La poursuite infernale, western de 1946 avec Henry Fonda
J'aime trop les films à l'ancienne comme ça, à chaque fois je trouve qu'il se dégage quelque chose de reposant, les acteurs ont de la gueule et avec les jolis plans qu'a ce film, je trouve qu'il aurait mérité d'être colorisé.
Euh... Y'a du Noir et Blanc magnifique (quelle que soit l'époque d'ailleurs) dans les vieux films, ce qui compte, c'est la qualité de la copie envoyée à nos faces, je suis partisan des oeuvres originales qui ont été pensées comme ça.
En gros, ça ne le rendra pas meilleur d'être colorisé, très très probablement moins bien.
Un roman sera toujours meilleur que le film duquel il est adapté, un comics aussi. Pour le JV, pareil, il faut jouer sur hardware d'origine.
Pour les films en N&B plus récents, tu peux pas imaginer Rusty James ni Dead Man en couleurs, pour les plus anciens, c'est la même chose (à part que c'était une limitation technique pour les films d'avant 40), parce que ça a été pensé comme ça. Et si on va plus loin, tu aurais mis quoi comme couleurs ? Ca ne se décide pas sur un coup de dés.
Faut s'intéresser à des visions de réals, surtout, pas vouloir passer du N&B à la couleur, ou l'inverse, mais ça c'est plus rare chez les nullos qui peuvent pas avoir un film d'avant 1980 (si ce n'est 2010 pour d'autres, autant arrêter le cinéma dans ce cas là) mdr ! Je te rassure, tu ne fais pas partie de cette catégorie pour moi, parce que tu t'intéresses aux films anciens et je te rassure aussi que j'ai bien compris que tu disais ça pour certains plans. ^^
J'aime tous les cinémas et encore plus toutes les époques du cinéma, c'est indispensable de s'intéresser au media dans son ensemble (bon j'avoue les films muets, j'aime pas trop, mais j'en ai vus pas mal avant de dire ça).
Bref, moi ce serait plutôt team Scorsese que team MCU louuul (il leur a craché dessus à raison, pour moi). J'exècre fondamentalement le MCU qui n'apporte rien et dégrade même les Comics dont ils sont issus, alors que y'a des pépites dans la bande-dessinée américaine. Lui, il s'intéresse à tout ça, à l'Histoire du cinéma, notamment avec son Hugo Cabret et sa fondation mémorielle sur le cinéma (ça en est où d'ailleurs ? faut que je me rerenseigne)
Vive le cinéma, le vrai, bordel :p
Mais putain, le cinéma est trop important dans ma vie pour que le MCU phagocyte tout, avorte d'autres projets, monopolise toute une industrie.
Un bien beau coup de gueule Alexis !
Je crois d'ailleurs avoir vu plus de films de Scorcese que de films du MCU. Et je pourrais me la jouer en disant ça mais ce n'est absolument pas conscient, c'est juste le "hasard" de ce que je regarde.
Sinon :
Zaï Zaï Zaï Zaï de François Desagnat
J'avais bien apprécié la BD originale de Fabcaro même si je suis loin de l'adulation dont elle bénéficie. En revanche je voyais mal comment ça pouvait être adapté en film tant la BD n'offre pas réellement une intrigue soutenue mais plutôt une succession de scènes après le début racontant comment un homme devient l'ennemi public numéro 1 car il oublié sa carte de fidélité au moment de payer dans un hypermarché. On est donc en plein humour absurde et cela fonctionne souvent car il y a pas mal de gags efficaces (issus de la BD ou pas) et les acteurs sont bons que cela soit JP Rouve, Ramzy Bédia, Yolande Moreau et les nombreux guests... En revanche, c'est film de manière tellement paresseuse et on se fiche de l'intrigue globale qui n'a que peu d’intérêt si ce n'est nous amené vers le gag suivant. Le genre de film que j'ai apprécié mais que je ne serais pas étonné si quelqu'un me dit qu'il n'a vraiment pas aimé.
