Cloud Atlas un film très étrange dont je ne sais pas trop quoi penser, en fait... Je ne sais pas exactement de quoi parle le film, au delà du message "il faut parfois aller à l'encontre des règles pour faire avancer les choses".
Plusieurs choses sont très déroutantes:
- le fait que les différentes histoire n'aient aucun lien entre elles ou quasiment.
- le fait que les mêmes acteurs jouent des personnages différents n'ayant rien à voir entre eux. Au début, j'étais persuadé qu'il s'agissait de descendants ou quelque chose dans l'idée, mais non. C'est vraiment très perturbant, car, inconsciemment, on cherche un lien^^
Je ne peux pas dire que j'ai détesté, ni que j'ai vraiment aimé. Je l'ai vu, en tout cas :P
The Man from Earth un tout petit film indépendant qui a connu un succès mondial (relatif, of course) grâce au piratage! Les producteurs ont même remercié un site de torrent pour avoir aidé le film a être partagé mondialement.
C'est un huis-clos qui nous raconte l'histoire d'un homme qui révèle à ses amis qu'il aurait en fait 14 000 ans...
C'est plutôt sympa, original et malin, même s'il y a quelques défauts assez gênants:
- le film souffre de son budget dérisoire: tout fait un peu cheap quand même, même si ça ne gêne pas plus que ça, des fois la musique sonne un peu Bontampi et techniquement, c'est quand même un petit peu juste.
- les acteurs ne sont pas toujours très bons. Parfois c'est cool, parfois, ça sonne faux. Pour un film basé sur ses dialogues, c'est un peu dommage.
- le propos du film devient un peu flou lorsqu'il aborde le sujet de la religion. Et puis c'est un peu too much, cette histoire :P
Bon, je critique un peu, mais c'est pas mal quand même. Si vous aimez la science fiction et l'originalité, c'est plutôt cool!
Le Labyrinthe je m'attendais à un teenage movie à la Hunger Games (que je n'ai pas du tout aimé) mais, au final, on a plus affaire à une série B à gros budget avec des ados pour personnages principaux. Au final c'est plutôt sympa et rythmé et j'ai passé un bon moment, malgré la jeune actrice qui joue aussi mal que Kirsten Stewart (et qui lui ressemble, d'ailleurs) et la fin qui fait vraiment "la suite au prochain épisode"^^
Kill the Gringo un DTV avec Mel Gibson... eh ben, c'était super sympa :D
Original, rythmé, bien écrit, réalisé caméra au poing façon documentaire, mais avec style, le film peut faire penser à Rodriguez ou Tarantino, mais sans jamais chercher à les copier.
Mel Gibson est badass comme il faut, le scénario est sympa et bourré d'humour et, au final, on passe un très bon moment devant ce polar de série B vraiment très sympathique!
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
ah tiens niconico, cloud atlas, mon dieu que je me suis fait chier...Pour l'histoire, effectivement on se demande sans arrêt pourquoi? pourquoi cette histoire de merde sérieux sans rapport? bon ok là je suis énervé ce n'est pas une bonne critique :d non franchement, vu que le film m'emmerdait je n'ai pas vraiment fait d'effort pour essayer de comprendre mais de ce que je me souviens, rien n'est clair, il n'y a vraiment aucun rapport et donc ok les histoires des différents personnages peuvent être sympas mais on voulait, on attendait une explication, pas rester sur une fin(dont je ne me rappelle plus en fait xd) mais avec un scénario sans explications...bref je n'ai vraiment pas aimer...c'est vide et sans intérêt...
ah tiens niconico, cloud atlas, mon dieu que je me suis fait chier...Pour l'histoire, effectivement on se demande sans arrêt pourquoi? pourquoi cette histoire de merde sérieux sans rapport? bon ok là je suis énervé ce n'est pas une bonne critique :d non franchement, vu que le film m'emmerdait je n'ai pas vraiment fait d'effort pour essayer de comprendre mais de ce que je me souviens, rien n'est clair, il n'y a vraiment aucun rapport et donc ok les histoires des différents personnages peuvent être sympas mais on voulait, on attendait une explication, pas rester sur une fin(dont je ne me rappelle plus en fait xd) mais avec un scénario sans explications...bref je n'ai vraiment pas aimer...c'est vide et sans intérêt...
