Excusez-moi de répondre ici à l’invite de GreenSnake de participer au débat que je suis avec grand intérêt, mais je rédige de A à Z en même temps un Business Plan pour mon voisin qui a perdu son job. Il veut monter une entreprise dans le contexte compliqué que l’on sait – autant dire que je n’y crois pas une seconde mais il faut néanmoins que j’arrive à être convaincant sur le papier. Pour tous les chapitres où il faut broder, blablater – concept, produit, historique, étude de marché, trouver des idées pour se démarquer des concurrents dans le secteur qu’il a choisi –, ça va à peu près. En revanche, décortiquer le truc, l’expliciter avec des chiffres, définir une projection financière sur 5 à 10 ans afin de convaincre un partenaire/une banque de lui prêter des billes, je suis largué, je ne sais pas comment faire. J’ai trop de questions sans réponses. Quel est le montant de l’investissement initial requis ? Quels sont les besoins financiers pour lancer l’activité ? Cette projection, je m'en doute un peu, doit donner une idée des ressources à mobiliser, et, à la lumière des données collectées sur le marché et ses opportunités, prévoir les ventes et les rentrées d’argent possibles. Mais comment prévoir tout ça ?
Mon problème, je sèche sur 5 points :
1) Faire un compte de résultat prévisionnel sur 3 ans – comment je m’y prends ???
2) Faire un tableau de financement emploi-ressources – comment je calcule ça ?
3) Faire une évaluation du fonds de roulement – ???
4) Faire un bilan prévisionnel sur 3 à 5 ans – ???
5) Faire un plan de trésorerie mensuelle pour la première année d’activité – ???
Vu que l’entreprise n’existe pas encore, comment je calcule tous ces trucs prévisionnels ? Quel pifomètre pas trop foireux dois-je appliquer ? Si quelqu’un parmi vous a déjà monté un Business Plan ou sait les outils pour calculer ces chiffres que j’imagine primordiaux pour le banquier (il va directement aller à ce chapitre, je le sais, la partie « blabla » il s’en bat les couilles, seuls comptent pour lui les chiffres de cette prévision et combien mon voisin a en apport). Bref, si quelqu’un sait, aurait-il l’amabilité ces jours, ces semaines-ci, de me filer deux-trois tuyaux en MP ? Merci par avance. Et pardon d’avoir interféré dans le débat, bien je ne sois pas complètement HS : on ne voit plus les choses que par les chiffres (Covid, JV, cinéma, musique, saucisses...), langage auquel je n’entends rien. Encore mes excuses.
Le truc avec "Le Magicien d'Oz" c'est qu'il avait été fait pour casser la barraque.
La Warner avait misé gros, déjà il est en technicolor (le début est en sepia) ce qui était plutôt rare dans les années 30 et c'est un des premiers gros films a effets spéciaux.
En gros c'était sensé être un blockbuster, une attraction qui allait attirer toute l'Amérique dans les salles.
Deux explications selon moi:
Déjà l'aspect très enfantin a première vue du film a sans doute joué contre lui, a l'époque les films "pour enfants" sont rare le studio Walt Disney n'a sortie qu'un seul long métrage, "Blanche Neige", la plupart des gens ne vont pas voir ce genre de film.
Et deuxièmement, la même année sont sortis des films comme "Autant en Emporte le Vent" , "La Chevauchée Fantastique""Jesse James", "Monsieur Smith Au Sénat".
Raison de plus : malgré son statut "film pour enfant", l'absence de TV, le nombre moindre de spectateurs à l'époque, et la concurrence énorme qu'il avait, Le Magicien d'Oz avait trouvé son public à l'époque, donc c'est un "succès" selon moi. Il a même réussi à avoir deux Oscars, malgré la présence de Autant en emporte le vent.
De plus, il ne faut pas se fier uniquement à son année de sortie : ce film est un "marathonien", car au fil des années et décennies, il a rapporté éééénormément d'argent, très supérieur au budget qu'il a demandé (mondialement, le film a rapporté 26 millions de dollars, pour un budget de près de 3 millions). Donc la première année, oui, il y avait un déficit d'un million de dollars, mais au fil des années, ce déficit s'est peu à peu comblé, jusqu'à se transformer en bénéfice de plus en plus important. Et aujourd'hui, il est considéré comme l'un des films les plus cultes, l'un des préférés des Américains.
