ben tu vois que des incohérences, ça tient pas la route, c'est illogique
Et ça serait un défaut rédhibitoire dans le cadre d'un essai philosophique ou d'une publication scientifique, mais en quoi serait-ce si grave pour un film ou pour une oeuvre de manière générale ? Attention, bien sûr que c'est toujours mieux d'être cohérent et intelligent, et si on peut le faire sans contrevenir au reste y'a aucune raison de se priver, n'empêche que ça n'a jamais été la préoccupation première de l'art que d'être intelligent. Y'a des médiums bien plus appropriés si là est notre priorité.
A vrai dire, en arriver à penser "Ce film a des qualités cinématographiques indéniables mais c'est pas intelligent donc ça n'a aucun intérêt", elle est surtout là pour moi l'incohérence. D'autant qu'arriver à un tel degré de maîtrise des codes cinématographiques requiert nécessairement une bonne dose d'intelligence. L'intelligence c'est pas juste faire en sorte que deux informations ne se contredisent pas au sein d'un récit ^^
PS : j'ai pas vu le film, je ne parle pas de sa qualité, je me contente simplement de réagir à ta critique
A vrai dire, en arriver à penser "Ce film a des qualités cinématographiques indéniables mais c'est pas intelligent donc ça n'a aucun intérêt", elle est surtout là pour moi l'incohérence. D'autant qu'arriver à un tel degré de maîtrise des codes cinématographiques requiert nécessairement une bonne dose d'intelligence ^^
Alors moi je pense qu'un film ce n'est pas uniquement une bonne réalisation et une belle photo, le cinéma c'est raconter en image, donc le propos est aussi important que le support.
On peut faire des films contemplatifs ou qui racontent pas forcément d'histoire concrète, des films qui cherchent a faire ressentir plus que réfléchir, mais içi, pour Old on est pas dans l'experimental ou le cinéma intello, c'est du cinéma d'exploitation, clairement un divertissement, pas un film d'auteur, même si c'est bien Shyamalan qui l'a écrit.
Le fantastique, ça ressemble a un genre ou on peut faire ce qu'on veut, mais en réalité c'est encore plus compliqué que d'écrire une histoire réaliste, parce que les règles que tu transgresse vont devoir être compenser par de la cohérence, et ça oui, ça demande de l'intelligence, et en tout cas du temps pour relire, rectifier épurer et rendre le tout vraisemblable.
La plupart des auteurs de SF ou de Fantastique mettent plusieurs années pour écrire un roman (parfois 10), un réal qui prétend écrire une histoire et en plus réaliser le film en l'espace de 2/3 ans...bah soit t'es un putain de génie, soit tu fais du Besson quoi..
Old, c'est ça, ça ressemble a du Besson, on est dans le "ta gueule c'est magique" intégral.
Alors moi je pense qu'un film ce n'est pas uniquement une bonne réalisation et une belle photo
Mais qui a dit ça ? Ne caricaturons pas nos propos mutuels : on est sur hooper.fr, soyons-en dignes !
Non, moi à aucun moment je n'ai dit que le seul intérêt d'un film résidait d'un film résidait dans son visuel, mais simplement que le visuel, le fait d'évoquer des choses via l'image animée, était le coeur de l'art cinématographique (comme le fait d'évoquer des choses par la juxtaposition de sons dans le temps est le coeur de l'art musical). J'ai aussi dit que si le film en question arrivait dans le même temps à être logique et cohérent, alors tant mieux : évidemment c'est un intérêt supplémentaire, je ne le conteste pas. C'est mieux d'être logique et cohérent que d'être illogique et incohérent, loul.
Après y'a aussi le cas des films qui sont "cohérents dans leur incohérence" comme le dit justement Alexis, mais a priori c'est pas le cas de ce film là, donc on peut effectivement lui reprocher ses petites incartades dans une certaines mesure. Ce qui m'a surtout fait réagir, c'est le fait que, pour toi, les incohérences viennent balayer absolument tout le reste et anéantir l'intérêt d'un film qui a pourtant l'air de regorger de qualités artistiques.
Citation:
Demander de la logique, de la cohérence, pour une fiction, dans un monde qui n'en a pas, déjà...
Pas faux. C'est vrai que ça me fera toujours marrer les Nostalgia Critic-like qui ragent sur la bêtise de certains personnages comme si ça sortait de nulle part alors que, bon, on va pas se mentir : les cons c'est quand même pas ça qui manque sur notre belle planète. Un personnage façon Tony Stark qui invente des éléments et qui résout n'importe quel type de problème en un tournemain me fera toujours vachement plus tiquer qu'un cousin germain de François Pignon :p
Non mais alors là, rien a voir entre David Lynch et les incohérences de "Old" .
Pourquoi :
Parce que dans la plupart des oeuvres de David Lynch, ce dernier joue avec la dissonance cognitive des spectateurs, comme quand le personnage principal change littéralement en cours de film dans "Lost Highway" et ou on se demande si on a pas zappé de chaine.
