Re: [Classements] Vos coups de cœur et coups de gueule de 2015
Damn tout les jeux japonais subissent ^^ dommage que la Wii U ne lis pas les jeux jap sinon je l'aurais pris dans cette version ... de toute façon je verrais mais je pense me le prendre le mois prochain.
Pour Jotaro c'est bizarre ouais surtout que en dehors du Japon, les gens doivent s'en foutre un peu beaucoup de lui ^^ sauf en Amérique je pense ...
Listen. A dream that can be forgotten through liquor isn't an important one.
... Do ya understand kid !?
Re: [Classements] Vos coups de cœur et coups de gueule de 2015
Haha, j'avoue que c'est difficile de mieux représenter MGS5 qu'avec une tenue (dont ils se sont bien servis pour la comm. du jeu) qui n'est pas présente / a été retirée du jeu. :p
Sinon loul ce classement quand même, on est sur GK ou quoi ? :V
Re: [Classements] Vos coups de cœur et coups de gueule de 2015
RemasteredLife a écrit:
Haha, j'avoue que c'est difficile de mieux représenter MGS5 qu'avec une tenue (dont ils se sont bien servis pour la comm. du jeu) qui n'est pas présente / a été retirée du jeu. :p
Re: [Classements] Vos coups de cœur et coups de gueule de 2015
Bon allez, avec Xenomerde et le reste de ce que j'ai à faire, j'ai juste plus le temps de jouer à d'autres jeux, que ce soit Starcraft 2 Legacy of the Void, Project Zero 5, Undertale, Bloodborne, ou Dragon Quest Heroes. Je vais donc faire ce top vu que je ne toucherai certainement à aucun autre jeu avant 2016.
Classement des meilleurs jeux de 2015
5
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Cities Skylines
Un city builder assez sympathique dans l'ensemble...
4
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Touhou 15 : Legacy of Lunatic Kingdom
Touhou 15, c'est tout bonnement un craquage de slip intégral de la part de ZUN. C'est un épisode à la difficulté infernale même en mode Easy, accompagné d'un nouveau mode blindé de checkpoints qui n'autorise pas la moindre mort en faisant réapparaitre le joueur au précédent checkpoint, plombant totalement le rythme du jeu. C'est également un final boss fade et un extra stage moyen. Touhou 15 c'est un Touhou assez moyen malgré quelques musiques très bonnes. Mais Touhou 15, C'EST SURTOUT CE PUTAIN DE CLOWN, CE PUTAIN DE BOSS 5 QUI EST JUSTE D'UNE DIFFICULTÉ TOTALEMENT COSMIQUE, D'UN DESIGN COMPLÈTEMENT BARRÉ, ET QUI A SURTOUT UN THEME ABSOLUMENT GODTIER !!!!! Rien que pour ce boss qui est l'un de ceux qui m'a le plus marqué de la série (et qui aurait très largement eu sa place en tant qu'Extra boss, surtout vu ce qu'on a à la place...), je ne peux qu'apprécier cet épisode... même si un coup de génie pareil serait appréciable sur l'ensemble du jeu la prochaine fois :V.
3
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Project Mirai DX
Un Project Diva plutôt décevant de par son gameplay, largement moins agréable que sur les versions de Sony. Cependant, au niveau de la playlist, il s'agit peut-être du meilleur, tous épisodes confondus. Dommage que l'interface très moyenne et le chara-design tout en SD ne vienne entacher cette excellente playlist...
2
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Xenoblade X
Malgré ses nombreux défauts assez frustrants (quêtes souvent très chiantes, entre dialogues vides et objectifs inintéressants, et environnements parfois assez vides), Xenoblade X propose un open-world absolument captivant qui peut tout à fait se passer de la trame principale et se suffire à lui-même pour offrir au joueur une expérience envoutante en plus d'un gameplay ultra profond qui se dévoilera au fil des pérégrinations à travers les étendues de la planète Mira.
