et franchement pour vous le dire, ça ne m'emballe pas des masses. Peut-être ai-je trop l'habitude de lire quasi-exclusivement des ouvrages du 18 et 19ième. Mais je le terminerai, ça prendra le temps qu'il faudra. Les lectures que j'en fais sont tellement espacées - déjà sur plusieurs mois, - que n'ayant en plus pas la mémoire des noms, j'en oublie facilement ceux des protagonistes.
Alors à partir d'ici, je spoile un peu sans vraiment spoiler, c'est pour ça que je ne mets pas le bouton "spoiler" ; c'est juste pour présenter le début. Alors ça se passe aux States, en Floride si je ne me goure pas lamentablement. Jacob est un ado, et pas du style populaire au bahut (le schéma classique pour qu'un jeune lecteur s'identifie au héros), qui n'a qu'un seul ami marginal, et qui n'est véritablement proche que de son grand-père. Ce dernier lui racontait à l'époque, les pouvoirs surnaturels concernant des gosses étranges, lorsqu'il était en pension dans un orphelinat britannique pour fuir le nazisme, car oui surprenant, la famille de Jacob est juive et son grand-père s'appelle Abraham.
De prime-abord, vous remarquerez le parallèle entre une histoire d'enfants à part et isolés du reste du monde, puisque habitant au fond d'une île galloise et n'étant pas dans la normalité, et les juifs subissant l'antisémitisme, rejetés et n'étant pas dans la norme non plus (voire en parallèle aussi avec la place qu'occupe Jacob vis-à-vis des jeunes de son âge).
Toute la première partie qui se déroule aux USA est très clichée, que ce soit l'environnement ou les caractères des personnages, tout cela sonne très caricature d'une banlieue pavillonnaire américaine, genre comme dans Malcolm mais en pas loufoque. Certainement que l’auteur a voulu grossir les traits pour marquer la différence d'avec l'ambiance sur l'île, la différence entre le réel bien connu et les faits fantastiques du papy.
Pour apporter des preuves à ses récits, le papy montrait à Jacob des vieilles photos, mais tout le monde pensait à des trucages grossiers (d'ailleurs des photos sont montrées dans le livre, ça faisait longtemps que je n'avais pas lu des livres avec des images :p). Le pépé avait fini par ne plus parler de ses histoires, mais au temps où le récit se déroule, il devint angoissé et complétement toqué. Au final Jacob le retrouve agonisant tout juste ayant été attaqué par... :p
De là le Jacob va malgré ce traumatisme enquêter sur tout cela, jusqu'à aller accompagné de son père, sur l'île où était apparemment l’orphelinat. Et je m'en suis arrêté par là, au moment où un vieil autochtone parle d'un bombardement en 40.
Pour résumé, pas d'histoire d'amour, une intrigue qui est lente à se décanter, peut-être pour le suspense qui sait, un style et une qualité littéraire plutôt moyens, mais bon, difficile de critiquer à cause de la traduction qui simplifie toujours un peu cela et déforme certains sens. À voir par la suite.
Je relis Légendes des contrées oubliées (l'integrale qui regroupe les 3 tomes).
Culte. J'adore cette bd, ses personnages, les dessins etc. Du tout bon.
Les légendes des contrées oubliées! Cela fait tellement longtemps que je l'ai pas lu!
Les souvenirs affluent... Douce nostalgie! Le duel entre le chevalier-tonnerre et Morkaï, c'était quelque chose!
Clairement ! Elle est géniale ! Puis toutes ces créatures et puissances quoi. Tutine, Ajax, Jhûb, Ewandor etc
Ah! C'est là que mes souvenirs sont flous!
Je me souviens clairement de Ewandor et Ssin, mais les autres, c'est beaucoup plus vague. Faut que je me la relise!
Ah oui il faut ! Ca pourrait faire un excellent jeu maintenant que j'y pense.
Moi je suis dans mes Intégrales de Spider-Man. J'ai un bon paquet de tomes et je me les refait tous. De 1962 à 1970
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Hasard du calendrier sans doute, j'ai commencé "La lucidité" de l'écrivain portugais José Saramango — prix Nobel de littérature en 1998.
Le roman se déroule dans un contexte électoral. Au moment du dépouillement, on se rend compte que 83% des électeurs de la capitale ont voté blanc — le reste du pays a voté normalement.
Face à cette situation incompréhensible, les différents partis politiques — au pouvoir ou non — crient au scandale et à la conspiration. Pour contenir ce qu'il pense être un chaos, le gouvernement déclare l'état de siège et se lance dans une chasse aux coupables, aidé en cela par la presse qui pense devoir les désigner.
C'est marrant de se demander ce qui arriverait si ça se passait réellement.
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
En France rien vu que le vote blanc n'est pas pris en compte.
C'est pas faux. Cependant, même s'il n'est pas pris en compte, le fait de se déplacer pour exprimer un vote de ce type pourrait, à mon sens, avoir un impact non négligeable, surtout dans de telles proportions. C'est quand même différent de la simple abstention.
La situation serait un peu différente en Belgique par exemple, puisque le vote y est obligatoire et qu'il me semble que là non plus, le vote blanc ne soit pas comptabilisé comme vote blanc.
Enfin, pour être certain qu'il n'y ait aucun malentendu, c'est surtout l'idée du roman qui me plaît. Disons que l'avantage de la théorie, c'est qu'on peut imaginer ce qu'on veut sans les inconvénients.
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)