Sinon, hier, profitant peut-être des derniers jours d'ouverture du cinéma avant le futur confinement inutile et destructeur auxquels les Français se préparent via les médias complices de l'Etat assassin, je suis allé voir le dernier Dupontel Adieu les cons :
Un titre et un film qui reflètent parfaitement mon état d'esprit actuel : c'est très "anarchiste", assez méchant avec la société actuelle. Mais également un film drôle, poétique, profondément humain. Le film fait immanquablement penser à Brazil (le film est d'ailleurs dédié à Terry Jones qui a récemment disparu, et Terry Gilliam fait une apparition de trente secondes assez désopilante lors d'un spot publicitaire déjanté qui caricature les publicités américaines de vente d'armes de chasse) pour ce côté "théâtre de l'absurde" et "bureaucratie orwellienne". On pense aussi à Bonnie & Clyde, avec un zeste de Capra à un moment donné. On suit les pérégrinations de cette mère mourante à la recherche de son enfant abandonné sous X quand elle avait quinze ans, de cet informaticien suicidaire qu'on essaie peu à peu de remplacer, et de cet archiviste aveugle qu'on a collé dans une salle d'archive sans lumière ("parce que ça économise l'électricité et qu'il n'a pas besoin de voir", en gros ^^). On croise d'autres personnages secondaires, comme ce vieux couple très touchant : un ancien médecin atteint de la maladie d'Alzheimer et son épouse (magnifique passage "magique" où le médecin en question retrouve le chemin qui mène vers son épouse et parvient à retrouver la mémoire sur un truc précis que recherchait l'héroïne).
Mais le film s'apparente vraiment à une fable, presque comme un conte de fée (mais dont l'issue est pré-déterminée, étant donné que les jours de l'héroïne sont comptés et que l'informaticien est lui-même suicidaire), avec son lot de moments drôles, absurdes, poétiques. L'héroïne Suze discute plusieurs fois avec l'adolescente qu'elle était autrefois, cherchant à se réconcilier avec elle-même. L'informaticien suicidaire, en manque d'amour, ayant toujours eu des problèmes relationnels, va peu à peu s'humaniser, tandis que l'aveugle fait preuve d'un grand courage et altruisme. Le côté "Orwell" ouBrazil est bien présent (l'informaticien fait justement penser au personnage principal du film de Terry Gilliam, que ce soit son côté "rouage" de la bureaucratie, ou encore sa quête d'amour) : le film vire peu à peu vers, limite, de la SF anticipative, avec l'informaticien qui s'apparente presque comme un super héros qui a accès à tous les fichiers et tous les mécanismes de sécurité dans les immeubles.
Le rythme et le déroulement sont parfaits, pour un film qui dure 1h20 : le dénouement est absolument remarquable, avec une séquence assez dingue avec un jeu d'ascenseurs téléguidés par l'informaticien et l'héroïne pour déclencher une rencontre et déclaration amoureuse, l'héroïne jouant le "Deus Ex Machina" qui essaie de prendre soin de son fils (qui ne la voit pas) pour la première et dernière fois. Je ne connaissais pas du tout Virginie Efira, mais je l'ai trouvée fantastique : elle a un visage, une expression, qui apportent beaucoup en sensibilité au film. Dupontel est toujours fidèle à lui-même, dans son rôle d'informaticien désabusé qui se transforme peu à peu en super héros omniscient et omnipotent avec son ordinateur. Donc ce n'est pas du tout un film "réaliste", c'est vraiment une sorte de conte anticipatif et absurde, ça sort complètement du lot par rapport aux films français habituels. Et le réalisateur s'est vraiment cassé le cul avec la réalisation, ses petits effets visuels, ses plans de caméra : c'est très travaillé. Pour l'instant, je n'ai vu que trois films de Dupontel (celui-ci, Neuf Mois Ferme et Au revoir là-haut), mais ce Adieu les cons est aujourd'hui le film le plus beau et abouti de Dupontel que j'ai vu, faisant honneur au cinéma français dans ce qu'il a de plus fin, artistique et remarquable à offrir, comme un pur moment d'évasion.
Vu Les 7 de Chicago (Chicago's Seven) ! Dispo sur Netflix, par Aaron Sorkin, avec Sacha Baron Cohen, et Eddie Redmayne entre autres.