Bande-Annonce ▼▲
On est fait pour s'entendre de Pascal Elbé
Alors là on est dans de la comédie romantique française très classique. Trop classique. On suit Pascal Elbé qui apprend qu'il devient malentendant et les conséquences que cela va avoir dans sa vie surtout quand déboule sa voisine veuve Sambrine Kimberlain... Du je te déteste puis je t'aime, le fameux troisième acte séparation/réconciliation, la petite touche émotion avec un enfant, la grand-mère un brin folle ect... Du vu et du revu. Pas forcément mauvais ni inregardable. Mais tellement quelconque. Seuls les moments où les troubles de l'audition sont mis en scène fonctionnent bien et apportent un peu d'originalité.
Le chant du Missouri de Vincent Minnelli
On sent vraiment que cette comédie musicale de 1944 a été produite pendant la Seconde Guerre mondiale tant elle se regarde comme une parenthèse enchantée sur un famille bourgeoise de Saint-Louis en 1903 avec ses petits tracas comme ses bonheurs. Et ça fonctionne car on s'y vautre comme dans n'importe quelle douceur qui fait du bien. Les musiques, qui sont certes vieilli, sont charmantes, les deux jeunes filles espiègles sont excellentes, la mini-rébellion contre le père est efficace et il y a surtout le charme intemporel de Judy Garland. Sans oublier la mise en scène très soignée et assez inventive par moments de Vincente Minnelli dont je découvre la filmographie avec cette œuvre.
Je viens de regarder Le goût de la haine sur Netflix, un film polonais.
Je ne sais pas si la Pologne est réputée pour son cinéma mais ce film met la barre très haute.
C'est rare que je sorte d'un film un peu chamboulé, très rare même. Ce film m'a mis mal à l'aise très vite.
Spoiler ▼▲
Au moment où il ramène le politicien dans un club gay pour le détruire. J'ai trouvé ça tellement sadique. Au final c'est rien par rapport à la fin. Quand tu fais autant de mal tu termine ta vie avec la tronche d'Édouard Philippe :P
J'ai vraiment du mal avec ce genre de personnage car je sais qu'ils existent dans la vrai vie.
Le film fait aussi référence à L'Art de la guerre que j'ai lu plusieurs fois. Je trouve qu'il exploite très bien le livre.
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Je vous le recommande mais c'est un film assez dur je trouve, pour moi au moins.
Edit : J'ai vu Drunk aussi récemment. Drôle au début et touchant à la fin. L'alcool c'est mal les enfants :P
Ah sérieux, je pensais pas. ^^ "Pas toi, pas comme ça, pas maintenant, pas après tout ce que tu as fait" xD
Et oui... Les lacunes sont là... Il va falloir que je muscle mon jeu sinon je vais au devant de grosses déconvenues !
Sinon :
Balle Perdue 2 de Guillaume Pierret
Ce que j'aime dans cette exclusivité Netflix c'est qu'elle assume totalement son côté série B comme son aspect Fast & Furious franchouillard. D'ailleurs le film vaut surtout pour les scènes d'action et les courses-poursuites en voiture qui nous offrent clairement ce qu'on est venu chercher. Ca défouraille, la mise en scène est pêchue avec de bonnes petites séquences... Bref, un film d'action à la française qui fait le job. Après... Le scénario est quand même écrit comme un épisode de série (ce que confirme la fin en forme de cliffhanger) sans vraiment chercher quelconque originalité ou éviter les situations un peu faciles... Ensuite, on sent que Guillaume Pierret n'a pas l'air d'être le meilleur directeur d'acteurs qui soit car ça pêche un peu à ce niveau.
Bande-Annonce ▼▲
Messi de Alex de la Iglesia
Alors là c'est vraiment le docu-fiction (sortie en 2014) à réserver aux connaisseurs car il ne fait pas vraiment l'effort d'aller chercher les autres. La forme est assez orignale car on mélange des passages joués avec acteurs de la vie de Messi quand il étais jeune avec des discussions de personnes qu'il l'on connu et côtoyé entre elles pour parler de sa vie et de son jeu. Un portait qui fonctionne donc grâce à cette approche très particulière. Après... Ca constitue aussi ses limites car on sent qu'il y a pas mal d'autres pistes qui auraient pu être développées pour rendre ça plus complet ou intéressant... Ca manque aussi d'intervenants un peu plus importants notamment ses entraîneurs en club qui sont absents. On frôle aussi l'hagiographie.
