Je ne suis même pas sûr de comprendre les termes "cartes postales". Moi, une carte postal, c'est un dessin/photo qu'on a et qu'on écrit dessus. Le côté historique ne... Je ne saisis pas trop de le fafouin autour de ça. Attention, je ne nis pas l'importance de l'histoire, mais je ne suis pas un de ces militants de la défense du patrimoine, de l'identité, etc, etc, etc (et je suis Québécois). Je comprends son utilité, mais très peu son côté sacro-saint.
Et bien, est-ce qu'on doit le reprocher aux collectionneurs ? Je veux dire, est-ce que ce ne serait pas plutôt le consommateur, prêt à payer une fortune, pour une image, quand il suffirait de fouiller un peu pour en trouver une semblable, en faire une lui-même ou sur le net ? Dans le pire des cas, il en truque une, il retrouvera la même "beauté" et pourra toujours ce dire "Oui, bof, c'est pas la vrai, mais elle me permet de me souvenir de la vrai"... Sinon, je ne comprends pas trop. Surtout que, selon toi, moi n'y connaissant rien, certains acceptent de se faire tenir les couilles par des collectionneurs ? Allons, il a un droit de propriété, il a le droit d'exiger en échange de son prêt. Réduire l'histoire à l'état de marchandise ? Non... Réduire les images à l'état de produit, certainement, si on est incapable d'en faire une semblable ou s'en passer.
Désolé de le dire, mais si mami est incapable de mesurer la valeur, c'est le droit du collectionneur assez malin dans ce domaine de l'acheter.
Si certaines cartes postales anciennes sont ornées de photos prises à l'époque de leur fabrication, si, elles peuvent avoir une valeur historique, notamment si elles représentent un lieu qui a été profondément réaménagé depuis.
Ils ont abattu mon Spitfire au dessus de la Manche!
ça reste assez dommage, même terrible qu'une telle documentation puisse dormir dans un coffre, parfois pour des raisons d'ignorance de l'importance de ces photos et objets, d'autres fois pour des raisons de sentiments, parfois pour des questions matériel, cétamoiima collection
je critique moins le buisiness autour car au moins les images tourne un poil et il y'a moyen de les obtenir, c'est mieux que les photos qui sont jeter, brûler, perdue alors qu'elles représentent un véritable trésor pour l'Histoire, la recherche, et tout et tout
sans parler de l'aspect artistique (Histoire artistique," l'architecture de tel bâtiment avant la guerre ou une destruction" "l'organisation de tel ou tel lieu a telle époque") je pense par exemple a toute les photographie qui pourrais aider a se rendre compte de choses, tableaux, bâtiments qui on disparut après la seconde (ou la premiere) guerre mondiale
bref il y'a une prise de conscience a prendre vis a vis de l'importance de n'importe quel cliché, d'un point de vue historique, voir artistique, en cela je rejoint l'avis de Historien et Puriste
(même si j'aime pas Vierzon et son micro climat orageux)
Déjà, on est dans on combat de valeur. Ceux qui mettent l'histoire, du moins, ramasser des preuves pour en apprendre sur notre passé, au-dessus de valeur comme le sentimentalisme des gens ou le droit de propriété. L'Histoire comme valeur ou la propriété privée ?
L'Histoire cesse d'exister le jour où elle cesse d'être partagée. Le Patrimoine est un bien commun garant de l'avenir d'un peuple qui en hérite. Ces choses devraient toujours être un héritage et jamais un bien privé car ce qu'elles racontent (le passé) appartient à tous. Il appartient à tous de les sauvegarder. Ce devrait être l'idéal.
En tant que futur urbaniste, je dois avouer que de trouver des documents historiques peut devenir une lourde tâche, surtout si on a des moyens limités d'y accéder et que des gens ou des lois économiques se mettent au travers de notre route. Je comprend tout à fais l'importance d'une photo qui peut sembler anodine au départ, mais qui lorsqu'on l'examine plus en détails devient un coffre aux trésors pour sa valeur historique. Les photos anciennes prises en extérieur nous renseignent particulièrement sur le passé urbanistique. Cette valeur historique ne peut, pour moi, être chiffrée. Elle devrait normalement, comme je l'ai mentionné plus haut, faire partie du bien commun.
Que ces objets soient entre les mains de personnes et que ces personnes y voient un prix à la vente, soit, mais alors qu'il soit possible de les voir n'importe quand. Il en va de même, d'ailleurs, pour ce qui est des bâtiments patrimoniaux dans une ville. Malheureusement, il est plus facile de patrimonialiser socialement l'immobilier que le mobilier. En effet, il est plus difficile de localiser une carte ou une image mobile de quelques centimètres carrés dans un débarras qu'un bâtiment figé dans une ville de plusieurs mètres carrés.
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Tous les collectionneurs ont l'air d'être des pourris à tes yeux...
Et puis est ce que toutes les photos de mamie Germaine sur la place du village en 1933 ont leurs place dans un musée ?
Mais je sympathise carrément dans ton souci de libre accès sans contrepartie à ce genre de témoins du passé. De là à tout réquisitionner...
