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Le repaire des Super Vilains

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Re: Le repaire des Super Vilains

Je l'ai regardé !
Et je suis pas fan du tout. C'est un documentaire pour soutenir ceux qui n'ont pas signés l'accord de Kyoto (à savoir les Etats Unis, la Chine et l'Inde).
Je le critique ou tu préfères ne pas entendre?:p

Dans le même genre, j'ai préféré le documentaire d'Al Gore qui, même si c'est très politique, évoque des idées bien plus correctes avec des sources qu'il cite:
http://www.dailymotion.com/video/x6cstz_une-verite-qui-derange-part-1-5_tech

Edité par Azael le 03/02/2012 - 17:10
Portrait de 0K3vin
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Re: Le repaire des Super Vilains

Désolé de couper votre débat, mais je voulais vous parlez de quelques choses qui m'intéresse, et que j'ai connu (et que je connais encore par ailleurs), il s'agit de la psychiatrie chez les adolescents.
Je vais pas rentrer dans les détailles, ni faire du 36-15 my life, mais ayant étais en établissement psychiatrique (vers mes 14 ans), et ayant un suivis thérapeutique actuellement, ce que je vous souhaite de ne jamais connaître, que pensez-vous des méthodes de ces pédopsychiatre, de faire internet les jeunes, de leurs prescrire des médicaments (peu importe lesquels), en sachant que le séjour en hôpital psychiatrique puisse causer un traumatisme chez l'adolescent.

Après, je sais pas si certains pourront être objectif sur la question, ne sachant pas comment se passe le séjour en psychiatrie, les lieux, les soins, le fonctionnement, et tout ce qui va avec, mais c'est ce que je pourrais vous expliquez, si vous le souhaité.

- De mon point de vue, l'hospitalisation peut être bénéfique, mais traumatisante. En revanche, je suis contre les médicaments, car c'est uniquement une question d'argent, en aucun cas, je pense qu'un médicament peut soigné une personne atteinte de trouble mentaux, c'est uniquement ce qu'ont nous laisse croire, pour nous prendre pour des imbéciles et s'engraisser sur notre dos. Dans mon cas personnel, j'ai étais contraint de prendre des médicaments -par injection très souvent durant mon hospitalisation, car j'étais dans le refus-, mais une fois de retour dans la société, je n'ai jamais pris mon traitement, car je ne voulais pas vivre en prenant des cachets, mais en faisant les efforts nécessaire pour être bien dans ma vie, et je m'en sort pas trop mal. C'est pour ça que je pense que au jour d'aujourd'hui, que ceux qui pense que les médicaments peuvent soigné, ce sont des ignorants (d'ailleurs, durant une discussion avec un infirmier, il ma avouer que les médicaments étais plus une question d'argent que de soin).

- J'ai également une vidéo a vous montrez, sur le témoignage d'un type qui a connu cet univers, et qui a son opinion sur la question (même si pas trop objectif à des moments, car ont ressent de la haine).

Merci à ceux qui pourront être objectif, et qu'ont puisse débattre intelligemment sur ce sujet qui nous concerne tous dans un sens, et qui je trouve très intéressant.

Portrait de Tetra
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A rejoint: 1 septembre 2011
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Re: Le repaire des Super Vilains

Personellement, j'ai pas mal songé à demander des médicaments pour m'aider dans mes problèmes. Je ne sais pas par quoi tu es passé K3vin, mais dans certaines situations, on se sent prisonnier de la fatalité, on se dit que ça n'ira jamais mieux, etc... Enfin vous connaissez la chanson. C'est dans ces moments là que j'ai envisagé des antidépresseurs, avec un effet chimique sur le moral. Ce qui me faisait plaisir avant, ce qui me détendait me laissait de marbre, alors pourquoi ne pas essayer autre chose?
Toutefois, et ça je sais que tout le monde n'en a pas conscience, je ne considère pas les antidépresseurs comme une solution. C'est un outil, pour appaiser, et pouvoir à nouveau réfléchir au clair. Quand ça va vraiment mal, tu ne peux pas faire de choix importants, encore moins réfléchir à ton cas, donc ça peut servir, je suppose (je répète que j'ai simplement songé à en demander, je n'en ai jamais pris, peut-être que ça n'aide en rien).