1
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Monster Hunter 4 Ultimate
Bon, et là, on passe dans la catégorie supérieure, le "MonsterHunter-tier" qui écrase d'un revers de la main toute concurrence. Face à un Monster Hunter 3, les autres auraient peut-être eu leur chance, mais ce 4ème épisode est largement trop bon pour laisser ne serait-ce qu'une place au doute. Je vais placer le pavé que j'avais écrit après avoir bien torché le jeu histoire de n'oublier aucun point qui aurait pu me sortir de la tête avec le temps, mais ce Monster Hunter 4 fluidifie tellement le gameplay déjà jouissif de base des Monster Hunter, tout ça sans perdre l'essence de la série, qu'il serait inconcevable pour moi de décerner autre chose que la première place à ce qui est très probablement le meilleur épisode de la série sur laquelle je prends le plus de plaisir.
Spoiler ▼▲
Entre une seconde génération qui, avec Monster Hunter 2 et Unite, sublimait la formule de l'opus original en ajoutant du contenu à foison tout en corrigeant des problèmes par-ci par-là pour offrir un jeu dantesque au joueur adepte de challenges, et entre une troisième génération qui, avec Monster Hunter Tri et 3 Ultimate, avait perdu une bonne dose de charme, la faute à un remplacement en quasi totalité du bestiaire par des monstres peu charismatiques et n'opposant qu'assez peu de challenge pour ce à quoi on serait en droit de s'attendre, je ne savais pas vraiment sur quel pied danser quand au TGS de 2011 fut annoncé Monster Hunter 4. Il faut me comprendre aussi : après un Monster Hunter Tri qui avait sacrifié une partie de son intérêt sur l'autel de l'accessibilité, je ne pouvais qu'émettre de très forts doutes quant à un Monster Hunter axé sur des déplacements agiles là où le sel de la série a toujours été dans sa rigidité et son exigence. Et je dois bien dire que pour le coup, j'ai bien eu tort...
Pour les étrangers à la série, Monster Hunter vous met dans la peau d'un chasseur qui devra, par le biais de missions, aller explorer différents grands territoires découpés en plusieurs mini-zones liées entre elles, pouvant aller de calmes plaines à de dangereux volcans, en passant par la jungle sauvage ou des montagnes enneigées. Selon la quête sélectionnée, il vous sera demandé divers objectifs mais la plupart du temps vous serez mandatés pour éliminer un monstre qui cause du grabuge dans la région, bien souvent une wyverne ou ses homologues dragons. Pour vaincre votre cible, plusieurs types d'armes sont mises à votre disposition, chacune proposant un gameplay radicalement différent de ses consœurs de par sa prise en main, ses combos, ou même sa philosophie. De cette chasse vous rapporterez de l'argent, mais surtout des composants récoltés sur la carcasse de la bête, composants qui vous serviront à fabriquer des armes et armures qui vous permettront de vous préparer à chasser des monstres encore plus puissants. C'est sur ce cycle addictif et son contenu gargantuesque composé de plusieurs dizaines de monstres et de centaines (voire milliers) d'armes et d'armures que cette série s'est faite un nom jusqu'à devenir complètement culte au Japon où elle se vend comme des petits pains, atteignant les 32 millions d'exemplaires vendus dans le monde sur tous les épisodes sortis à ce jour.
