Magic (1978), un jeune Anthony Hopkins déjà très talentueux accompagné d'une marionnette bien flippante et ce grâce à une mise en scène bien maîtrisée. Ce "petit con" a quand même réussi à me faire sursauter, bon film !
Okja (2017), JE TE HAIS Bong Joon-ho ! JE TE HAIS TOI ET TON CINEMA DE MERD* A LA CON, TON SNOWPIERCIER TU PEUX TE LE FOUTRE DANS LE FION ET TON OKJA BIEN AU FOND DE TA GORGE !
Certains l'aiment chaud (1959), un peu concon mais le film m'a fait rire plusieurs fois, pari gagné, bon film !
Spider-Man : Homecoming (2017), LE PIRE SPIDER-MAN EVER ! On laisse tomber l’héroïsme et le spectaculaire et on mise tout sur le teenage-movie et un Iron Man 2.0 dû au costume sur-développé de Spider-Man, va chier Marvel !
Ce qui nous lie (2017), très belle photographie, ils arrivent à rendre le travail de la vigne assez intéressant, les acteurs jouent bien et la bande son est sympathique, bon film !
Batman & Mister Freeze : Subzero (1998), un Batman qui sert à rien, des méchants trop cons et des ours polaires qui rugissent comme des lions. Heureusement le film est joli.
Les Hommes du feu (2017), une succession d'interventions plus ou moins sympathiques, contrairement à ce qui nous lie, il n'arrive pas à rendre le métier intéressant. Au moins les acteurs sont sympathiques, sauf le gros rouquin bien entendu.
Resident Evil: Vendetta (2017), aussi sympa que les deux autres, bien marrant, bien joli et des scènes d'action très originales (à la sauce RE) et fluides comme je les aime.
Batman : The Dark Knight Returns, partie 1 (2012), un Batman un peu incohérent avec lui-même mais assez badass pour passer un bon moment, de bonnes scènes d'action mais une intrigue vraiment pas intéressante.
Une vie volée (1999), de jolies actrices mais avec une intrigue est aussi plate que la poitrine de notre héroïne.
17 filles (2011), ou 17 raisons de s'emmerder, ou 17 claques à distribuer (film inspiré de faits réels).
Le Carnaval des âmes (1962), Mais quel ennui ! Le film a beaucoup trop mal vieilli et les tenants et aboutissants sont connus dès les première minutes du film. Le jeu d'acteur est ignoble aussi.
Il y en aurait d'autres mais je préfère m'arrêter là. Ce soir je vais voir La Planète des Singes : Suprématie (Avant-première).
King Kong de Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper.
C'était la première fois que je vois ce chef-d'oeuvre de 1933 qui a quand même vieilli même s'il reste très impressionnant. C'est un grand film fantastique qui devient bien rythmé une fois que Kong fait son apparition après une bonne montée Très distrayant. Après il a quand même 85 ans le film donc faut accepter son âge.Je pense pas que j'aurai la volonté de le revoir de sitôt. En tout je me rends compte à quel point le film de Peter Jackson est fidèle à l'original tout en y apportant bien plus.
[quoteIl y en aurait d'autres mais je préfère m'arrêter là. Ce soir je vais voir La Planète des Singes : Suprématie (Avant-première).]
Enfoiré va !
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Batman : The Dark Knight Returns, partie 1 (2012), un Batman un peu incohérent avec lui-même mais assez badass pour passer un bon moment, de bonnes scènes d'action mais une intrigue vraiment pas intéressante.
Sinon j'ai revu à la télé Independence Day, pour la première fois depuis quinze ou vingt ans.
Que dire ? Tout est raté quasiment, à part quelques idées visuelles sympas comme les énormes vaisseaux-mères au-dessus de la ville ou bien le défilé de véhicules dans le désert du Nevada.
Mais sinon, ce film n'est qu'un immense remplissage de case d'un cahier des charges sans queue ni tête :
- ils ont osé nous refaire le coup de la Zone 51, avec le président qui "ne sait rien du tout" (mais bien sûr).