Sell kids for food
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Je ne suis même pas sûr de comprendre les termes "cartes postales". Moi, une carte postal, c'est un dessin/photo qu'on a et qu'on écrit dessus. Le côté historique ne... Je ne saisis pas trop de le fafouin autour de ça. Attention, je ne nis pas l'importance de l'histoire, mais je ne suis pas un de ces militants de la défense du patrimoine, de l'identité, etc, etc, etc (et je suis Québécois). Je comprends son utilité, mais très peu son côté sacro-saint.
Et bien, est-ce qu'on doit le reprocher aux collectionneurs ? Je veux dire, est-ce que ce ne serait pas plutôt le consommateur, prêt à payer une fortune, pour une image, quand il suffirait de fouiller un peu pour en trouver une semblable, en faire une lui-même ou sur le net ? Dans le pire des cas, il en truque une, il retrouvera la même "beauté" et pourra toujours ce dire "Oui, bof, c'est pas la vrai, mais elle me permet de me souvenir de la vrai"... Sinon, je ne comprends pas trop. Surtout que, selon toi, moi n'y connaissant rien, certains acceptent de se faire tenir les couilles par des collectionneurs ? Allons, il a un droit de propriété, il a le droit d'exiger en échange de son prêt. Réduire l'histoire à l'état de marchandise ? Non... Réduire les images à l'état de produit, certainement, si on est incapable d'en faire une semblable ou s'en passer.
Désolé de le dire, mais si mami est incapable de mesurer la valeur, c'est le droit du collectionneur assez malin dans ce domaine de l'acheter.
Si certaines cartes postales anciennes sont ornées de photos prises à l'époque de leur fabrication, si, elles peuvent avoir une valeur historique, notamment si elles représentent un lieu qui a été profondément réaménagé depuis.
Ils ont abattu mon Spitfire au dessus de la Manche!
De masturbatione mortuorum in tumulis
t'es jaloux que des gens gagnent leur pomme en se touchant la nouille.
ça reste assez dommage, même terrible qu'une telle documentation puisse dormir dans un coffre, parfois pour des raisons d'ignorance de l'importance de ces photos et objets, d'autres fois pour des raisons de sentiments, parfois pour des questions matériel, cétamoiima collection
je critique moins le buisiness autour car au moins les images tourne un poil et il y'a moyen de les obtenir, c'est mieux que les photos qui sont jeter, brûler, perdue alors qu'elles représentent un véritable trésor pour l'Histoire, la recherche, et tout et tout
sans parler de l'aspect artistique (Histoire artistique," l'architecture de tel bâtiment avant la guerre ou une destruction" "l'organisation de tel ou tel lieu a telle époque") je pense par exemple a toute les photographie qui pourrais aider a se rendre compte de choses, tableaux, bâtiments qui on disparut après la seconde (ou la premiere) guerre mondiale
bref il y'a une prise de conscience a prendre vis a vis de l'importance de n'importe quel cliché, d'un point de vue historique, voir artistique, en cela je rejoint l'avis de Historien et Puriste
(même si j'aime pas Vierzon et son micro climat orageux)
Déjà, on est dans on combat de valeur. Ceux qui mettent l'histoire, du moins, ramasser des preuves pour en apprendre sur notre passé, au-dessus de valeur comme le sentimentalisme des gens ou le droit de propriété. L'Histoire comme valeur ou la propriété privée ?
PS : Je parle plus pour l'Historien
Génération Mega Drive
L'Histoire cesse d'exister le jour où elle cesse d'être partagée. Le Patrimoine est un bien commun garant de l'avenir d'un peuple qui en hérite. Ces choses devraient toujours être un héritage et jamais un bien privé car ce qu'elles racontent (le passé) appartient à tous. Il appartient à tous de les sauvegarder. Ce devrait être l'idéal.
En tant que futur urbaniste, je dois avouer que de trouver des documents historiques peut devenir une lourde tâche, surtout si on a des moyens limités d'y accéder et que des gens ou des lois économiques se mettent au travers de notre route. Je comprend tout à fais l'importance d'une photo qui peut sembler anodine au départ, mais qui lorsqu'on l'examine plus en détails devient un coffre aux trésors pour sa valeur historique. Les photos anciennes prises en extérieur nous renseignent particulièrement sur le passé urbanistique. Cette valeur historique ne peut, pour moi, être chiffrée. Elle devrait normalement, comme je l'ai mentionné plus haut, faire partie du bien commun.
Que ces objets soient entre les mains de personnes et que ces personnes y voient un prix à la vente, soit, mais alors qu'il soit possible de les voir n'importe quand. Il en va de même, d'ailleurs, pour ce qui est des bâtiments patrimoniaux dans une ville. Malheureusement, il est plus facile de patrimonialiser socialement l'immobilier que le mobilier. En effet, il est plus difficile de localiser une carte ou une image mobile de quelques centimètres carrés dans un débarras qu'un bâtiment figé dans une ville de plusieurs mètres carrés.