Mais même si il reprend la formule qui gagne de chez Capcom, ce 4ème opus n'en est pas pour autant avare en nouveautés. La principale étant celle qui a été mise en avant dès le premier trailer : l'agilité du personnage. Là où, dans les précédents épisodes, l'on contrôlait une brique, obligés de ranger notre arme et d'escalader le moindre petit rebord, on se retrouve ici avec un véritable acrobate. on peut désormais escalader les petits rebords même avec l'armes sortie, escalader les parois à vitesse grand V, se lancer de liane en liane pour finalement sauter sur le dos d'un monstre pour lui asséner un coup dévastateur, le chevaucher pour essayer de le mettre à terre pendant quelques précieuses secondes. Et étonnamment, le tout s'enchaine parfaitement et, passé la période d'adaptation au gameplay qui pourra être plus ou moins longue selon que l'on est ou pas un novice dans la série, on se surprend à prendre un plaisir fou à crapahuter ainsi dans des décors d'une complexité étonnante pour le support (surtout en gardant une telle fluidité d'image), qui nous invitent à exploiter ces nouveautés pour nous faire ressentir des sensations jusque là inédites dans la série. Et pourtant cela n'enlève en rien à l'exigence que requiert le jeu puisque les monstres vous demanderont cette fois encore toute votre attention tant chacun de leurs coups peuvent s'avérer mortels.
D'ailleurs, le bestiaire peut ici se targuer d'être le plus fourni de la série, frôlant de peu la barre de la centaine. Même si un bon nombre de monstres déjà vus dans la première et la seconde génération sont à nouveau de la partie agrémentés de nouveaux comportements tirant partie de la verticalité du terrain, une batterie de petits nouveaux est tout de même présente, plus ou moins originaux selon la bestiole, mais certains amenant carrément de nouvelles mécaniques de gameplay. C'est ainsi que le Gore Magala, votre bête noire de cet opus, pourra vous infecter d'un mystérieux virus contre lequel il faudra lutter en étant le plus offensif possible sous peine de recevoir un malus rendant l'affrontement fort peu confortable. Le Seregios lui, pourra vous infliger de graves blessures, vous obligeant à rester immobile quelques instants pour éviter que la blessure n'empire, infligeant d'importants dégâts à chaque mouvement brusque. Il est également très appréciable de contempler le travail qui a été réalisé sur le comportement des monstres et sur la cohérence des écosystèmes proposés. Prenons comme exemple une expédition dans une jungle luxuriante, perché en hauteur sur un tapis de liane. Soudain, un Vélocidrome, chef d'une bande de Vélocipreys, vous fait face, ayant réussi à se hisser jusqu'à vous en croyant trouver un repas facile tandis que ses subalternes tentent en vain de sauter pour atteindre le terrain trop surélevé pour leur morphologie plus chétive. Plus tard durant l'expédition, et après avoir affronté un Yian Kut-Ku ayant prit la fuite, vous retrouvez ce dernier en train de fouiller le sol à la recherche de Konchus, sortes de cloportes géants constituant un met de choix pour ce poulet géant. C'est face à ce genre de situations que vous serez sans cesse confrontés durant vos différentes missions, ce qui n'aura de cesse de vous immerger petit à petit dans cet univers fascinant dont on ne peut regretter que le manque flagrant d'informations à travers le compendium, votre encyclopédie des monstres ne proposant qu'une brève description de chacun d'entre eux.
