Je n'ai jamais trop compris pourquoi on collait à "à cause de" un sens forcément négatif.
Y a une cause, justement : l'ambiance, et une conséquence : l'appréciation.
M'enfin ^^.
Je n'ai jamais trop compris pourquoi on collait à "à cause de" un sens forcément négatif.
Y a une cause, justement : l'ambiance, et une conséquence : l'appréciation.
M'enfin ^^.
Parce qu'on peut aussi utiliser "parce que" qui est aussi pour la cause, contrairement à "grâce à" qui est le pendant positif de "à cause de" ?
Je comprends que "grâce à" revête un sens positif à cause du mot "grâce" qui a lui-même un sens positif ( c'est d'ailleurs un élan "naturel" que de l'employer ainsi, je trouve, en raison du sens bénéfique du mot grâce ), mais comme le mot "cause" est neutre à la base ( c'est simplement un fait qui entraîne un autre fait ), j'aimerais bien connaître l'explication de ce sens négatif qu'on fait porter à la locution "à cause de".
Bref, j'ai du mal à envisager cette locution de manière forcément négative, du coup, lorsque je l'emploie.
Le sens d'une expression ne peut pas toujours être reliée de manière cartésienne à son étymologie.
Je présume que le sens communément admis de "à cause" pourrait provenir du lien entre le mot "cause" et le mot "conséquence" et le fait que ce dernier revête parfois un sens négatif sous-entendu dans certaines expressions : "une action a des conséquences".
Mais ce développement tient du plan sur la comète dans la mesure où je n'en sais rien et je ne suis pas linguiste.
Maintenant ce qui prévaut en langue c'est l'usage, donc dans tous les cas tu peux utiliser l'expression "à cause" de manière neutre ou positive si tu l'as conçois comme ça. Mais tu sais aussi que tu prends le risque d'être mal comprise.
Pour finir, je ne sais pas s'il existe une règle "officielle" (qui serait de toutes façons toute relative) concernant l'expression "à cause" ou si son sens négatif tient uniquement de l'usage.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Loul, c'est moi le respondable qui ai relevé ta phrase sans que ce fut nécessaire x)
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Je ne vais pas créer un topic pour ça, mais un retour d'expérience m'intéresserait : est-ce que les gens depuis le Covid se comportent encore plus comme des chiens, dans les salles de cinéma, parce qu'il paraît que oui..?
Je ne suis pas allé au ciné depuis SW 9 je crois, bien m'en a pris... Si c'est pour passer 2h30 en compagnie de tocards, je reste chez moi. Les pieds qui dépassent n'importe où, pas loin du visage de la rangée de devant, par exemple, le bruit, les bavardages, le manque d'attention permanent à cause des réseaux sociaux, les smartphones allumés tranquille, et j'en passe...
Ah oui et il y avait aussi le cas One Piece, vous vous souvenez, hurlements, présence d'ados devant l'écran etc...
Je pense que l'individualisme exacerbé a atteint une limite bien représentée par les salles de cinéma.
Alors pour ma part j'ai fais 6 ou 7 séances de ciné depuis le début de l'été, j'en avais fais 3 ou 4 cet hiver, et je n'ai pas remarqué de comportements problématiques, en tous cas pas plus que d'habitude (ce qui est déjà trop finalement). Ceci dit, je vais dans un CGR de Tours qui n'est pas trop mal fréquenté et dans une ville qui plus est assez calme.
"[...] Tutu chapeau pointu !
C'était le petit Gavroche qui s'en allait en guerre."
Je ne vais plus au ciné depuis des années à cause de certains comportements problématiques qui ne datent pas d'hier et parce que je reconnais que je suis facilement dérangeable quand je mate un film, je veux le silence ! xD.
Je n'ai aucune preuve, mais je ne pense pas que le covid soit pour quelque chose là-dedans, je pense plutôt que ça dépend des endroits, surtout.
Et des ados qui hurlent et s'agitent, rien de plus normal ^^'.
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
Petit sushi de citation pour le bon Pasa.. ^^
Je n'ai jamais trop compris pourquoi on collait à "à cause de" un sens forcément négatif.
Y a une cause, justement : l'ambiance, et une conséquence : l'appréciation.
M'enfin ^^.