Ce qui m'a la plus interloqué dans le film, c'est ça
Hugo Weaving en Coréen, c'est VRAIMENT très très très perturbant :D
C'est la première fois que je vois un sentiment de vallée dérangeante provoqué par un être humain^^
Hugo Weaving en Coréen, c'est VRAIMENT très très très perturbant :D
C'est la première fois que je vois un sentiment de vallée dérangeante provoqué par un être humain^^
ahahahahahahhahahahahaha pareil xd il ressemble à rien...pauvre hugo... :d bien loin de la classe de Mr.SMitfff^^
Je suis triste pour ceux qui n'ont pas apprécié un minimum l'expérience offert par les réalisateurs. J'ai été transporté du début à la fin par ce voyage qu'est la vie. C'est aussi l'amour même du cinéma..zut alors! Il me fait penser à Millenium Actress racontant la vie d'une actrice dont on traverse différents rôles/époques à la fois. Cloud Atlas est tout aussi fou & mélange avec fluidité les époques et les genres cinématographiques (le but n'est pas de faire une histoire à là "Inception"). Cloud Atlas est œuvre gourmande (attention aux calories X) ) & vous n'êtes pas content? Vous êtes difficile à divertir.
Je suis triste pour ceux qui n'ont pas apprécié un minimum l'expérience offert par les réalisateurs. J'ai été transporté du début à la fin par ce voyage qu'est la vie. C'est aussi l'amour même du cinéma..zut alors! Il me fait penser à Millenium Actress racontant la vie d'une actrice dont on traverse différents rôles/époques à la fois. Cloud Atlas est tout aussi fou & mélange avec fluidité les époques et les genres cinématographiques (le but n'est pas de faire une histoire à là "Inception"). Cloud Atlas est œuvre gourmande (attention aux calories X) ) & vous n'êtes pas content? Vous êtes difficile à divertir.
Bah, le problème en fait est que je ne sais pas vraiment où les réalisateurs veulent en venir.
Du coup, je ne me suis pas vraiment intéressé aux différentes histoires, je les ai plus subies qu'autre chose :/
Après, je ne me suis pas ennuyé et j'ai apprécié l'ambition et l'originalité du film, mais ça m'a semblé un peu maladroit et vain, au final.
Et Millenium Actress, c'est beaucoup mieux :P
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
Bah, le problème en fait est que je ne sais pas vraiment où les réalisateurs veulent en venir.
Du coup, je ne me suis pas vraiment intéressé aux différentes histoires, je les ai plus subies qu'autre chose :/
Après, je ne me suis pas ennuyé et j'ai apprécié l'ambition et l'originalité du film, mais ça m'a semblé un peu maladroit et vain, au final
exactement le même avis :)
sinon millenium actress je ne connais pas, je note :)
Pour information, Cloud Atlas, à la base, c'est un livre (la Cartographie des Nuages).
Cloud Atlas a été une de mes plus grandes claques au ciné.
Pour ceux qui n'ont pas compris où le film voulait en venir, je vous explique. Tout le film est une variation autour du thème de l'homme exploité par l'homme, l'homme mangé par l'homme, au fil des siècles, l'humanité renouvelant à chaque fois les mêmes erreurs, mais il y a toujours de l'espoir (cf la phrase finale de l'explorateur: "Qu'est-ce qu'un océan, sinon une multitude de gouttes" quand il répond à son beau-père qui lui disait que ses actions ne compteraient pas plus qu'une goutte dans un océan infini).
Ainsi, il ne faut pas chercher à tout prix à trouver des liens entre les époques: le film est beaucoup plus subtil que ça (et le roman dont il s'inspire également). Le but du film est de montrer toutes les récurrences entre les époques, au niveau de l'histoire qui se répète et de la mise en scène (exemple: le film fait à un moment donné des liens entre le Moriori sur le mat du bateau qui est en joue par le fusil du capitaine et la clone Somni se trouvant sur le pont en étant mise en joue par un vaisseau).
Un autre exemple de récurrence des thèmes, qui est en fait beaucoup plus flagrant dans le roman: le destin des Morioris au XIXème siècle mangés/exploités par les Maoris est très semblable au destin des hommes de la Grande Ïle exploités/dévorés par les barbares Konas dans le futur post-apocalyptique.