Une tuerie (sans mauvais jeu de mot), je recommande à fond. Même sans être fana de biopic, ou particulièrement intéressé par les USA des années 60, y'a largement de quoi trouver son compte. Ceux qui n'aiment pas les films trop judiciaires pourront peut être en avoir marre au bout de 30min par contre... et encore, pas sûr, vu le niveau et la justesse de l'acting.
Seuls petits points noirs en ce qui me concerne:
Spoiler ▼▲
-Redmayne pas toujours ultra juste
-les scènes où Sacha Baron Cohen raconte l'histoire sur scène devant un auditoire hippie (quand il porte une chemise aux couleurs des USA), je dois avouer ne pas avoir saisi quand est-ce que ça se passait dans la timeline.
L’avant-goût du thème de Astrée, posté par TheMojo133 sur le topîc Demon’s Souls, musique pour chœur et orchestre, m’a un peu rappelé, en début de vidéo, le score que Ennio Morricone a écrit pour le film de De Palma, Casualties of War (Outrages). Et dans mes recherches, je suis tombé sur une séance genre « masterclass », pompeusement intitulée La Leçon de Brian de Palma, dans laquelle le cinéaste évoque de fort touchante manière, à 2:40, l’impact qu’a sur lui cette musique, ce film, ainsi que les relations tendues qui régnaient entre Sean Penn et Michael J. Fox sur le tournage. En dessous de la vidéo, j’ai mis sous balise le thème principal qui prend son envol vers 1:00. Une partition d’un Morricone frappé par les Muses et les Sirènes. De la clarté noire. Du cristal tranchant. Un vaisseau fantôme voguant au ralenti avec un squelette à la barre. Évidemment c’est grand, très grand, Morricone ne taille jamais petit. Comme générique de fin de Demon’s Souls Remake, cela conviendrait bien.
Babysitting Night de John Schultz
Il s'agit du remake version Disney Channel du Nuit de Folie de Chris Columbus dont j'ai parlé ici il y a peu. Du coup c'est forcément plus aseptisé avec des héros plus jeunes et une prise de risque proche du 0. Bon ça fonctionne seulement comme divertissement familial (mes gamins étaient à fond par moments...)car c'est bien rythmé et c'est techniquement aussi propre qu'impersonnel. Mis à part cela il n'y a pas un grand intérêt à voir ce film sauf une grosse curiosité de mec qui a envie de tout voir^^ Curiosité mal placée peut-être^^
Une des meilleures scènes de l'original devenue ici assez ridicule ▼▲
A la limite non c'est pas toi qui est mal placé c'est les réalisateur qui sont mal place de faire danser des gamine de " je suppose " 13/14/15 ans ? En mod Biatch de clip Hihop mais en mode plus soft , je le re-dit, c'est les réalisateurs qui sont malsain de demander de demander à la petite brune, de danser comme elle danse !
C'est limite pour des petits quand même ? Très limite même, je trouve ?
C'est très suggestif quoi ? Pour des gamines de 13/14/15 ans franchement ?
La façon de danser, mettre en avant son cul comme elle le fait ? la gestuel et bien un peux sexualisé quand même ?
Et quand tu sais Disney le nombre de sous entendu, dans leur films pour enfants ! Quand tu entend certains trucs, t'est obliger d'être mal à l'aise ! Si tous ça est vrais, mais bon !
je te rassure perso non je pense pas tu sois un esprit mal placé perso !
Mon problème, je sèche sur 5 points :
1) Faire un compte de résultat prévisionnel sur 3 ans – comment je m’y prends ???
2) Faire un tableau de financement emploi-ressources – comment je calcule ça ?
3) Faire une évaluation du fonds de roulement – ???
4) Faire un bilan prévisionnel sur 3 à 5 ans – ???
5) Faire un plan de trésorerie mensuelle pour la première année d’activité – ???
:-(
Quel homme ce Depakote !
Il a retrouvé le brouillon de Spielberg quant il a voulu confier la saga Transformers à Micheal Bay...
Sell kids for food
Le truc avec "Le Magicien d'Oz" c'est qu'il avait été fait pour casser la barraque.