La semaine dernière je me suis fais un petit plaisir : j'ai vu que dans le cinéma du coin il faisait un marathon Terrifier (le 1 et le 2 à la suite donc). C'est un cinéma de taille moyenne voir petite que j'aime beaucoup, et je connaissais la franchise des Terrifier uniquement de réputation (notamment le 2e qui fait soi-disant vomir toute l'Amérique). J'ai donc participé à cette soirée marathon en solo, petite salle, une trentaine de personnes, deux films sympa et un soir qui restera gravé dans ma mémoire comme l'un des plus funs que j'ai passé au ciné !
Sinon, pour coller un peu plus au topic (désolé pour cette longue intro ^^) :
Terrifier 1 : Belle découverte ! Je trouve le personnage de Art le Clown vraiment marquant (je le préfère à Ça d'ailleurs, dont il est une sorte d'"inverse" au final). Le film est assez cool et plutôt funny. Terrifier 2 : Assez différent du 1. J'ai bien aimé mais clairement c'est non seulement moins maîtrisé que le 1 (à mon sens) mais ça part en plus de cela dans une surenchère vraiment too much parfois. Mais visionnage sympathique malgré tout.
"[...] Tutu chapeau pointu !
C'était le petit Gavroche qui s'en allait en guerre."
Wow, superbe N&B pour un film d'amour qui ne l'est pas moins, à l'époque (1951), on savait jouer divinement. Toutes cette palette d'émotions subtiles retranscrites à la perfection par la Taylor et Monty Clift. Amis dans la vie, aussi, et ça se voit. La rencontre au billard est mythique.
Euh... Y'a du Noir et Blanc magnifique (quelle que soit l'époque d'ailleurs) dans les vieux films, ce qui compte, c'est la qualité de la copie envoyée à nos faces, je suis partisan des oeuvres originales qui ont été pensées comme ça.
En gros, ça ne le rendra pas meilleur d'être colorisé, très très probablement moins bien.
Un roman sera toujours meilleur que le film duquel il est adapté, un comics aussi. Pour le JV, pareil, il faut jouer sur hardware d'origine.
Pour les films en N&B plus récents, tu peux pas imaginer Rusty James ni Dead Man en couleurs, pour les plus anciens, c'est la même chose (à part que c'était une limitation technique pour les films d'avant 40), parce que ça a été pensé comme ça. Et si on va plus loin, tu aurais mis quoi comme couleurs ? Ca ne se décide pas sur un coup de dés.
Faut s'intéresser à des visions de réals, surtout, pas vouloir passer du N&B à la couleur, ou l'inverse, mais ça c'est plus rare chez les nullos qui peuvent pas avoir un film d'avant 1980 (si ce n'est 2010 pour d'autres, autant arrêter le cinéma dans ce cas là) mdr ! Je te rassure, tu ne fais pas partie de cette catégorie pour moi, parce que tu t'intéresses aux films anciens et je te rassure aussi que j'ai bien compris que tu disais ça pour certains plans. ^^
J'aime tous les cinémas et encore plus toutes les époques du cinéma, c'est indispensable de s'intéresser au media dans son ensemble (bon j'avoue les films muets, j'aime pas trop, mais j'en ai vus pas mal avant de dire ça).
Bref, moi ce serait plutôt team Scorsese que team MCU louuul (il leur a craché dessus à raison, pour moi). J'exècre fondamentalement le MCU qui n'apporte rien et dégrade même les Comics dont ils sont issus, alors que y'a des pépites dans la bande-dessinée américaine. Lui, il s'intéresse à tout ça, à l'Histoire du cinéma, notamment avec son Hugo Cabret et sa fondation mémorielle sur le cinéma (ça en est où d'ailleurs ? faut que je me rerenseigne)
Vive le cinéma, le vrai, bordel :p
Mais putain, le cinéma est trop important dans ma vie pour que le MCU phagocyte tout, avorte d'autres projets, monopolise toute une industrie.