Le seul véritable lien scénaristique qu'on peut trouver entre les époques est le fait que chaque héros découvre le récit de son prédécesseur. Ainsi, le compositeur Frobisher découvre le journal de bord du navigateur. La journaliste Luisa Rey découvre les lettres envoyées par Frobisher à Sixmith (et d'ailleurs Sixmith est aperçu vieillissant à l'époque de la journaliste, tandis qu'il est le destinataire des lettres de Frobisher à l'époque de ce dernier). L'éditeur découvre un roman qui raconte l'histoire de Luisa Rey. La clone Somni découvre un film fait sur la vie de l'éditeur. Enfin, le héros du futur post-apocalyptique vit dans un monde dans lequel Somni est devenu une déesse et y découvre son "oraison" qui dévoile le message qu'elle avait laissée à l'humanité avant de mourir.
Enfin, il y a un autre lien entre les personnages: chaque héros a une tache de naissance en forme de comète (de mémoire, le héros du futur post-apocalyptique a une tache sur son crâne qu'on voit pendant l'épilogue où il est vieux, la clone a une tache sur son cou quand on lui enlève son bracelet, l'éditeur en a un sur les fesses qu'on voit dans un flashback où il est jeune, on voit obligatoirement celui de la journaliste dans l'ascenseur car Sixmith y fait allusion en lui disant que ça lui rappelle la tache de naissance de son amant Frobisher).
Au niveau des différences entre le roman et le film, il y a la structure narrative. Le roman adopte une structure en "poupées russes". Le roman commence par l'histoire du navigateur qui s'interrompt à la moitié. On poursuit avec le compositeur dont le récit s'interrompt aussi à la moitié, et ainsi de suite dans l'ordre chronologique jusqu'à arriver à l'histoire du futur post-apocalyptique qui est le seul récit à être raconté en une seule fois. Ensuite, le roman referme toutes les histoires précédentes dans l'ordre chronologique inverse: la seconde moitié de l'histoire de Somni, la seconde moitié du récit de l'éditeur, la seconde moitié du récit de la journaliste, puis la seconde moitié de l'histoire du compositeur, et enfin la seconde moitié du récit du navigateur qui clôt le roman.
Cette structure est aussi illustrée par l'oeuvre musicale de Frobisher, à savoir sa "Cartographie des Nuages". En effet, dans sa composition, il est question d'un orchestre à six instruments qui jouent les uns après les autres et surtout empiètent les uns sur les autres (d'abord un instrument, puis un autre, jusqu'à l'instrument central qui laisse ensuite sa place aux précédents instruments jusqu'au dernier qui était avant le premier instrument - je ne sais pas si c'est clair ce que je dis).
Evidemment, le film ne reprend pas cette structure narrative en poupées russes. A l'inverse, le film a fait un boulot monstrueux sur la mise en scène et surtout le montage pour faire tous les parallèles entre les situations et les récurrences entre les époques. J'ai trouvé le montage d'une clarté exemplaire, c'est incroyable comme c'est maîtrisé. C'est sûr, à la première vision on peut ne pas tout saisir, mais à la seconde vision on se rend vraiment compte de la maîtrise de l'ensemble, c'est passionnant à suivre.
Autre différence par rapport au roman: le film insiste un peu plus sur l'idée de la réincarnation. Ainsi, non seulement il y a des récurrences au niveau des situations, mais en plus il est sous-entend que les mêmes personnages se réincarnent au fil des époques, et d'ailleurs c'est pour ça que les acteurs jouent plein de rôles différents (aussi bien des hommes que des femmes grâce aux maquillages) pour souligner cette idée de réincarnation (avec des bons qui peuvent devenir mauvais ou inversement). L'idée était un petit peu abordée dans le roman surtout dans la partie du futur post-apocalyptique où le héros pensait que la femme mystérieuse était la réincarnation de Somni, mais l'idée est un peu plus accentuée dans le film.
Voilà, ouf, je m'arrête là car mes explications se sont transformées en pavé, mais j'espère avoir éclairci vos interrogations sur ce film passionnant (et le roman aussi passionnant) dont il y a plein de choses à dire. :)
Edit: Je vénère aussi Millenium Actress, mais je n'ai pas vu le rapport avec Cloud Atlas. Quoique, il est aussi question de récurrence de l'histoire de l'actrice à travers ses films qui racontent toujours la même chose (la fille à la poursuite de son homme) et de parallèles sur la mise en scène de situations à travers différents films, j'avoue que je n'avais pas pensé à ce rapprochement.
