Bon, faut que ça sorte, faites pas attention mais :
Mais les gens, sur Paris...
Il y a quelques temps déjà, mais première fois que je dois changer de place dans le bus, suite à la fixette d'un gars (bien énervé) qui ne roulait pas sur l'or mais qui m'a pris pour un millionnaire... C'est quand même chiant que ce genre d'individus ne sache pas faire la différence entre un très riche, un riche, et un gars qui lui-même ne roule pas sur l'or.
Le malaise social est bel et bien là..? Ou alors c'est la pollution qui leur monte au nez ?
Autre petit exemple, j'attendais à la boucherie, un mec en béquille me hurle dessus d'assez loin (mais c'était pour moi, comme d'hab) comme si je roulais sur l'or.
J'ai des centaines d'exemples comme ça (collégiens qui m'appellent "mademoiselle", carrément) mais si je commence à leur répondre, faudrait que je me batte 8h par jour, c'est pas un projet de vie...
Donc voilà, Balzac disait "Les supérieurs ne pardonnent jamais à leurs inférieurs de posséder les dehors de la grandeur." Mais ça marche aussi dans l'autre sens...
J'essaie de rester caaaalme, zen, mais c'est de plus en plus difficile.
Les transports sur Paris c'est un petit délire, les seuls histoires bizarre que j'ai justement c'est sur les deux ans pendant lesquels j'ai taffé sur Paris et pourtant j'habite dans le 92 lol
Moi c'était full racisme, je prenais le métro tout les soirs entre 22h et 23h et presque tout les jours c'était embrouilles entre alcoolique raciste
Bon après j'ai la chance de jamais avoir été emmerdé en transport donc je peux pas me mettre à ta place mais faut rester fort
Citation:
J'ai des centaines d'exemples comme ça (collégiens qui m'appellent "mademoiselle", carrément) mais si je commence à leur répondre, faudrait que je me batte 8h par jour, c'est pas un projet de vie...
J'ai déjà assisté à ça en direct, c'est le problème le plus difficile à aborder parce que si tu réponds c'est que pour eux t'es intéressé et ça devient chiant et si tu réponds pas (j'ai assisté à cette version) il peut y avoir des insultes ... Le meilleur truc à faire selon moi c'est le casque lol
Jamais été trop m'emmerdé à Paris. La dernière fois que j'y étais c'était en plein dixième arrondissement, c'est pas le plus calme mais ça allait. Mais plus je peux éviter cette ville infâme, mieux je me porte.^^
Ca ne procure pas de plaisir d'insulter les gens gratuitement, et au pire, tu manges des droites...
Tu sais, on m'a déjà tiré les cheveux comme ça dans la rue, à Annecy près de Courier : un des mecs m'a insulté puis tiré les cheveux, je me suis retourné et j'ai vu qu'ils étaient 6 ou 7 dont beaucoup rigolaient et alors que j'étais allé à Courier pour me planquer dix minutes à la Fnac, les mecs m'avaient carrément retrouvé à l'autre sortie. Mais j'avais ma clé à skateboard sur moi (ce genre de truc), que j'avais transféré de mon sac à ma poche dans Courier au cas où et je me suis défendu avec en donnant des coups dans la tronche du mec le plus proche. Du coup, alors que j'attendais à me faire défoncer par les autres bah... que dalle : le bus est arrivé pas trop longtemps après, je suis monté dedans rapidos et j'ai plus jamais revu les types.
La frustration quand des merdeux se mettent en groupe sur quelqu'un, c'est vraiment quelque chose qui me rend dingue : je tremblais comme une feuille, j'avais la haine etc.
Je comprend le ressenti exprimé ici. J'ai vécu pas mal de temps à Grenoble et, même si c'est pas très grand, on se débrouille pas trop mal là-bas en terme de violence :p Quoiqu'il en soit j'ai jamais joué les héros, parce qu'on sait jamais ce que le mec bourré, la caïra, ou juste le ptit con en face de nous aura dans sa poche. En situation de "conflit physique" avec une ou plusieurs personnes que je sais ne pas pouvoir calmer, je préfère répondre calmement (parce que pas répondre c'est parfois contre-productif) et partir en restant vigilant sur ce qu'il se passe dans mon dos.