Oui j'avais envie de pondre ce soir ^^
Un bien beau coup de gueule Alexis !
Je crois d'ailleurs avoir vu plus de films de Scorcese que de films du MCU. Et je pourrais me la jouer en disant ça mais ce n'est absolument pas conscient, c'est juste le "hasard" de ce que je regarde.
Sinon :
Zaï Zaï Zaï Zaï de François Desagnat
J'avais bien apprécié la BD originale de Fabcaro même si je suis loin de l'adulation dont elle bénéficie. En revanche je voyais mal comment ça pouvait être adapté en film tant la BD n'offre pas réellement une intrigue soutenue mais plutôt une succession de scènes après le début racontant comment un homme devient l'ennemi public numéro 1 car il oublié sa carte de fidélité au moment de payer dans un hypermarché. On est donc en plein humour absurde et cela fonctionne souvent car il y a pas mal de gags efficaces (issus de la BD ou pas) et les acteurs sont bons que cela soit JP Rouve, Ramzy Bédia, Yolande Moreau et les nombreux guests... En revanche, c'est film de manière tellement paresseuse et on se fiche de l'intrigue globale qui n'a que peu d’intérêt si ce n'est nous amené vers le gag suivant. Le genre de film que j'ai apprécié mais que je ne serais pas étonné si quelqu'un me dit qu'il n'a vraiment pas aimé.
On est fait pour s'entendre de Pascal Elbé
Alors là on est dans de la comédie romantique française très classique. Trop classique. On suit Pascal Elbé qui apprend qu'il devient malentendant et les conséquences que cela va avoir dans sa vie surtout quand déboule sa voisine veuve Sambrine Kimberlain... Du je te déteste puis je t'aime, le fameux troisième acte séparation/réconciliation, la petite touche émotion avec un enfant, la grand-mère un brin folle ect... Du vu et du revu. Pas forcément mauvais ni inregardable. Mais tellement quelconque. Seuls les moments où les troubles de l'audition sont mis en scène fonctionnent bien et apportent un peu d'originalité.
Sell kids for food
Merci Green, ce qui compte finalement c'est d'avoir toujours le choix, c'est pour ça que Disney me fait un peu peur. ;)
Ah et j'ai vu Top Gun Maverick, un film comme on n'en fait plus, petit regret de ne pas l'avoir vu au cinéma mais gros moment.
Le chant du Missouri de Vincent Minnelli
On sent vraiment que cette comédie musicale de 1944 a été produite pendant la Seconde Guerre mondiale tant elle se regarde comme une parenthèse enchantée sur un famille bourgeoise de Saint-Louis en 1903 avec ses petits tracas comme ses bonheurs. Et ça fonctionne car on s'y vautre comme dans n'importe quelle douceur qui fait du bien. Les musiques, qui sont certes vieilli, sont charmantes, les deux jeunes filles espiègles sont excellentes, la mini-rébellion contre le père est efficace et il y a surtout le charme intemporel de Judy Garland. Sans oublier la mise en scène très soignée et assez inventive par moments de Vincente Minnelli dont je découvre la filmographie avec cette œuvre.
Sell kids for food
Ah sérieux, je pensais pas. ^^ "Pas toi, pas comme ça, pas maintenant, pas après tout ce que tu as fait" xD
Je crois pas avoir vu celui-ci, mais il y a tellement de films charmants dans ce genre chez Minelli, que bon visionnage pour la suite. ^^
Je viens de regarder Le goût de la haine sur Netflix, un film polonais.
Je ne sais pas si la Pologne est réputée pour son cinéma mais ce film met la barre très haute.
C'est rare que je sorte d'un film un peu chamboulé, très rare même. Ce film m'a mis mal à l'aise très vite.