De mes souvenirs, oui, cloud atlas est un très bon film!!
Après, bon, mes souvenirs ne sont pas assez frais pour que je donne des arguments valables... (du coup je sers à rien)
Sinon je viens de voir la critique du fossoyeur de film sur interstellar et cest fou a quel point je suis en phase avec sa critique! ^^
Rien qu'au début "j'ai pas été déçu" je crois biens que c'est ce que j'ai dit ici même en réaction de Interstellar! ! ^^
Je suis exactement du même avis que lui dans tout ce qu'il dit, après il a une bien meilleure culture cinématographique que la mienne et il argumente bien mieux que moi.^^
En fait, c'est pour ça que je le préfère à durendal , au moins lui je suis toujours de son avis! :p
Bon en même temps j'aime bien les débats contradictoires, mais faut admettre que les critiques de durendal sont inférieurs. ..
Merci Rudolf tu as bien cerné le film! Je compte me prendre le livre qui à l'air alléchant lui aussi!
Je vois Cloud Atlas comme une œuvre philosophique explorant la culture/nature de l'homme: La culture divise-t-elle ou réunit-t-elle les hommes?; Existe-t-il une justice ou injustice de l'Etat? Un monde parfait construit par les hommes? etc Ce film peut servir d'inspiration pour une dissertation de philo. ^^
Oui le film se base sur l'idée de la réincarnation (le change de sexe d'un des frères Wachowski y est pour beaucoup): "Nos vies ne nous appartiennent pas. Des entrailles à la tombe nous sommes liés aux autres : passé & présent. Chaque crime, chaque acte de bonté construit notre futur."
Millenium Actress & Cloud Atlas se rapproche de l'expérience auprès d'un comédien/acteur au cinéma. Il y a l'art du déguisement (le pouvoir de réincarner dans divers personnages) & de conter une histoire par la diversité des genres: c'est un peu comme montrer les coulisses du cinéma + rendre hommage au cinéma. Il y a aussi l'amour qui est montré comme la beauté & la puissance de l'homme (espoir/défendre une idée). C'est juste un léger rapprochement que j'ai constaté en voyant ce film d'animation de Satoshi Kon. J'ai tendance à faire beaucoup de rapprochement où il y a pas XD. (Millenium Actress me fait aussi penser aussi à Mulholland Drive; je retire mon erreur par rapport au rapprochement que j'avais fait à l'inspiration Perfect Blue/Mulholland Drive durant le CINE CLUB XD)
Et hop, une petite fournée^^
Cloud Atlas un film très étrange dont je ne sais pas trop quoi penser, en fait... Je ne sais pas exactement de quoi parle le film, au delà du message "il faut parfois aller à l'encontre des règles pour faire avancer les choses".
Plusieurs choses sont très déroutantes:
- le fait que les différentes histoire n'aient aucun lien entre elles ou quasiment.
- le fait que les mêmes acteurs jouent des personnages différents n'ayant rien à voir entre eux. Au début, j'étais persuadé qu'il s'agissait de descendants ou quelque chose dans l'idée, mais non. C'est vraiment très perturbant, car, inconsciemment, on cherche un lien^^
Je ne peux pas dire que j'ai détesté, ni que j'ai vraiment aimé. Je l'ai vu, en tout cas :P
The Man from Earth un tout petit film indépendant qui a connu un succès mondial (relatif, of course) grâce au piratage! Les producteurs ont même remercié un site de torrent pour avoir aidé le film a être partagé mondialement.
C'est un huis-clos qui nous raconte l'histoire d'un homme qui révèle à ses amis qu'il aurait en fait 14 000 ans...
C'est plutôt sympa, original et malin, même s'il y a quelques défauts assez gênants:
- le film souffre de son budget dérisoire: tout fait un peu cheap quand même, même si ça ne gêne pas plus que ça, des fois la musique sonne un peu Bontampi et techniquement, c'est quand même un petit peu juste.
- les acteurs ne sont pas toujours très bons. Parfois c'est cool, parfois, ça sonne faux. Pour un film basé sur ses dialogues, c'est un peu dommage.