Cependant, il n'y a pas que les monstres qui ont su s'adapter au gameplay vertical de cet opus puisque le changement est également perceptible au rayon des armes. Outre les modifications plus ou moins importantes effectuées sur chaque armes, l'épée longue gagnant par exemple encore plus en mordant avec l'ajout d'une attaque puissante à déclencher après une esquive, ou encore les lames doubles changeant radicalement la façon dont elles doivent être abordées, c'est principalement sur les deux nouvelles armes que l'on va principalement s'intéresser. La première, la volto-hache, s'avère extrêmement complexe à prendre en main, et se base sur un principe d'arme changeant comme l'avait déjà fait la morpho-hache avant. Ici, on bascule d'un mode "épée & bouclier" à un mode "hache". Mais la subtilité de l'arme est de charger des fioles en combattant avec l'épée classique qui pourront ensuite être utilisées par la hache pour lancer des attaques surpuissantes. On pousse même le vice jusqu'à pouvoir charger charger le bouclier au lieu de charger l'épée, afin de déclencher au final une attaque finale dévastatrice. Mais au-delà de ce principe simple, cette arme permet aux chasseurs expérimentés de déchainer des combos tout en se protégeant grâce à des attaques offrant une protection extrêmement brève en plus de pouvoir étourdir le monstre à l'aide du bouclier, demandant alors un timing démoniaque mais pour un résultat d'une efficacité sans pareil. La deuxième arme inédite est celle qui correspond le mieux à ce nouvel opus : l'insectoglaive. Ici, le principe est encore plus original puisque vous serez équipés, en plus d'un bâton qui fera office d'arme principale, d'un "kinsecte", petit scarabée que l'on peut envoyer à l'assaut de l'ennemi afin de récolter des extraits. Disposés en 4 couleurs, ces extraits auront ainsi différents effets : le rouge offrira une nouvelle palette de coups bien plus rapide, le blanc améliorera les sauts, le orange vous offrira une meilleur protection, et le vert vous redonnera un peu de vie. Ainsi, un utilisateur d'insectoglaive aura tout intérêt à récolter régulièrement les différents extraits du monstre pour ne pas voir leur effet disparaître. Mais ce faisant, le chasseur devient une véritable machine de guerre, virevoltant en infligeant des coups puissants et s'élançant dans les airs en se servant de son glaive comme d'une perche afin d'essayer de chevaucher les monstres pour les mettre à terre et ainsi les rouer de coups le temps qu'ils trouvent la force de se relever.
Une foule de petites nouveautés vous attendent également au fil de l'aventure, la principale étant les compagnons felynes, petits chats vous accompagnant en mission et que vous pourrez équiper, et sélectionner selon leur classe (soigneur, récolteur, voleur, poseur de pièges,...). Tout nous pousse à continuer pour découvrir ce que nous réserve la suite du jeu, et même à plus de 100h à son actif on se surprend encore à découvrir de nouvelles mécaniques de gameplay introduites exclusivement durant les quêtes de rang expert. Il vous faudra donc compter plusieurs centaines d'heures si vous voulez entrevoir tout le potentiel que le jeu a à vous proposer, et ainsi essayer de vous frotter aux quêtes de rang expert, puis de rang G, véritable défi dans lesquelles aucune erreur ne vous sera pardonnée et où chaque monstre peut s'avérer redoutable au chasseur non préparé.
Au final, Monster Hunter 4 est un véritable souffle d'air frais, voire même un vent de renouveau dans cette saga qui avait tendance à rester sur ses acquis concernant le cœur de son gameplay, de peur de froisser sa myriade de fans. néanmoins, il s'agit là d'une véritable réussite pour la licence de Capcom qui réussit à allier à merveille un gameplay à la fois souple et rigide, allant même jusqu'à procurer des sensations de chasse jusque là inédites et tout bonnement jouissives. Les réfractaires à la série ne se contenteront très probablement pas de ces changements et pesteront sur cette rigidité caractéristique, mais c'est bien ça qui en fait tout le charme. Monster Hunter ne se laissera encore une fois pas apprécier par n'importe qui. Il faudra une véritable volonté de passer outre ses prétendus défauts, passer les premières heures à lutter pour se débrouiller dans cet univers hostile où rien ne vous épargnera et où rien ne vous sera offert. Mais quiconque prendra la peine d'aller au-delà de cette apparente rugosité découvrira un gameplay à la profondeur inouïe et un contenu quasiment insondable. À ce moment, ce qui apparaissait comme des défauts disparaîtront petit à petit, et la rigueur jadis demandée se transformera alors en outil permettant d'extraire l'essence du plaisir que peut procurer ce jeu. Que vous soyez un novice ou un vétéran à la série, vous ne pouvez que vous laisser tenter par cette expérience qui s'offre à vous sur ce qui s'avèrera très certainement être l'un des plus grand jeux que la 3DS aura connu.