Je vous le recommande mais c'est un film assez dur je trouve, pour moi au moins.
Edit : J'ai vu Drunk aussi récemment. Drôle au début et touchant à la fin. L'alcool c'est mal les enfants :P
C'est pas mal Dark Souls 2...et Dragon Quest XI aussi :P
Bon et pour 5 balles de plus par mois, j'ai les chaînes ciné de Canal via une offre :p
Et je tombe sur un Americain à Paris, chouette ;)
Je vais me régaler avec TCM et Paramount Channel.
Et oui... Les lacunes sont là... Il va falloir que je muscle mon jeu sinon je vais au devant de grosses déconvenues !
Sinon :
Balle Perdue 2 de Guillaume Pierret
Ce que j'aime dans cette exclusivité Netflix c'est qu'elle assume totalement son côté série B comme son aspect Fast & Furious franchouillard. D'ailleurs le film vaut surtout pour les scènes d'action et les courses-poursuites en voiture qui nous offrent clairement ce qu'on est venu chercher. Ca défouraille, la mise en scène est pêchue avec de bonnes petites séquences... Bref, un film d'action à la française qui fait le job. Après... Le scénario est quand même écrit comme un épisode de série (ce que confirme la fin en forme de cliffhanger) sans vraiment chercher quelconque originalité ou éviter les situations un peu faciles... Ensuite, on sent que Guillaume Pierret n'a pas l'air d'être le meilleur directeur d'acteurs qui soit car ça pêche un peu à ce niveau.
Messi de Alex de la Iglesia
Alors là c'est vraiment le docu-fiction (sortie en 2014) à réserver aux connaisseurs car il ne fait pas vraiment l'effort d'aller chercher les autres. La forme est assez orignale car on mélange des passages joués avec acteurs de la vie de Messi quand il étais jeune avec des discussions de personnes qu'il l'on connu et côtoyé entre elles pour parler de sa vie et de son jeu. Un portait qui fonctionne donc grâce à cette approche très particulière. Après... Ca constitue aussi ses limites car on sent qu'il y a pas mal d'autres pistes qui auraient pu être développées pour rendre ça plus complet ou intéressant... Ca manque aussi d'intervenants un peu plus importants notamment ses entraîneurs en club qui sont absents. On frôle aussi l'hagiographie.
Sell kids for food
La semaine dernière je me suis fais un petit plaisir : j'ai vu que dans le cinéma du coin il faisait un marathon Terrifier (le 1 et le 2 à la suite donc). C'est un cinéma de taille moyenne voir petite que j'aime beaucoup, et je connaissais la franchise des Terrifier uniquement de réputation (notamment le 2e qui fait soi-disant vomir toute l'Amérique). J'ai donc participé à cette soirée marathon en solo, petite salle, une trentaine de personnes, deux films sympa et un soir qui restera gravé dans ma mémoire comme l'un des plus funs que j'ai passé au ciné !
Sinon, pour coller un peu plus au topic (désolé pour cette longue intro ^^) :
Terrifier 1 : Belle découverte ! Je trouve le personnage de Art le Clown vraiment marquant (je le préfère à Ça d'ailleurs, dont il est une sorte d'"inverse" au final). Le film est assez cool et plutôt funny.
Terrifier 2 : Assez différent du 1. J'ai bien aimé mais clairement c'est non seulement moins maîtrisé que le 1 (à mon sens) mais ça part en plus de cela dans une surenchère vraiment too much parfois. Mais visionnage sympathique malgré tout.
"[...] Tutu chapeau pointu !
C'était le petit Gavroche qui s'en allait en guerre."
Une place au soleil de George Stevens
Wow, superbe N&B pour un film d'amour qui ne l'est pas moins, à l'époque (1951), on savait jouer divinement. Toutes cette palette d'émotions subtiles retranscrites à la perfection par la Taylor et Monty Clift. Amis dans la vie, aussi, et ça se voit. La rencontre au billard est mythique.
Immortel.