- le propos du film devient un peu flou lorsqu'il aborde le sujet de la religion. Et puis c'est un peu too much, cette histoire :P
Bon, je critique un peu, mais c'est pas mal quand même. Si vous aimez la science fiction et l'originalité, c'est plutôt cool!
Le Labyrinthe je m'attendais à un teenage movie à la Hunger Games (que je n'ai pas du tout aimé) mais, au final, on a plus affaire à une série B à gros budget avec des ados pour personnages principaux. Au final c'est plutôt sympa et rythmé et j'ai passé un bon moment, malgré la jeune actrice qui joue aussi mal que Kirsten Stewart (et qui lui ressemble, d'ailleurs) et la fin qui fait vraiment "la suite au prochain épisode"^^
Kill the Gringo un DTV avec Mel Gibson... eh ben, c'était super sympa :D
Original, rythmé, bien écrit, réalisé caméra au poing façon documentaire, mais avec style, le film peut faire penser à Rodriguez ou Tarantino, mais sans jamais chercher à les copier.
Mel Gibson est badass comme il faut, le scénario est sympa et bourré d'humour et, au final, on passe un très bon moment devant ce polar de série B vraiment très sympathique!
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
ah tiens niconico, cloud atlas, mon dieu que je me suis fait chier...Pour l'histoire, effectivement on se demande sans arrêt pourquoi? pourquoi cette histoire de merde sérieux sans rapport? bon ok là je suis énervé ce n'est pas une bonne critique :d non franchement, vu que le film m'emmerdait je n'ai pas vraiment fait d'effort pour essayer de comprendre mais de ce que je me souviens, rien n'est clair, il n'y a vraiment aucun rapport et donc ok les histoires des différents personnages peuvent être sympas mais on voulait, on attendait une explication, pas rester sur une fin(dont je ne me rappelle plus en fait xd) mais avec un scénario sans explications...bref je n'ai vraiment pas aimer...c'est vide et sans intérêt...
http://theonlywritter.eklablog.com/accueil-c20849897
Leona Lewis(une magnifique chanteuse!) http://www.hooper.fr/forums/musique/leona-lewis-chanteuse-magnifique-en-tous-plans
Ce qui m'a la plus interloqué dans le film, c'est ça
Hugo Weaving en Coréen, c'est VRAIMENT très très très perturbant :D
C'est la première fois que je vois un sentiment de vallée dérangeante provoqué par un être humain^^
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
ahahahahahahhahahahahaha pareil xd il ressemble à rien...pauvre hugo... :d bien loin de la classe de Mr.SMitfff^^
http://theonlywritter.eklablog.com/accueil-c20849897
Leona Lewis(une magnifique chanteuse!) http://www.hooper.fr/forums/musique/leona-lewis-chanteuse-magnifique-en-tous-plans
Je suis triste pour ceux qui n'ont pas apprécié un minimum l'expérience offert par les réalisateurs. J'ai été transporté du début à la fin par ce voyage qu'est la vie. C'est aussi l'amour même du cinéma..zut alors! Il me fait penser à Millenium Actress racontant la vie d'une actrice dont on traverse différents rôles/époques à la fois. Cloud Atlas est tout aussi fou & mélange avec fluidité les époques et les genres cinématographiques (le but n'est pas de faire une histoire à là "Inception"). Cloud Atlas est œuvre gourmande (attention aux calories X) ) & vous n'êtes pas content? Vous êtes difficile à divertir.
Vive le chocolat & le saxophone!
Bah, le problème en fait est que je ne sais pas vraiment où les réalisateurs veulent en venir.
Du coup, je ne me suis pas vraiment intéressé aux différentes histoires, je les ai plus subies qu'autre chose :/
Après, je ne me suis pas ennuyé et j'ai apprécié l'ambition et l'originalité du film, mais ça m'a semblé un peu maladroit et vain, au final.
Et Millenium Actress, c'est beaucoup mieux :P
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
exactement le même avis :)
sinon millenium actress je ne connais pas, je note :)
http://theonlywritter.eklablog.com/accueil-c20849897
Leona Lewis(une magnifique chanteuse!) http://www.hooper.fr/forums/musique/leona-lewis-chanteuse-magnifique-en-tous-plans
Pour information, Cloud Atlas, à la base, c'est un livre (la Cartographie des Nuages).