La Warner avait misé gros, déjà il est en technicolor (le début est en sepia) ce qui était plutôt rare dans les années 30 et c'est un des premiers gros films a effets spéciaux.
En gros c'était sensé être un blockbuster, une attraction qui allait attirer toute l'Amérique dans les salles.
Deux explications selon moi:
Déjà l'aspect très enfantin a première vue du film a sans doute joué contre lui, a l'époque les films "pour enfants" sont rare le studio Walt Disney n'a sortie qu'un seul long métrage, "Blanche Neige", la plupart des gens ne vont pas voir ce genre de film.
Et deuxièmement, la même année sont sortis des films comme "Autant en Emporte le Vent" , "La Chevauchée Fantastique" "Jesse James", "Monsieur Smith Au Sénat".
Le jeu vidéo est-t'il un art ?
Non, c'est l'art qui est un jeu.
Playlist spotify funk pour soirée chill:
https://open.spotify.com/playlist/43X0D7Gyzj7zVqI1S5v9ug?si=3dbd3ec35e1047af
Raison de plus : malgré son statut "film pour enfant", l'absence de TV, le nombre moindre de spectateurs à l'époque, et la concurrence énorme qu'il avait, Le Magicien d'Oz avait trouvé son public à l'époque, donc c'est un "succès" selon moi. Il a même réussi à avoir deux Oscars, malgré la présence de Autant en emporte le vent.
De plus, il ne faut pas se fier uniquement à son année de sortie : ce film est un "marathonien", car au fil des années et décennies, il a rapporté éééénormément d'argent, très supérieur au budget qu'il a demandé (mondialement, le film a rapporté 26 millions de dollars, pour un budget de près de 3 millions). Donc la première année, oui, il y avait un déficit d'un million de dollars, mais au fil des années, ce déficit s'est peu à peu comblé, jusqu'à se transformer en bénéfice de plus en plus important. Et aujourd'hui, il est considéré comme l'un des films les plus cultes, l'un des préférés des Américains.
Sinon, hier, profitant peut-être des derniers jours d'ouverture du cinéma avant le futur confinement inutile et destructeur auxquels les Français se préparent via les médias complices de l'Etat assassin, je suis allé voir le dernier Dupontel Adieu les cons :
Un titre et un film qui reflètent parfaitement mon état d'esprit actuel : c'est très "anarchiste", assez méchant avec la société actuelle. Mais également un film drôle, poétique, profondément humain. Le film fait immanquablement penser à Brazil (le film est d'ailleurs dédié à Terry Jones qui a récemment disparu, et Terry Gilliam fait une apparition de trente secondes assez désopilante lors d'un spot publicitaire déjanté qui caricature les publicités américaines de vente d'armes de chasse) pour ce côté "théâtre de l'absurde" et "bureaucratie orwellienne". On pense aussi à Bonnie & Clyde, avec un zeste de Capra à un moment donné. On suit les pérégrinations de cette mère mourante à la recherche de son enfant abandonné sous X quand elle avait quinze ans, de cet informaticien suicidaire qu'on essaie peu à peu de remplacer, et de cet archiviste aveugle qu'on a collé dans une salle d'archive sans lumière ("parce que ça économise l'électricité et qu'il n'a pas besoin de voir", en gros ^^). On croise d'autres personnages secondaires, comme ce vieux couple très touchant : un ancien médecin atteint de la maladie d'Alzheimer et son épouse (magnifique passage "magique" où le médecin en question retrouve le chemin qui mène vers son épouse et parvient à retrouver la mémoire sur un truc précis que recherchait l'héroïne).
Mais le film s'apparente vraiment à une fable, presque comme un conte de fée (mais dont l'issue est pré-déterminée, étant donné que les jours de l'héroïne sont comptés et que l'informaticien est lui-même suicidaire), avec son lot de moments drôles, absurdes, poétiques. L'héroïne Suze discute plusieurs fois avec l'adolescente qu'elle était autrefois, cherchant à se réconcilier avec elle-même. L'informaticien suicidaire, en manque d'amour, ayant toujours eu des problèmes relationnels, va peu à peu s'humaniser, tandis que l'aveugle fait preuve d'un grand courage et altruisme. Le côté "Orwell" ouBrazil est bien présent (l'informaticien fait justement penser au personnage principal du film de Terry Gilliam, que ce soit son côté "rouage" de la bureaucratie, ou encore sa quête d'amour) : le film vire peu à peu vers, limite, de la SF anticipative, avec l'informaticien qui s'apparente presque comme un super héros qui a accès à tous les fichiers et tous les mécanismes de sécurité dans les immeubles.