C'est clair que tu ne vas pas te sortir d'une dépression ou d'un quelconque autre trouble psychique en te gavant de comprimés. Au bout d'un moment, je pense même que ça peut aggraver les choses, j'ai entendu parler d'histoires de dépendance, ma mère a fait une tentative de suicide à cause de ces saletés (paradoxal, non? u_u)... Donc oui, ce n'est pas la solution. Par ailleurs, et ce n'est qu'un avis purement non fondé, je crois que ce genre de médicaments ne fonctionnent que si on y croit, ça se passe en grande partie dans la tête. On t'affiche ça comme une solution miracle, et comme tu en es convaincu, tu te sens un peu mieux. Dès que tu arrêtes d'y croire, ça ne peut faire qu'empirer ta situation. (je répète, jamais essayé, avis non fondé²)

De la même manière je vais avoir du mal à parler d'hopital psychiatrique, puisque là encore c'est un monde que je ne connais pas, mais qui m'a l'air assez sombre de toute façon. Pour moi, il faut faire du cas par cas, je ne crois pas qu'on s'en sorte en regroupant tous les malades au même endroit, les troubles de la sorte, c'est contagieux, dans un sens (j'en sais quelque chose u_u). Au passage, je pense aussi qu'on devrait prendre ces soucis bien plus au sérieux. Je parle de moi, mais je sais bien qu'a mon âge beaucoup d'ados passent par là, même si ça ne dure pas pour une grande majorité. Ca m'a un peu offusqué tout ça, la société, le milieu scolaire, surtout, n'est pas du tout adaptée à ce genre de problèmes. Les gens ne comprennent pas, les démarches sont très compliquées... alors que merde, ce sont de véritables maladies, bon sang. Mais non, c'est dans ta tête, donc c'est ta faute, donc tu te démerdes, c'est mon ressenti. Par contre, tu as mal à la gorge, tu as aucun mal à justifier tes abscences et ton état, les gens limitent ils te prennent en pitié. Je trouve ça dingue.
Je pense que ça vient d'un manque de sensibilisation, en grande partie. On a droit à des "pubs" pour tout un tas de maladies complètement inconnues, qui sont, je le reconnais, très très graves, bien sûr, mais je n'ai jamais vu un spot au sujet de ce type de problèmes. C'est un exemple, évidemment, mais je trouve que ça reflète bien la situation. Pour beaucoup ce n'est limite "pas grave". Beaucoup de gens semblent penser avoir vécu la même chose, et sont convaincus qu'il suffit "de le vouloir", alors que je pense que tous ceux ici ayant véritablement eu un problème psychiatrique seront d'accord pour dire que ça ne suffit pas. Non, mieux, c'est le minimum. Si tu ne veux pas t'en sortir, tu n'y arriveras JAMAIS.

Enfin voilà, c'est ce que je pense de tout ça, à mon avis la société est surtout très mal calibrée pour des problèmes de ce type. :/
Désolé si je me suis un peu écarté du sujet, et si j'ai beaucoup parlé de mon vécu à moi, mais bon, je me sens très concerné par tout cela, je suis en plein dedans après tout, même si je crois que je commence enfin à légèrement remonter la pente, il serait temps. ^^

Portrait de Nilictis
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A rejoint: 22 janvier 2012
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Re: Le repaire des Super Vilains

Juste revenir à ma question sur le photon et le Boson. Le photon n'a pas de masse à cause de sa vitesse, je crois, qui lui permet de se libérer de l'influence gravitationnelle en quelque sorte ? Je demande, parce que c'est ce qu'un de mes professeurs m'a affirmé, confusément. Je le dis, mais pas pour te dire "Mon prof l'a dit, alors ta gueule", pas du tout. Si je peux mettre en tord le prof, ça me ferait bien rigoler et je pourrais apprendre un truc. Ce qui me dérange avec ton affirmation, qui est certainement vrai vu comment tu es calé, c'est les détails qui expliquent ce que tu as dis. Parce que j'imagine mal un objet exister sans masse, puisque la masse représente la matière (mais pas le poids, je sais).