Cloud Atlas a été une de mes plus grandes claques au ciné.
Pour ceux qui n'ont pas compris où le film voulait en venir, je vous explique. Tout le film est une variation autour du thème de l'homme exploité par l'homme, l'homme mangé par l'homme, au fil des siècles, l'humanité renouvelant à chaque fois les mêmes erreurs, mais il y a toujours de l'espoir (cf la phrase finale de l'explorateur: "Qu'est-ce qu'un océan, sinon une multitude de gouttes" quand il répond à son beau-père qui lui disait que ses actions ne compteraient pas plus qu'une goutte dans un océan infini).
Ainsi, il ne faut pas chercher à tout prix à trouver des liens entre les époques: le film est beaucoup plus subtil que ça (et le roman dont il s'inspire également). Le but du film est de montrer toutes les récurrences entre les époques, au niveau de l'histoire qui se répète et de la mise en scène (exemple: le film fait à un moment donné des liens entre le Moriori sur le mat du bateau qui est en joue par le fusil du capitaine et la clone Somni se trouvant sur le pont en étant mise en joue par un vaisseau).
Un autre exemple de récurrence des thèmes, qui est en fait beaucoup plus flagrant dans le roman: le destin des Morioris au XIXème siècle mangés/exploités par les Maoris est très semblable au destin des hommes de la Grande Ïle exploités/dévorés par les barbares Konas dans le futur post-apocalyptique.
Le seul véritable lien scénaristique qu'on peut trouver entre les époques est le fait que chaque héros découvre le récit de son prédécesseur. Ainsi, le compositeur Frobisher découvre le journal de bord du navigateur. La journaliste Luisa Rey découvre les lettres envoyées par Frobisher à Sixmith (et d'ailleurs Sixmith est aperçu vieillissant à l'époque de la journaliste, tandis qu'il est le destinataire des lettres de Frobisher à l'époque de ce dernier). L'éditeur découvre un roman qui raconte l'histoire de Luisa Rey. La clone Somni découvre un film fait sur la vie de l'éditeur. Enfin, le héros du futur post-apocalyptique vit dans un monde dans lequel Somni est devenu une déesse et y découvre son "oraison" qui dévoile le message qu'elle avait laissée à l'humanité avant de mourir.
Enfin, il y a un autre lien entre les personnages: chaque héros a une tache de naissance en forme de comète (de mémoire, le héros du futur post-apocalyptique a une tache sur son crâne qu'on voit pendant l'épilogue où il est vieux, la clone a une tache sur son cou quand on lui enlève son bracelet, l'éditeur en a un sur les fesses qu'on voit dans un flashback où il est jeune, on voit obligatoirement celui de la journaliste dans l'ascenseur car Sixmith y fait allusion en lui disant que ça lui rappelle la tache de naissance de son amant Frobisher).
Au niveau des différences entre le roman et le film, il y a la structure narrative. Le roman adopte une structure en "poupées russes". Le roman commence par l'histoire du navigateur qui s'interrompt à la moitié. On poursuit avec le compositeur dont le récit s'interrompt aussi à la moitié, et ainsi de suite dans l'ordre chronologique jusqu'à arriver à l'histoire du futur post-apocalyptique qui est le seul récit à être raconté en une seule fois. Ensuite, le roman referme toutes les histoires précédentes dans l'ordre chronologique inverse: la seconde moitié de l'histoire de Somni, la seconde moitié du récit de l'éditeur, la seconde moitié du récit de la journaliste, puis la seconde moitié de l'histoire du compositeur, et enfin la seconde moitié du récit du navigateur qui clôt le roman.
Cette structure est aussi illustrée par l'oeuvre musicale de Frobisher, à savoir sa "Cartographie des Nuages". En effet, dans sa composition, il est question d'un orchestre à six instruments qui jouent les uns après les autres et surtout empiètent les uns sur les autres (d'abord un instrument, puis un autre, jusqu'à l'instrument central qui laisse ensuite sa place aux précédents instruments jusqu'au dernier qui était avant le premier instrument - je ne sais pas si c'est clair ce que je dis).