- "Mais non, il n'y a pas de base secrète", "Si, si, j'en ai vu une en avion", puis "Base secrète de la zone 51" (donc super visible en avion, le président qui n'est pas au courant, mais bien sûr).
- ils essaient de nous faire pleurer sur des scènes de désolation montrant des villes en ruine avec une musique tragique, mais ça tombe complètement à plat.
- les dialogues sont grotesques.
- la découverte du point faible des aliens est hyper mal amenée, via des analogies foireuses au cours d'un dialogue avec un professeur bourré qui parle à un autre personnage lui disant qu'il va attraper froid : "Attraper froid, mais oui, c'est bien sûr ! ". Alors moi, je pensais qu'ils voulaient tenter de congeler les aliens, mais non : pour lui, "attraper froid = rhume = virus = virus informatique" !!! Et il continue en disant aux militaires "Je lui ai fait attraper froid" quand il fait sa démonstration du virus informatique, ce qui n'a aucun sens pour ces personnages qui n'ont pas suivi le dialogue du début.
- "Tu peux être fier de ton père, il est mort en héros".
- le discours classique du président complètement cliché pour galvaniser les groupes et unifier l'humanité entière face à une menace suprême.
- les deux héros qui reviennent avec l'explosion en arrière-plan et leurs gonzesses qui leur sautent au cou.
- la femme black qui a un chignon impeccable et un super maquillage, même après une traversée du désert en fuyant une catastrophe.
- le chien qui ne fuit pas alors que ça explose de partout, jusqu'à ce que sa maîtresse l'appelle : même ça, ça a été foiré.
- on essaie de nous faire pleurer sur la mort de la femme du président, avec le père qui est avec sa petite fille qui lui dit "Maman dort maintenant ? " : ça tombe complètement à plat.
Et j'en oublie, j'en oublie ! C'est effarant, ce film ! C'est pire que dans mes souvenirs.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Magic (1978), un jeune Anthony Hopkins déjà très talentueux accompagné d'une marionnette bien flippante et ce grâce à une mise en scène bien maîtrisée. Ce "petit con" a quand même réussi à me faire sursauter, bon film !
Okja (2017), JE TE HAIS Bong Joon-ho ! JE TE HAIS TOI ET TON CINEMA DE MERD* A LA CON, TON SNOWPIERCIER TU PEUX TE LE FOUTRE DANS LE FION ET TON OKJA BIEN AU FOND DE TA GORGE !
Certains l'aiment chaud (1959), un peu concon mais le film m'a fait rire plusieurs fois, pari gagné, bon film !
Spider-Man : Homecoming (2017), LE PIRE SPIDER-MAN EVER ! On laisse tomber l’héroïsme et le spectaculaire et on mise tout sur le teenage-movie et un Iron Man 2.0 dû au costume sur-développé de Spider-Man, va chier Marvel !
Ce qui nous lie (2017), très belle photographie, ils arrivent à rendre le travail de la vigne assez intéressant, les acteurs jouent bien et la bande son est sympathique, bon film !
Batman & Mister Freeze : Subzero (1998), un Batman qui sert à rien, des méchants trop cons et des ours polaires qui rugissent comme des lions. Heureusement le film est joli.
Les Hommes du feu (2017), une succession d'interventions plus ou moins sympathiques, contrairement à ce qui nous lie, il n'arrive pas à rendre le métier intéressant. Au moins les acteurs sont sympathiques, sauf le gros rouquin bien entendu.
Resident Evil: Vendetta (2017), aussi sympa que les deux autres, bien marrant, bien joli et des scènes d'action très originales (à la sauce RE) et fluides comme je les aime.
Batman : The Dark Knight Returns, partie 1 (2012), un Batman un peu incohérent avec lui-même mais assez badass pour passer un bon moment, de bonnes scènes d'action mais une intrigue vraiment pas intéressante.
Une vie volée (1999), de jolies actrices mais avec une intrigue est aussi plate que la poitrine de notre héroïne.
17 filles (2011), ou 17 raisons de s'emmerder, ou 17 claques à distribuer (film inspiré de faits réels).