Pour les quatre force, ça je le savais déjà, je dois bien te l'avouer. Et il est évident que parler du Boson de Higgs sur la théorie espace-temps est difficile, vu que son existence est encore une théorie dont les répercussions sont hypothétiques pour le moment sur une autre théorie qui flirte parfois avec ce qui est difficile à prouver. Je dois t'avouer qu'avec le peu de connaissances confirmées sur le sujet (celles que je possède), je peux difficilement dire des trucs intelligents, mais je suis une saleté de fouine et si y'a des questions, y'a des réponses. Mais le Bosons de Higgs confirment le modèle standard, mais les actions sur les atomes selon la théorie quantique reste aussi mal expliqué. Je sais qu'on ne peut calculer vitesse et position d'un électron en même temps, j'ignore la mécanique exacte du phénomènes, mais si le Boson détermine la masse des objets, la quantité de matière, il doit être possible d'imaginer que notre connaissance sur ce dernier permettra de régler ce paradoxe quantique. Théorie fumeuse, hypothèse, mais je me demande jusque où tout ça va pousser. En faite, je suis aussi curieux de savoir ce qui arrivera si le Boson n'existe pas. Il va y avoir un véritablement chamboulement et je souhaiterais presque y assister.

Pour ce qui est du truc de la psychiatrie, on parle de psychologie ou presque, de moral, de truc non tangible. Mais je ne m'oppose pas à la prise de médicament et à l'internement. Par contre, je crois qu'aujourd'hui c'est le personnel et la structure qui pose problème. Personne ne va se plaindre qu'on enferme un fou en prison incapable de s'empêcher de poignarder tout ce qui bouge. Un malade psychiatrique (d'ailleurs, la psychopathie est considéré comme une maladie mentale je crois) c'est la même chose. Par contre, comme le dit le type, si les infirmières ou le personnel se mettent à te shooter pour prendre son lunch tranquille, pour d'autres raisons que lorsque tu présentes un danger pour autrui ou soi-même, c'est non. Oui, des gens vont se suicider si on les bloque pas, mais la limite est tellement vague que c'est difficile de définir. Un médecin, surtout en psychiatrie, doit soigner des maladies qui peuvent remonter à des souvenirs refoulés, mais il traite en maladie. Les psychologue devrait avoir la place de certains psychiatres quand ce n'est pas des pathologies neuro/biologique.

L'autre problème, c'est qu'avant on n'envoyait un malade en dernier recours, aujourd'hui, c'est la norme pour les cas étranges... Et encore une fois, les psychiatres veulent plus de contrôles, les psychologues aussi, mais ces derniers n'ont pas droit aux mêmes prestiges. C'est un débat social tout ça. Par contre, ce reportage me fait bien rigoler (désolé si ça te choque), parce que le gars n'a pas d'arguments logiques, juste une dose de rancoeur.

Portrait de 0K3vin
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A rejoint: 2 septembre 2011
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Re: Le repaire des Super Vilains

Non, je trouve que c'est bien de parler un peut de soi, car sinon ont parle toujours des autres. :p
Dans mon vécu, je faisais des crises d'angoisses, dépression, j'avais peur du regard des autres, du coup je me suis enfermé sur moi-même. A l'époque j'étais toujours au collège, et alors que je me faisais gronder car je n'allais pas en cours, sans qu'ils sache qu'au fond j'avais un vrai problème sociable. Mais comme tu la dit, je crois qu'ils ont un vrai soucis pour distinguer ceux qui sèche de ceux qui ont des problèmes dans la tête, alors que je trouve, c'est un problème de plus en plus récurant dans notre société actuel. De ce fait, ont ma conseillé de voir en entretien individuelle une psychiatre, qui au bout de un rendez-vous a fait une demande d'internement dans un établissement psychiatrique, sous prétexte que j'étais un danger pour moi-même et les autres (alors que je ne sortais plus de chez moi, c'est paradoxal :p).

