Ok l'agglutination de matière créée un disque d'accrétion autour d'étoile en formation, mais plus petit ce sont des sphèroïdes qui se forment et plus grand la dispersion, ou plutôt l'extension de l'espace-temps 4D au moins est... à nouveau sphérique, avec un peu plus de matière réelle/palpable à l'hémisphère Sud. Et les représentations des groupes galactiques forment une toile tridimensionnelle de filaments de matières avec énormément d'espace alvéolaire vide.
Ok l'agglutination de matière créée un disque d'accrétion autour d'étoile en formation, mais plus petit ce sont des sphèroïdes qui se forment et plus grand la dispersion, ou plutôt l'extension de l'espace-temps 4D au moins est... à nouveau sphérique, avec un peu plus de matière réelle/palpable à l'hémisphère Sud. Et les représentations des groupes galactiques forment une toile tridimensionnelle de filaments de matières avec énormément d'espace alvéolaire vide.
Ok l'agglutination de matière créée un disque d'accrétion autour d'étoile en formation, mais plus petit ce sont des sphèroïdes qui se forment et plus grand la dispersion, ou plutôt l'extension de l'espace-temps 4D au moins est... à nouveau sphérique, avec un peu plus de matière réelle/palpable à l'hémisphère Sud. Et les représentations des groupes galactiques forment une toile tridimensionnelle de filaments de matières avec énormément d'espace alvéolaire vide.
Déjà c'est le disque d'accrétion formé par la contraction d'une nappe gazeuse sur elle-même, par exemple comme pour nous à la suite d'une supernova à relative proximité, qui crée au centre un volume de gaz préstellaire. Par la suite le démarrage nucléaire de l'étoile créée un ''vent'' solaire qui pousse la matière légère en périphérie, d'où les planètes telluriques et plus loin gazeuses.
Le soucis c'est que si la matière du gaz d'origine locale est composé d'Hélium et Hydrogène (plus quelques autres gaz simple?) d'où vient la matière non gazeuse pour les planètes qui a été poussée par la proto-étoile? Des seuls restes de la supernova et son entourage planétaire?!
Et pourquoi un disque encore une fois?! L'effet des objets de Hertzsprung-Russel? Désolé vais vérifier l'orthographe de suite... oui juste un 'tz' d'oublié, mais j'ai besoin de relire mon volume d'Universalis d'Astronomie... et non salace.
P.S.: C'était mon troisième paragraphe, l'hypothétique. Le reste vient de bribes de lectures.
Alors voilà en recherchant la matière chocodermique dans l'Univers... de Google (pas Hubble) je tombe rapidement sur ça, et ça reprend ce que je dis sur pas mal de points, avec une explication ''entre guillemets'' de dispersion
plate si rapide ou sphérique si lente?!? Cf Univers plat...
SAlut!
Le sujet est super stylé et comme je suis passionné de physique, ça me donne envie d'intervenir :)
Tout ce que tu dis sur l'univers est vrai Ryoken. Seulement tout ça porte sur l'univers observable! :) Et c'est ça qui est juste ouf: on ne fait des suppositions que sur ce que nous, humains voyons. Si cela se trouve on se trompe carrément car on a une vision biaisée héhé.
Ce qui m'intéresse le plus personnellement c'est parler de l'origine de l'univers cad la transition entre l'absence de toute chose et l'apparition d'UNE chose :)
"Certains champignons ne sont comestibles qu'une seule fois..."
Il faut effectivement faire la distinction entre l'univers dit observable (celui qu'on peut observer, jusqu'aux premiers instants de la lumière correspondant à ce qu'on appelle le fond diffus cosmologique qui constitue un horizon au-delà duquel on ne peut rien observer) et l'univers proprement dit (à supposer que cet univers observable fasse partie d'un univers encore plus grand et absolu au-delà de l'horizon cosmologique).
Par contre, je pense que ça n'a pas de sens d'envisager quelque chose qui va au-delà de l'univers, parce que, par définition, l'univers est absolu, c'est-à-dire tout ce qui entoure notre sphère de vie. L'univers, c'est l'extérieur, par opposition à l'intérieur. Donc peu importe la forme ou les formes que peut prendre l'univers, sa définition même fait qu'il n'y a rien au-delà de l'univers.
Du coup, l'univers peut aussi bien être infini, ou bien fini (selon que l'univers soit une sorte de "sphère" ou ait une forme courbe qui finisse par se refermer sur elle-même). A l'heure actuelle, les astrophysiciens n'arrivent pas à déterminer la forme de la courbure de l'univers (si elle est nulle ou pas), car les incertitudes sur les calculs et les mesures sont trop importantes pour se prononcer. Mais de toutes façons, tout ce qui va au-delà de l'horizon cosmologique ne nous concerne pas car on ne pourra jamais y accéder, ni même observer ce qu'il y a au-delà (si tant est qu'il y a quelque chose au-delà de cet horizon, quelque chose avant le big-bang).