Classement des plus grosses déceptions de 2015
5
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Cities Skylines
... mais qui m'a pas mal dérangé sur certains points. Là où on m'avait vendu un digne successeur de Sim City 4, je n'ai trouvé qu'un jeu loin d'être passionnant et cumulant les problèmes inexplicables ou les fautes de parcours. Les mises à jour ont peut-être corrigé un certain nombre de ces problèmes depuis le temps mais personnellement, je n'ai pas réussi à m'y amuser autant que je l'espérais...
4
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Mario Maker
A vrai dire j'ai plutôt apprécié le jeu pour ce qu'il a à proposer, à savoir un éditeur de niveau franchement plaisant, mais comme d'habitude, la population de base de Nintendaube a suffit à perdre le jeu à mes yeux. Dorénavant, quand je pense à Mario Maker, je ne peux pas m'empêcher de penser à un énième truc de kikoo made in Nintendo avec une communauté ne sachant rien faire d'autre que des niveaux à la difficulté infernale (ou des niveaux automatiques mais eux ont au moins le bon gout d'être bien pensés).
3
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Neko Atsumerde
Ce jeu c'est le néant. Le principe c'est de poser des panières ou des jouets à chats dans son jardin pour y attirer tous les matous du quartier. Et... c'est tout. Les chats donneront des poissons, monnaie du jeu permettant d'acheter d'autres objets mais c'est vraiment tout ce que propose ce con de jeu. Il est vraiment vide de tout intérêt, hormis celui de l'effet de mode du jeu fait à la va-vite qui allie une occupation peu gourmande en temps libre, et des chats qui n'ont toujours pas fini d'être au centre de la machine à beuzze.
2
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Puzzle & Drafion Z / Puzzle & Drafion : Mario Edition
J'adore Puzzle & Dragons. Ses artworks ultra stylés, ses monstres par milliers et leurs nombreuses évolutions, ses mécaniques de jeu profondes et évolutives selon la progression des monstres. En bref, j'aime Puzzle & Dragons. Mais cette version 3DS, putain de bordel, ce que je m'y suis fait chier ! Que ce soit Puzzle & Dragons Z ou l'itération habillée d'une skin de Mario, tous deux réunis dans la même boite à l'occasion de la sortie européenne, les deux sont aussi mortellement chiants l'un que l'autre.
Ayant principalement dosé P&D Z, allant presque jusqu'à le finir jusqu'à ce que ma patience n'atteigne ses limites, je parlerai donc principalement de ce dernier et des problèmes qui plombent tout simplement l'expérience de jeu. Et une bonne partie des problèmes se cristallisent à travers la date de sortie japonaise : le 3 mai 2013, soit à peine un an après la sortie de la version mobile. Du coup, Puzzle & Dragons étant un jeu énormément évolutif, ajoutant de nouvelles fonctionnalités régulièrement, on se retrouve ainsi en toute logique face à une mouture déjà en retard de 2 ans sur la version mobile qui a eu tout le temps de se métamorphoser et de s'améliorer. Ainsi, on peut tirer une croix sur les awakenings qui occupe une part importante du gameplay à partir du mid-game de la version mobile, permettant de combler les faiblesses d'une équipe ou de l'orienter sa façon de jouer. Le bestiaire en pâtit fortement également car, même s'il ajoute quelques monstres exclusifs (pour la plupart bien laids), ceux issus de la version mobile ne s'y trouvent que dans leur avant-dernière forme, excluant les évolutions ultimes permettant souvent de choisir entre plusieurs évolutions différentes.