Le Carnaval des âmes (1962), Mais quel ennui ! Le film a beaucoup trop mal vieilli et les tenants et aboutissants sont connus dès les première minutes du film. Le jeu d'acteur est ignoble aussi.
Il y en aurait d'autres mais je préfère m'arrêter là. Ce soir je vais voir La Planète des Singes : Suprématie (Avant-première).
King Kong de Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper.
C'était la première fois que je vois ce chef-d'oeuvre de 1933 qui a quand même vieilli même s'il reste très impressionnant. C'est un grand film fantastique qui devient bien rythmé une fois que Kong fait son apparition après une bonne montée Très distrayant. Après il a quand même 85 ans le film donc faut accepter son âge.Je pense pas que j'aurai la volonté de le revoir de sitôt. En tout je me rends compte à quel point le film de Peter Jackson est fidèle à l'original tout en y apportant bien plus.
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Enfoiré va !
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Attends de voir la partie 2.
Vous parlez bien des deux dessins animés adaptés du comic de Frank Miller ?
Moi j'avais adoré, c'était une adaptation assez fidèle du comic, qui plus est avec un rythme meilleur.
Sinon j'ai revu à la télé Independence Day, pour la première fois depuis quinze ou vingt ans.
Que dire ? Tout est raté quasiment, à part quelques idées visuelles sympas comme les énormes vaisseaux-mères au-dessus de la ville ou bien le défilé de véhicules dans le désert du Nevada.
Mais sinon, ce film n'est qu'un immense remplissage de case d'un cahier des charges sans queue ni tête :
- ils ont osé nous refaire le coup de la Zone 51, avec le président qui "ne sait rien du tout" (mais bien sûr).
- "Mais non, il n'y a pas de base secrète", "Si, si, j'en ai vu une en avion", puis "Base secrète de la zone 51" (donc super visible en avion, le président qui n'est pas au courant, mais bien sûr).
- ils essaient de nous faire pleurer sur des scènes de désolation montrant des villes en ruine avec une musique tragique, mais ça tombe complètement à plat.
- les dialogues sont grotesques.
- la découverte du point faible des aliens est hyper mal amenée, via des analogies foireuses au cours d'un dialogue avec un professeur bourré qui parle à un autre personnage lui disant qu'il va attraper froid : "Attraper froid, mais oui, c'est bien sûr ! ". Alors moi, je pensais qu'ils voulaient tenter de congeler les aliens, mais non : pour lui, "attraper froid = rhume = virus = virus informatique" !!! Et il continue en disant aux militaires "Je lui ai fait attraper froid" quand il fait sa démonstration du virus informatique, ce qui n'a aucun sens pour ces personnages qui n'ont pas suivi le dialogue du début.
- "Tu peux être fier de ton père, il est mort en héros".
- le discours classique du président complètement cliché pour galvaniser les groupes et unifier l'humanité entière face à une menace suprême.
- les deux héros qui reviennent avec l'explosion en arrière-plan et leurs gonzesses qui leur sautent au cou.
- la femme black qui a un chignon impeccable et un super maquillage, même après une traversée du désert en fuyant une catastrophe.
- le chien qui ne fuit pas alors que ça explose de partout, jusqu'à ce que sa maîtresse l'appelle : même ça, ça a été foiré.
- on essaie de nous faire pleurer sur la mort de la femme du président, avec le père qui est avec sa petite fille qui lui dit "Maman dort maintenant ? " : ça tombe complètement à plat.
Et j'en oublie, j'en oublie ! C'est effarant, ce film ! C'est pire que dans mes souvenirs.
Hum, je l'ai vu il y a quelques temps maintenant mais je l'avais beaucoup aimé moi Independance Day.
Et pourtant je suis loin d'être fan de la filmographie d'Emmerich, je crois que c'est son seul film que j'avais vraiment aimé.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
T'aimes pas Universal soldier ce classique du cinéma ?
Je l'ai pas vu lui encore :p
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Qu'est-ce que tu as aimé alors, dans ce film ? Je suis vraiment très intrigué.