Le rythme et le déroulement sont parfaits, pour un film qui dure 1h20 : le dénouement est absolument remarquable, avec une séquence assez dingue avec un jeu d'ascenseurs téléguidés par l'informaticien et l'héroïne pour déclencher une rencontre et déclaration amoureuse, l'héroïne jouant le "Deus Ex Machina" qui essaie de prendre soin de son fils (qui ne la voit pas) pour la première et dernière fois. Je ne connaissais pas du tout Virginie Efira, mais je l'ai trouvée fantastique : elle a un visage, une expression, qui apportent beaucoup en sensibilité au film. Dupontel est toujours fidèle à lui-même, dans son rôle d'informaticien désabusé qui se transforme peu à peu en super héros omniscient et omnipotent avec son ordinateur. Donc ce n'est pas du tout un film "réaliste", c'est vraiment une sorte de conte anticipatif et absurde, ça sort complètement du lot par rapport aux films français habituels. Et le réalisateur s'est vraiment cassé le cul avec la réalisation, ses petits effets visuels, ses plans de caméra : c'est très travaillé. Pour l'instant, je n'ai vu que trois films de Dupontel (celui-ci, Neuf Mois Ferme et Au revoir là-haut), mais ce Adieu les cons est aujourd'hui le film le plus beau et abouti de Dupontel que j'ai vu, faisant honneur au cinéma français dans ce qu'il a de plus fin, artistique et remarquable à offrir, comme un pur moment d'évasion.
Vu Les 7 de Chicago (Chicago's Seven) ! Dispo sur Netflix, par Aaron Sorkin, avec Sacha Baron Cohen, et Eddie Redmayne entre autres.
Une tuerie (sans mauvais jeu de mot), je recommande à fond. Même sans être fana de biopic, ou particulièrement intéressé par les USA des années 60, y'a largement de quoi trouver son compte. Ceux qui n'aiment pas les films trop judiciaires pourront peut être en avoir marre au bout de 30min par contre... et encore, pas sûr, vu le niveau et la justesse de l'acting.
Seuls petits points noirs en ce qui me concerne:
Je pose ça là, j'sais pas où le mettre.
U-Turn j'ai revue est , c’était quelque chose !
Me rappelez plus que se film, était aussi génial et au t'en percher. "mdr"
En même temps, Oliver Stone, c'est souvent bien bien électrique :P
S’il y a quelqu’un qui doit tout à Bach, c’est bien Dieu.
Babysitting Night de John Schultz
Il s'agit du remake version Disney Channel du Nuit de Folie de Chris Columbus dont j'ai parlé ici il y a peu. Du coup c'est forcément plus aseptisé avec des héros plus jeunes et une prise de risque proche du 0. Bon ça fonctionne seulement comme divertissement familial (mes gamins étaient à fond par moments...)car c'est bien rythmé et c'est techniquement aussi propre qu'impersonnel. Mis à part cela il n'y a pas un grand intérêt à voir ce film sauf une grosse curiosité de mec qui a envie de tout voir^^ Curiosité mal placée peut-être^^
Sell kids for food
Green Snake mal placé pourquoi ?
A la limite non c'est pas toi qui est mal placé c'est les réalisateur qui sont mal place de faire danser des gamine de " je suppose " 13/14/15 ans ? En mod Biatch de clip Hihop mais en mode plus soft , je le re-dit, c'est les réalisateurs qui sont malsain de demander de demander à la petite brune, de danser comme elle danse !
C'est limite pour des petits quand même ? Très limite même, je trouve ?
C'est très suggestif quoi ? Pour des gamines de 13/14/15 ans franchement ?
La façon de danser, mettre en avant son cul comme elle le fait ? la gestuel et bien un peux sexualisé quand même ?
Et quand tu sais Disney le nombre de sous entendu, dans leur films pour enfants ! Quand tu entend certains trucs, t'est obliger d'être mal à l'aise ! Si tous ça est vrais, mais bon !
je te rassure perso non je pense pas tu sois un esprit mal placé perso !