Le deuxième point qui finit d'achever le plaisir du jeu peut paraitre paradoxal vis-à-vis de nos préjugés de joueurs éclairés : le modèle économique de jeu payant. Car là où la plupart des joueurs crachent sans la moindre objectivité ni aucune réflexion sur le modèle free to play, il faut quand même lui reconnaître de nombreux avantages lorsqu'il est bien géré. Ici, le jeu ayant un modèle économique classique, on se retrouve sans plannings d'évènements qui pimentaient la progression de la version smartphones. Les machines à œufs utilisant de la monnaie prémium étant absente, il faudra uniquement compter sur les créatures qui inspirent tout sauf le respect plutôt que des dieux impressionnants. La différence se fait même ressentir jusque dans les mécaniques de jeu puisque les évolutions ne se font plus par le biais de monstres à récolter en donjon, mais à l'aide d'objets qui n'auront de cesse de tomber en masse une fois la progression nécessaire atteinte, ne représentant plus aucun challenge. Même le level up ne semble plus représenter un obstacle tant le niveau maximal est vite atteint.
Tous ces points auront largement de quoi faire tiquer l'habitué de la série sur la 20-30aine d'heures de jeux que compte le titre, mais malheureusement, les néophytes ne seront clairement pas épargnés et ce à cause de la progression d'une platitude sans nom ! Les dialogues sont d'une niaiserie abyssale, les donjons sont inintéressants au possible et la progression s'en retrouve redondante à l'extrême, si bien que toute la difficulté pour finir le jeu me parait plus être dans le fait d'endurer l'ennui qui risque d'assaillir le joueur à tout moment.
La version Mario s'actualise légèrement dans ses mécaniques mais la perspective de jouer avec les personnages dégueulasses de Mario suffit pour couper toute envie de s'y essayer.
1
▼▲
Zelda : Trichiasse Heroes
Mon dieu ce que ce jeu est fade ! Flemme de me répéter vu que j'ai écrit mon avis sur le topic du jeu mais il est sacrément chiant !
Re: [Classements] Vos coups de cœur et coups de gueule de 2015
Citation:
Malgré ses nombreux défauts assez frustrants (quêtes souvent très chiantes, entre dialogues vides et objectifs inintéressants, et environnements parfois assez vides), Xenoblade X propose un open-world absolument captivant qui peut tout à fait se passer de la trame principale et se suffire à lui-même pour offrir au joueur une expérience envoutante en plus d'un gameplay ultra profond qui se dévoilera au fil des pérégrinations à travers les étendues de la planète Mira.
Mais le mec il est au chapitre 4, il a rien fait du jeu, et il parle :V . T'as même pas les méchas wesh :V .
Damn tout les jeux japonais subissent ^^ dommage que la Wii U ne lis pas les jeux jap sinon je l'aurais pris dans cette version ... de toute façon je verrais mais je pense me le prendre le mois prochain.
Pour Jotaro c'est bizarre ouais surtout que en dehors du Japon, les gens doivent s'en foutre un peu beaucoup de lui ^^ sauf en Amérique je pense ...
Listen. A dream that can be forgotten through liquor isn't an important one.
... Do ya understand kid !?
Kaoru Saga
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Nouvel article passionnant sur Metal Gear Solid V :
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Comme Star Wars 7, tu as raison.
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Haha, j'avoue que c'est difficile de mieux représenter MGS5 qu'avec une tenue (dont ils se sont bien servis pour la comm. du jeu) qui n'est pas présente / a été retirée du jeu. :p
Sinon loul ce classement quand même, on est sur GK ou quoi ? :V
Venez me voir en live sur
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Bon allez, avec Xenomerde et le reste de ce que j'ai à faire, j'ai juste plus le temps de jouer à d'autres jeux, que ce soit Starcraft 2 Legacy of the Void, Project Zero 5, Undertale, Bloodborne, ou Dragon Quest Heroes. Je vais donc faire ce top vu que je ne toucherai certainement à aucun autre jeu avant 2016.
Mais le mec il est au chapitre 4, il a rien fait du jeu, et il parle :V . T'as même pas les méchas wesh :V .
Eh oh, chapitre 5 ! On se renseigne avant de parler ! >:V