C'est volontaire, comme dans les films de Dupieux, ou tout devient possible, c'est assumé, et quand on regarde ces films on comprend très vite qu'on est devant un ovni.
Dans "Old" tout est fait pour nous vendre le film fantastique familial, a aucun moment le ton de l'oeuvre est absurde.
Dans ce film l'histoire tourne autour d'une mécanique de vieillissement, les personnages vieillissent plus vites et cicatrisent plus vites etc... a partir de là, tu doit respecter la logique qu'induit cette mécanique, si tu t'en affranchi librement en mode osef ça passe, tu prend le risque que les spectateurs s'en aperçoivent et que ça devienne une critique.
Et si a la limite le film véhiculait quelque chose de plus, une critique sociale, un malaise ressenti, je sais pas quelque-chose qui donne un intérêt supplémentaire, mais là, comme je l'ai écrit dans ma critique, y'a rien, juste une suite d'évènements.
Un peu pareil à chaque fois il dit que c'est dla grosse merde en dirais un Hooper du cinéma alors qu'il va voir que les truc ultra populaire qui n'aime pas, genre les Marvel..... Après je dit pas il à l'air d'avoir beaucoup de culture dans ce média.
Bon après j'ai vu très peu de vidéo de Dirty Tommy. Mais sa vulgarité m'a rebuté et cet espèce de rôle qu'il se donne à se prendre pour le Jean Moulin du cinéma juste parce qu'il a un avis...
Umbasa a écrit:
Venom : Let There Be Carnage une catastrophe suis pourtant fan de l'humour "facile" mais la sérieux pour Venom ça le fait absolument pas tout est plat au final, tu regarde le film pour le combat final et voila merci aurevoir.
Ouch... Même si je ne suis pas aussi sévère que toi tu as en partie raison, tu as vraiment envie que le combat final arrive enfin parce que l'humour...
@Unchartouille : Belle analyse de Don't Look Up !
Sinon pour le débat sur la cohérence dans les films c'est quelque chose qui m'interpelle beaucoup dernièrement. Et en vrai je ne comprends pas cette volonté de défoncer un film seulement sur ce critère avec des "spécialistes" qui en viennent à enculer des mouches en rond pendant toute une vidéo juste pour flatter leur intellect supérieur. Cette volonté de se montrer plus malin que le film en somme. Et attention je préfère préciser que je ne parle pas d'Atronak et son retour sur Old que je n'ai pas lu vu que je n'ai pas vu le film.
Au bout d'un moment j'ai appris qu'aucun film ne pouvait être cohérent à 100% et donc je n'en fait pas un critère important.
Mais d'un autre côté, tu ne peux pas empêcher ton cerveau de fonctionner dans le sens ou une grosse incohérence qui te saute aux yeux évidemment que ça peut te faire sortir d'un film et gâcher ton expérience. De plus certains films se basent sur cette cohérence. Certains s'en manquent ouvertement de façon méta. Et d'autres tentent maladroitement de recoller les morceaux avec deux idées principales : un personnage qui va lui-même questionner les enjeux du film ou un personnage qui va être là pour rabâcher que tout est logique.
Sinon :
Rebecca de Alfred Hitchcock
Il est fort ce Alfred quand même. Il te prend un film de commandes et t'en fait un drame passionnant réussissant à filmer la solitude paranoïaque et l'absence mystérieuse comme personne. Rebecca c'est un peu le meilleur film de fantôme sans fantôme jamais fait. Une ambiance austère souvent malsaine dans une sorte de rêve devenu cauchemar éveillé pour Joan Fontaine avant que la fin rabatte magistralement les cartes. Entre la beauté froide de Laurence Olivier, la gouvernante flippante où le travail incroyable sur les ombres... Vraiment un film à voir.
Spoiler ▼▲
Adieu Monsieur Haffmann de Fred Cavayé
Ce drame historique en huis-clos est un bon film malgré quelques longueurs dans sa première partie néanmoins. Un face à face entre Daniel Auteuil et Gilles Lellouche où le premier, juif, est caché un peu contre son gré par le second durant l'Occupation. Avec Sara Giraudeau en victime collatéral. Le scénario est parfois assez malsain devenant de plus en plus tendu avec cette histoire de salaud opportuniste dont les parts d'ombres sont illuminées par une époque troublée. La mise en scène au plus près des acteurs fonctionne en étant très efficace.
J'ai vu Rebecca il y a très longtemps, vers 1995 ou 1996, dans le cadre du cinéma de minuit sur France 3.
Et j'ai lu le livre Rebecca de Daphné Du Maurier l'année dernière justement.
C'est un très bon livre, et je pense que le film est assez fidèle au livre.