"[...] Tutu chapeau pointu !
C'était le petit Gavroche qui s'en allait en guerre."
J'ai aussi vécu à Grenoble, j'étais d'ailleurs dans un quartier pas très bien réputé et une fois il y avait même une reconstitution policière juste devant mon immeuble parce qu'il y avait eu un règlement de compte à la kalachnikov à cet endroit quelques temps avant. Le tram c'est folklo là-bas à Grenoble ; d'ailleurs, t'avais certains cas que tu croisais souvent genre tous les soirs ou presque je voyais un mec bourré et torse-nu par tous les temps, pluie, neige etc. qui était avec son ghetto-blaster à bloc en train de danser tout seul. hahaha
Mais après, faut pas non plus exagérer : il se passe des trucs de fou à Grenoble, ça c'est clair et net mais c'est pas non plus aussi invivable qu'on puisse le dire. Apparemment, c'est devenu beaucoup plus sûr qu'il y a 30 ou 40 ans dixit ma grand-mère qui a toujours ou presque habité dans le coin.
Après oui, dans l'absolu en cas de conflit inutile il faut répondre calmement ou passer son chemin mais dans les faits c'est pas toujours possible. D'ailleurs, dans mon cas précis cité plus haut, j'ai d'abord opté pour la solution "je passe mon chemin" mais comme ils voulaient pas comprendre bah... peut-être y avait-il d'autres issues mais c'était il y a plus de dix ans maintenant et c'est sans regret quelconque.
Citation:
Ouais, l'effet de groupe. Mais je flippe pas, le coup des clés j'y ai pensé. ahah.
Je flippe pas non plus, je tremble juste de rage par moment. Sinon une clé à skate dans la tronche ça fait mal visiblement.^^
Bon, faut que ça sorte, faites pas attention mais :
Mais les gens, sur Paris...
Il y a quelques temps déjà, mais première fois que je dois changer de place dans le bus, suite à la fixette d'un gars (bien énervé) qui ne roulait pas sur l'or mais qui m'a pris pour un millionnaire... C'est quand même chiant que ce genre d'individus ne sache pas faire la différence entre un très riche, un riche, et un gars qui lui-même ne roule pas sur l'or.
Le malaise social est bel et bien là..? Ou alors c'est la pollution qui leur monte au nez ?
Autre petit exemple, j'attendais à la boucherie, un mec en béquille me hurle dessus d'assez loin (mais c'était pour moi, comme d'hab) comme si je roulais sur l'or.
J'ai des centaines d'exemples comme ça (collégiens qui m'appellent "mademoiselle", carrément) mais si je commence à leur répondre, faudrait que je me batte 8h par jour, c'est pas un projet de vie...
Donc voilà, Balzac disait "Les supérieurs ne pardonnent jamais à leurs inférieurs de posséder les dehors de la grandeur." Mais ça marche aussi dans l'autre sens...
J'essaie de rester caaaalme, zen, mais c'est de plus en plus difficile.
Les transports sur Paris c'est un petit délire, les seuls histoires bizarre que j'ai justement c'est sur les deux ans pendant lesquels j'ai taffé sur Paris et pourtant j'habite dans le 92 lol
Moi c'était full racisme, je prenais le métro tout les soirs entre 22h et 23h et presque tout les jours c'était embrouilles entre alcoolique raciste
Bon après j'ai la chance de jamais avoir été emmerdé en transport donc je peux pas me mettre à ta place mais faut rester fort
J'ai déjà assisté à ça en direct, c'est le problème le plus difficile à aborder parce que si tu réponds c'est que pour eux t'es intéressé et ça devient chiant et si tu réponds pas (j'ai assisté à cette version) il peut y avoir des insultes ... Le meilleur truc à faire selon moi c'est le casque lol
Bullshit !! ¯\_(´-ι_-｀)_/¯
Jamais été trop m'emmerdé à Paris. La dernière fois que j'y étais c'était en plein dixième arrondissement, c'est pas le plus calme mais ça allait. Mais plus je peux éviter cette ville infâme, mieux je me porte.^^
Quand j'étais au collège, j'étais loin très loin d'aller emmerder les trentenaires...