Une fois dans cet univers, plutôt sombre, avec des grillages, des barreaux aux fenêtres (sans mentir), des couleurs d'hôpitaux, l'odeur, le corps médical, c'est tout des choses qui te sont gravé dans ta mémoire. Sans parler des entraves, des visites de ces parents (après 48h), et qui peuvent être médiatiser -c'est à dire, en présence d'un(e) infirmier(e)-, des coups de téléphone (10-15 mins maximum). Les visites pouvant se faire dans le petit parc (un parc a l'intérieur du pavillon, où bien dans le grand parc, en dehors du pavillon donc, avec les autres patients, adultes comme ados. Mais ce qui impressionne le plus, ce sont les interventions des SAGI, je sais plus l'appellation, mais ce sont des infirmiers (que des hommes), costaud, et qui intervienne en cas de force majeur, du genre une fugue, une bagarre, si un ados (je sais pas chez les adultes hein) se retrouve en chambre d'isolement, et donc considérer comme dangereux pour lui et pour les autres, et bien être présent lors du repas, pour aller au toilette (oui, oui, car il n'y a pas de toilette en chambre d'isolement), pour faire sa douche aussi etc. Après, j'y suis pas rester longtemps, environs 4 mois, mais c'est assez pour me dire de ne jamais y retourné, et de le souhaité a personne, car même si ça peut aider, sa brise un ados. Je me souviens avoir regarder durant des jours par la fenêtre les voitures qui passe, la pluie tombé, le soleil brillé, en me demandant si j'allais un jour où l'autre pouvoir sortir d'ici, car ont se sent prisonnier de ça, prisonnier de la liberté, c'est un enfermement constant, quand le soir tu es dans ta chambre, que tu regarde a la fenêtre et que tu vois des pavillons autour de toi, tu te demande ce que tu fou ici, et ça fait réfléchir. D'ailleurs, je crois que c'est bien l'endroit qui te fait apprendre à être patient, et te fait réfléchir, car si tu n'apprend pas a le faire, tu es mort.

Bon, c'étais la partie 36-15 my life, mais ça fait du bien d'en parler, et je trouve que c'est intéressant de partager un vécu de notre vie, sur un sujet intéressant comme la psychiatrie.

EDIT:

Citation:
Par contre, ce reportage me fait bien rigoler (désolé si ça te choque), parce que le gars n'a pas d'arguments logiques, juste une dose de rancoeur.

Oui, c'est ce que j'ai dis dans mon texte plus haut, il n'est pas tellement objectif, car ont a l'impression qu'il a plus de rancoeur, qu'il ne souhaite s'exprimer sur le vrai problème, et ça le discrédite totalement dans son approche, et dans le but de ce témoignage. Par contre, je trouve qu'il dit vrai au sujet des médicaments, qui n'est pas une solution de soin, mais une solution pour le porte monnaie des psychiatres et des entreprises pharmaceutiques.

Edité par 0K3vin le 03/02/2012 - 20:42
Portrait de Batô
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A rejoint: 28 décembre 2011
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Re: Le repaire des Super Vilains

Citation:
En revanche, je suis contre les médicaments, car c'est uniquement une question d'argent, en aucun cas, je pense qu'un médicament peut soigné une personne atteinte de trouble mentaux, c'est uniquement ce qu'ont nous laisse croire, pour nous prendre pour des imbéciles et s'engraisser sur notre dos.

Toi, tu délires et c'est assez violent. (J'irais même jusqu'à te conseiller de reprendre illico presto tes médocs parce que tu fais une rechute)

Tout le monde sait que ces médicaments ne soignent pas mais participent très très grandement à un rétablissement du patient dans des pathologies mentales comme des cas de boulimie ou d'anorexie sévère, mais aussi dans la bien connue schizophrénie ainsi que la bipolarité, pour ne citer qu'eux... Franchement, je trouve ton comportement pitoyable: tout ça parce que tu n'acceptes visiblement toujours pas tes problèmes et ton traitement forcé, tu nous sors des arguments misérables. Les CHS (Centres Hospitaliers Spécialisés) sont constitués de personnes qui se cassent le cul toutes la journée pour aider, soigner, réintroduire dans la vie active des personnes dans ton genre et c'est comme ça que tu les remercies? Ces personnes qui t'ont aidés chaque jour? En disant qu'ils sont corrompus par le fric? Alors qu'il y a quelques décennies en arrière tu aurais passé le restant de tes jours derrière des barreaux? Tu me dégoutes mon gars. Si tu as eu un traitement forcé, il serait grand temps que tu comprennes que c'était clairement pour ton bien: soit tu étais un danger pour toi-même, soit pour les autres.

Ensuite, quand tu dis qu'une fois sorti de l'hôpital, tu n'as pas pris tes médocs... Et bien sache que malgré tous les efforts du monde, t'avais une chance sur deux de replonger mon gars! Si on t'as prescrit un traitement, ce n'est pas pour que tu le gardes toute ta vie, pas pour te rendre cinglé, c'est pour te faciliter les choses, faciliter ta vie au quotidien. Les doses auraient été diminuées au fil de tes rendez-vous chez le psychiatre, comme tous traitements de ce genre.