Elle doit être sacrément forte la substance que ta pris
LP FFXIV
LP MH-Frontier
Soluce Dragon's Dogma
Death's gambit:AL Spoiler Free
On est tous absolument d'accord pour dire que tu parlais de Louis-Dieudonné de France (c'est-à-dire "Louis XIV"), hein ?
Ils ont abattu mon Spitfire au dessus de la Manche!
De masturbatione mortuorum in tumulis
C'est pas faux.
Ne change rien ! Beautiful !
Ah mais ça me revient...
Déjà c'est le disque d'accrétion formé par la contraction d'une nappe gazeuse sur elle-même, par exemple comme pour nous à la suite d'une supernova à relative proximité, qui crée au centre un volume de gaz préstellaire. Par la suite le démarrage nucléaire de l'étoile créée un ''vent'' solaire qui pousse la matière légère en périphérie, d'où les planètes telluriques et plus loin gazeuses.
Le soucis c'est que si la matière du gaz d'origine locale est composé d'Hélium et Hydrogène (plus quelques autres gaz simple?) d'où vient la matière non gazeuse pour les planètes qui a été poussée par la proto-étoile? Des seuls restes de la supernova et son entourage planétaire?!
Et pourquoi un disque encore une fois?! L'effet des objets de Hertzsprung-Russel? Désolé vais vérifier l'orthographe de suite... oui juste un 'tz' d'oublié, mais j'ai besoin de relire mon volume d'Universalis d'Astronomie... et non salace.
P.S.: C'était mon troisième paragraphe, l'hypothétique. Le reste vient de bribes de lectures.
#balancetonscore SUPER MARIO XXX
Il faut lire plus alors.
Alors voilà en recherchant la matière chocodermique dans l'Univers... de Google (pas Hubble) je tombe rapidement sur ça, et ça reprend ce que je dis sur pas mal de points, avec une explication ''entre guillemets'' de dispersion
plate si rapide ou sphérique si lente?!? Cf Univers plat...
http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/dico/d/physique-matiere-sombre-46/
Et les 2 à 5 premiers mini chapitres de:
http://jcboulay.free.fr/astro/sommaire/astronomie/univers/mat_noire/page_matiere_noire.htm
Pas... Bourret?!
Une représentation de la structure de l'univers au niveau des super amas galactiques, semblable au réseau neuronal:
#balancetonscore SUPER MARIO XXX
SAlut!
Le sujet est super stylé et comme je suis passionné de physique, ça me donne envie d'intervenir :)
Tout ce que tu dis sur l'univers est vrai Ryoken. Seulement tout ça porte sur l'univers observable! :) Et c'est ça qui est juste ouf: on ne fait des suppositions que sur ce que nous, humains voyons. Si cela se trouve on se trompe carrément car on a une vision biaisée héhé.
Ce qui m'intéresse le plus personnellement c'est parler de l'origine de l'univers cad la transition entre l'absence de toute chose et l'apparition d'UNE chose :)
"Certains champignons ne sont comestibles qu'une seule fois..."
Il faut effectivement faire la distinction entre l'univers dit observable (celui qu'on peut observer, jusqu'aux premiers instants de la lumière correspondant à ce qu'on appelle le fond diffus cosmologique qui constitue un horizon au-delà duquel on ne peut rien observer) et l'univers proprement dit (à supposer que cet univers observable fasse partie d'un univers encore plus grand et absolu au-delà de l'horizon cosmologique).
Par contre, je pense que ça n'a pas de sens d'envisager quelque chose qui va au-delà de l'univers, parce que, par définition, l'univers est absolu, c'est-à-dire tout ce qui entoure notre sphère de vie. L'univers, c'est l'extérieur, par opposition à l'intérieur. Donc peu importe la forme ou les formes que peut prendre l'univers, sa définition même fait qu'il n'y a rien au-delà de l'univers.
Du coup, l'univers peut aussi bien être infini, ou bien fini (selon que l'univers soit une sorte de "sphère" ou ait une forme courbe qui finisse par se refermer sur elle-même). A l'heure actuelle, les astrophysiciens n'arrivent pas à déterminer la forme de la courbure de l'univers (si elle est nulle ou pas), car les incertitudes sur les calculs et les mesures sont trop importantes pour se prononcer. Mais de toutes façons, tout ce qui va au-delà de l'horizon cosmologique ne nous concerne pas car on ne pourra jamais y accéder, ni même observer ce qu'il y a au-delà (si tant est qu'il y a quelque chose au-delà de cet horizon, quelque chose avant le big-bang).