Idem, hein. Mais j'ai eu une éducation, moi — et toi aussi, très certainement — contrairement aux merdeux que tu décris.
Je comprends pas le but de la manoeuvre, j'avoue :/
Ca ne procure pas de plaisir d'insulter les gens gratuitement, et au pire, tu manges des droites...
Enfin bref, merci les mecs.
Tu sais, on m'a déjà tiré les cheveux comme ça dans la rue, à Annecy près de Courier : un des mecs m'a insulté puis tiré les cheveux, je me suis retourné et j'ai vu qu'ils étaient 6 ou 7 dont beaucoup rigolaient et alors que j'étais allé à Courier pour me planquer dix minutes à la Fnac, les mecs m'avaient carrément retrouvé à l'autre sortie. Mais j'avais ma clé à skateboard sur moi (ce genre de truc), que j'avais transféré de mon sac à ma poche dans Courier au cas où et je me suis défendu avec en donnant des coups dans la tronche du mec le plus proche. Du coup, alors que j'attendais à me faire défoncer par les autres bah... que dalle : le bus est arrivé pas trop longtemps après, je suis monté dedans rapidos et j'ai plus jamais revu les types.
La frustration quand des merdeux se mettent en groupe sur quelqu'un, c'est vraiment quelque chose qui me rend dingue : je tremblais comme une feuille, j'avais la haine etc.
Ouais, l'effet de groupe. Mais je flippe pas, le coup des clés j'y ai pensé. ahah.
Mais combien d'insultes et des quasi passages à tabac (frôlés), pour une clope ou une feuille que t'as pas, c'est abusé.
Je comprend le ressenti exprimé ici. J'ai vécu pas mal de temps à Grenoble et, même si c'est pas très grand, on se débrouille pas trop mal là-bas en terme de violence :p Quoiqu'il en soit j'ai jamais joué les héros, parce qu'on sait jamais ce que le mec bourré, la caïra, ou juste le ptit con en face de nous aura dans sa poche. En situation de "conflit physique" avec une ou plusieurs personnes que je sais ne pas pouvoir calmer, je préfère répondre calmement (parce que pas répondre c'est parfois contre-productif) et partir en restant vigilant sur ce qu'il se passe dans mon dos.
"[...] Tutu chapeau pointu !
C'était le petit Gavroche qui s'en allait en guerre."
J'ai aussi vécu à Grenoble, j'étais d'ailleurs dans un quartier pas très bien réputé et une fois il y avait même une reconstitution policière juste devant mon immeuble parce qu'il y avait eu un règlement de compte à la kalachnikov à cet endroit quelques temps avant. Le tram c'est folklo là-bas à Grenoble ; d'ailleurs, t'avais certains cas que tu croisais souvent genre tous les soirs ou presque je voyais un mec bourré et torse-nu par tous les temps, pluie, neige etc. qui était avec son ghetto-blaster à bloc en train de danser tout seul. hahaha
Mais après, faut pas non plus exagérer : il se passe des trucs de fou à Grenoble, ça c'est clair et net mais c'est pas non plus aussi invivable qu'on puisse le dire. Apparemment, c'est devenu beaucoup plus sûr qu'il y a 30 ou 40 ans dixit ma grand-mère qui a toujours ou presque habité dans le coin.
Après oui, dans l'absolu en cas de conflit inutile il faut répondre calmement ou passer son chemin mais dans les faits c'est pas toujours possible. D'ailleurs, dans mon cas précis cité plus haut, j'ai d'abord opté pour la solution "je passe mon chemin" mais comme ils voulaient pas comprendre bah... peut-être y avait-il d'autres issues mais c'était il y a plus de dix ans maintenant et c'est sans regret quelconque.
Je flippe pas non plus, je tremble juste de rage par moment. Sinon une clé à skate dans la tronche ça fait mal visiblement.^^