Citation:
d'ailleurs, durant une discussion avec un infirmier, il ma avouer que les médicaments étais plus une question d'argent que de soin

On a pas les mêmes contacts mon gars! Après discussion avec du personnel infirmier de CHS (une partie de ma famille en l’occurrence) et un de mes profs,je peux t'assurer que c'est pas du tout comme ça que ça marche. A part pour ceux qui sont dans le dénie et qui entendent ce qui leur plait.

Portrait de Joemenix
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A rejoint: 1 septembre 2011
Contributions: 14345
Re: Le repaire des Super Vilains

Batô étant étudiant en médecine, il me semble plutot bien caler là dessus.

Portrait de 0K3vin
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A rejoint: 2 septembre 2011
Contributions: 1664
Re: Le repaire des Super Vilains

Batô: Au lieu de t'emporter dans ta haine, lis correctement, et évite de sortir des jugements sans fondement et de prendre les gens pour des malades. ;)

Et puis, ce que tu fait, ce n'est pas débattre, c'est me cracher dessus, et essayer de me rabaisser, alors si tu ne sais pas faire autres choses, et bien je t'invite a partir. Car en l'occurrence, ce n'est pas mon comportement qui est pitoyable, mais le tien.

A bon entendeur.

Portrait de Batô
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A rejoint: 28 décembre 2011
Contributions: 1860
Re: Le repaire des Super Vilains

Je ne te prends pas pour un malade, tu es malade: (mais en voie de guérison, c'est certain) l'internement psychiatrique ne se fait pas pour un petit bobo, je pense que tu l'as compris tout seul cela. (sauf si tu es encore dans le dénie, évidemment)

Et je suis en colère, même pire que ça à vrai dire, je suis fou de rage pour être exact: quand on critique ce que j'espère être mon future travail plus tard de la façon la plus vil qu'il soit, je ne peux que l'être.

Edité par Batô le 03/02/2012 - 20:43
Portrait de Nilictis
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A rejoint: 22 janvier 2012
Contributions: 526
Re: Le repaire des Super Vilains

Non, justement. Il peut parler des effets du médicaments, d'ailleurs moi aussi, j'y crois. Mais ça ne fait pas de lui un professionnel de l'environnement social ou d'un autre bon mot pour décrire le problème plutôt social que pharmaceutique là. Attention, c'est pas une attaque, je te vise aucunement, mais je crois pas qu'un médecin ou un infirmier soit des individus spéciaux. Attention, ils ont des connaissances solides dans leur domaine, mais ils ne sont pas à l'abri d'être tenter de faire vite, de mal faire, de se foutre des gens, de penser à leur porte-feuille (même si je crois pas que tous les médecins prescrivent juste pour se remplir les poches, ils peuvent favoriser un médicament plus qu'un autre semblable, mais de là à doper des gens pour leur prote-feuille, ça doit être une minorité), etc. Je ne partage ni l'avis d'un un, ni de l'autre, je crois qu'en santé c'est comme partout, y'a des gens honnêtes et d'autres moins, des gens doués, d'autres moins, etc. Je pense pas que le diplôme soit un certificat de génie (effort), mais bien d'avoir compléter une cursus scolaire (très imposant pour médecine).

Par contre, je crois qu'au niveau "populaire", y'a une méconnaissance total. Tu as la grippe 5 jours, grosse grippe, et tu vas à l'urgence... Heu... d'accord. Tu montes une côte de 10m et t'es essoufflé, t'as mal à la poitrine le soir, mais vu que c'est pas trop dérangeant, tu vas pas à l'urgence. J'imagine qu'en santé psychiatrique, les gens peuvent paniquer pour des mauvaises raisons et ne pas s'inquiéter quand c'est le temps. Ce qui risque d'amener des débordements.

PS : Étrangement, on dirait que c'est devenu émotif/agressif alors qu'on parle pour parler. xD

Bâto : Je crois qu'il faut justement critiquer le travail qu'on va faire dans le futur. C'est comme ça qu'on évite les erreurs, qu'on se remet en doute et vérifie. D'accord, c'est chiant quand ça nous touche (d'ailleurs, entendre parler de policier m'oblige toujours à changer poste parce que ça me met en rogne), mais on fait que lancer des idées non. Des idées erronées (surtout dans mon cas), peut-être, mais des idées seulement.

Edité par Nilictis le 03/02/2012 - 20:48