Evidemment, le film ne reprend pas cette structure narrative en poupées russes. A l'inverse, le film a fait un boulot monstrueux sur la mise en scène et surtout le montage pour faire tous les parallèles entre les situations et les récurrences entre les époques. J'ai trouvé le montage d'une clarté exemplaire, c'est incroyable comme c'est maîtrisé. C'est sûr, à la première vision on peut ne pas tout saisir, mais à la seconde vision on se rend vraiment compte de la maîtrise de l'ensemble, c'est passionnant à suivre.
Autre différence par rapport au roman: le film insiste un peu plus sur l'idée de la réincarnation. Ainsi, non seulement il y a des récurrences au niveau des situations, mais en plus il est sous-entend que les mêmes personnages se réincarnent au fil des époques, et d'ailleurs c'est pour ça que les acteurs jouent plein de rôles différents (aussi bien des hommes que des femmes grâce aux maquillages) pour souligner cette idée de réincarnation (avec des bons qui peuvent devenir mauvais ou inversement). L'idée était un petit peu abordée dans le roman surtout dans la partie du futur post-apocalyptique où le héros pensait que la femme mystérieuse était la réincarnation de Somni, mais l'idée est un peu plus accentuée dans le film.
Voilà, ouf, je m'arrête là car mes explications se sont transformées en pavé, mais j'espère avoir éclairci vos interrogations sur ce film passionnant (et le roman aussi passionnant) dont il y a plein de choses à dire. :)
Edit: Je vénère aussi Millenium Actress, mais je n'ai pas vu le rapport avec Cloud Atlas. Quoique, il est aussi question de récurrence de l'histoire de l'actrice à travers ses films qui racontent toujours la même chose (la fille à la poursuite de son homme) et de parallèles sur la mise en scène de situations à travers différents films, j'avoue que je n'avais pas pensé à ce rapprochement.
De mes souvenirs, oui, cloud atlas est un très bon film!!
Après, bon, mes souvenirs ne sont pas assez frais pour que je donne des arguments valables... (du coup je sers à rien)
Sinon je viens de voir la critique du fossoyeur de film sur interstellar et cest fou a quel point je suis en phase avec sa critique! ^^
Rien qu'au début "j'ai pas été déçu" je crois biens que c'est ce que j'ai dit ici même en réaction de Interstellar! ! ^^
Je suis exactement du même avis que lui dans tout ce qu'il dit, après il a une bien meilleure culture cinématographique que la mienne et il argumente bien mieux que moi.^^
En fait, c'est pour ça que je le préfère à durendal , au moins lui je suis toujours de son avis! :p
Bon en même temps j'aime bien les débats contradictoires, mais faut admettre que les critiques de durendal sont inférieurs. ..
Merci Rudolf tu as bien cerné le film! Je compte me prendre le livre qui à l'air alléchant lui aussi!
Je vois Cloud Atlas comme une œuvre philosophique explorant la culture/nature de l'homme: La culture divise-t-elle ou réunit-t-elle les hommes?; Existe-t-il une justice ou injustice de l'Etat? Un monde parfait construit par les hommes? etc Ce film peut servir d'inspiration pour une dissertation de philo. ^^
Oui le film se base sur l'idée de la réincarnation (le change de sexe d'un des frères Wachowski y est pour beaucoup): "Nos vies ne nous appartiennent pas. Des entrailles à la tombe nous sommes liés aux autres : passé & présent. Chaque crime, chaque acte de bonté construit notre futur."
Millenium Actress & Cloud Atlas se rapproche de l'expérience auprès d'un comédien/acteur au cinéma. Il y a l'art du déguisement (le pouvoir de réincarner dans divers personnages) & de conter une histoire par la diversité des genres: c'est un peu comme montrer les coulisses du cinéma + rendre hommage au cinéma. Il y a aussi l'amour qui est montré comme la beauté & la puissance de l'homme (espoir/défendre une idée). C'est juste un léger rapprochement que j'ai constaté en voyant ce film d'animation de Satoshi Kon. J'ai tendance à faire beaucoup de rapprochement où il y a pas XD. (Millenium Actress me fait aussi penser aussi à Mulholland Drive; je retire mon erreur par rapport au rapprochement que j'avais fait à l'inspiration Perfect Blue/Mulholland Drive durant le CINE CLUB XD)
Vive le chocolat & le saxophone!