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
Parce qu'on peut aussi utiliser "parce que" qui est aussi pour la cause, contrairement à "grâce à" qui est le pendant positif de "à cause de" ?
Je comprends que "grâce à" revête un sens positif à cause du mot "grâce" qui a lui-même un sens positif ( c'est d'ailleurs un élan "naturel" que de l'employer ainsi, je trouve, en raison du sens bénéfique du mot grâce ), mais comme le mot "cause" est neutre à la base ( c'est simplement un fait qui entraîne un autre fait ), j'aimerais bien connaître l'explication de ce sens négatif qu'on fait porter à la locution "à cause de".
Bref, j'ai du mal à envisager cette locution de manière forcément négative, du coup, lorsque je l'emploie.
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
Je présume que le sens communément admis de "à cause" pourrait provenir du lien entre le mot "cause" et le mot "conséquence" et le fait que ce dernier revête parfois un sens négatif sous-entendu dans certaines expressions : "une action a des conséquences".
Mais ce développement tient du plan sur la comète dans la mesure où je n'en sais rien et je ne suis pas linguiste.
Maintenant ce qui prévaut en langue c'est l'usage, donc dans tous les cas tu peux utiliser l'expression "à cause" de manière neutre ou positive si tu l'as conçois comme ça. Mais tu sais aussi que tu prends le risque d'être mal comprise.
Pour finir, je ne sais pas s'il existe une règle "officielle" (qui serait de toutes façons toute relative) concernant l'expression "à cause" ou si son sens négatif tient uniquement de l'usage.
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Je n'ai trouvé aucune explication du pourquoi sur le net, mais apparemment, "à cause de" peut avoir également parfois un sens neutre et pas forcément négatif, ce qui me rassure car cela relève d'une certaine logique :
https://francais.lingolia.com/fr/vocabulaire/mots-confondus/autres/a-cause-de-grace-a
Et il y a surtout une subtilité que je n'avais pas noté :
"à cause de" introduit une raison, une cause et "grâce à" une raison, un moyen.
Mais oui, j'aurais bien besoin d'un linguiste...
Désolé pour ce H.S. ^^
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
Loul, c'est moi le respondable qui ai relevé ta phrase sans que ce fut nécessaire x)
Trop de procurateurs et de publicains avides, trop de sénateurs méfiants, trop de centurions brutaux ont compromis d’avance notre ouvrage ; et le temps pour s’instruire par leurs fautes n’est pas plus donné aux empires qu’aux hommes.
Je ne vais pas créer un topic pour ça, mais un retour d'expérience m'intéresserait : est-ce que les gens depuis le Covid se comportent encore plus comme des chiens, dans les salles de cinéma, parce qu'il paraît que oui..?
Je ne suis pas allé au ciné depuis SW 9 je crois, bien m'en a pris... Si c'est pour passer 2h30 en compagnie de tocards, je reste chez moi. Les pieds qui dépassent n'importe où, pas loin du visage de la rangée de devant, par exemple, le bruit, les bavardages, le manque d'attention permanent à cause des réseaux sociaux, les smartphones allumés tranquille, et j'en passe...
Ah oui et il y avait aussi le cas One Piece, vous vous souvenez, hurlements, présence d'ados devant l'écran etc...
Je pense que l'individualisme exacerbé a atteint une limite bien représentée par les salles de cinéma.
Alors pour ma part j'ai fais 6 ou 7 séances de ciné depuis le début de l'été, j'en avais fais 3 ou 4 cet hiver, et je n'ai pas remarqué de comportements problématiques, en tous cas pas plus que d'habitude (ce qui est déjà trop finalement). Ceci dit, je vais dans un CGR de Tours qui n'est pas trop mal fréquenté et dans une ville qui plus est assez calme.
"[...] Tutu chapeau pointu !
C'était le petit Gavroche qui s'en allait en guerre."
Je ne vais plus au ciné depuis des années à cause de certains comportements problématiques qui ne datent pas d'hier et parce que je reconnais que je suis facilement dérangeable quand je mate un film, je veux le silence ! xD.
Je n'ai aucune preuve, mais je ne pense pas que le covid soit pour quelque chose là-dedans, je pense plutôt que ça dépend des endroits, surtout.
Et des ados qui hurlent et s'agitent, rien de plus normal ^^'.
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"