Effectivement, le producteur Selznick avait vraiment fait en sorte que cela soit le plus fidèle possible car il en avait marre qu'on lui rabâche les libertés d'adaptation de Autant en emporte le vent
Et ça serait un défaut rédhibitoire dans le cadre d'un essai philosophique ou d'une publication scientifique, mais en quoi serait-ce si grave pour un film ou pour une oeuvre de manière générale ? Attention, bien sûr que c'est toujours mieux d'être cohérent et intelligent, et si on peut le faire sans contrevenir au reste y'a aucune raison de se priver, n'empêche que ça n'a jamais été la préoccupation première de l'art que d'être intelligent. Y'a des médiums bien plus appropriés si là est notre priorité.
A vrai dire, en arriver à penser "Ce film a des qualités cinématographiques indéniables mais c'est pas intelligent donc ça n'a aucun intérêt", elle est surtout là pour moi l'incohérence. D'autant qu'arriver à un tel degré de maîtrise des codes cinématographiques requiert nécessairement une bonne dose d'intelligence. L'intelligence c'est pas juste faire en sorte que deux informations ne se contredisent pas au sein d'un récit ^^
PS : j'ai pas vu le film, je ne parle pas de sa qualité, je me contente simplement de réagir à ta critique
I command thee ... KNEEL !
Alors moi je pense qu'un film ce n'est pas uniquement une bonne réalisation et une belle photo, le cinéma c'est raconter en image, donc le propos est aussi important que le support.
On peut faire des films contemplatifs ou qui racontent pas forcément d'histoire concrète, des films qui cherchent a faire ressentir plus que réfléchir, mais içi, pour Old on est pas dans l'experimental ou le cinéma intello, c'est du cinéma d'exploitation, clairement un divertissement, pas un film d'auteur, même si c'est bien Shyamalan qui l'a écrit.
Le fantastique, ça ressemble a un genre ou on peut faire ce qu'on veut, mais en réalité c'est encore plus compliqué que d'écrire une histoire réaliste, parce que les règles que tu transgresse vont devoir être compenser par de la cohérence, et ça oui, ça demande de l'intelligence, et en tout cas du temps pour relire, rectifier épurer et rendre le tout vraisemblable.
La plupart des auteurs de SF ou de Fantastique mettent plusieurs années pour écrire un roman (parfois 10), un réal qui prétend écrire une histoire et en plus réaliser le film en l'espace de 2/3 ans...bah soit t'es un putain de génie, soit tu fais du Besson quoi..
Old, c'est ça, ça ressemble a du Besson, on est dans le "ta gueule c'est magique" intégral.
Le jeu vidéo est-t'il un art ?
Non, c'est l'art qui est un jeu.
Playlist spotify funk pour soirée chill:
https://open.spotify.com/playlist/43X0D7Gyzj7zVqI1S5v9ug?si=3dbd3ec35e1047af
Il y a quand même des oeuvres géniales sans la moindre logique (ou au moins apparente) cf tout le cinoche de Lynch... Et bien d'autres.
Demander de la logique, de la cohérence, pour une fiction, dans un monde qui n'en a pas, déjà... ^________^
Au contraire, dans une fiction se voulant assez réaliste, il faudrait distiller de façon permanente des éléments incohérents ahah
Mais qui a dit ça ? Ne caricaturons pas nos propos mutuels : on est sur hooper.fr, soyons-en dignes !
Non, moi à aucun moment je n'ai dit que le seul intérêt d'un film résidait d'un film résidait dans son visuel, mais simplement que le visuel, le fait d'évoquer des choses via l'image animée, était le coeur de l'art cinématographique (comme le fait d'évoquer des choses par la juxtaposition de sons dans le temps est le coeur de l'art musical). J'ai aussi dit que si le film en question arrivait dans le même temps à être logique et cohérent, alors tant mieux : évidemment c'est un intérêt supplémentaire, je ne le conteste pas. C'est mieux d'être logique et cohérent que d'être illogique et incohérent, loul.
Après y'a aussi le cas des films qui sont "cohérents dans leur incohérence" comme le dit justement Alexis, mais a priori c'est pas le cas de ce film là, donc on peut effectivement lui reprocher ses petites incartades dans une certaines mesure. Ce qui m'a surtout fait réagir, c'est le fait que, pour toi, les incohérences viennent balayer absolument tout le reste et anéantir l'intérêt d'un film qui a pourtant l'air de regorger de qualités artistiques.
Pas faux. C'est vrai que ça me fera toujours marrer les Nostalgia Critic-like qui ragent sur la bêtise de certains personnages comme si ça sortait de nulle part alors que, bon, on va pas se mentir : les cons c'est quand même pas ça qui manque sur notre belle planète. Un personnage façon Tony Stark qui invente des éléments et qui résout n'importe quel type de problème en un tournemain me fera toujours vachement plus tiquer qu'un cousin germain de François Pignon :p
I command thee ... KNEEL !
Agree
Je crois que David Lynch serait d'accord avec une célèbre fausse patte galloise pour affirmer que les vieux, c'est hyper mystérieux.
I command thee ... KNEEL !
Non mais alors là, rien a voir entre David Lynch et les incohérences de "Old" .
Pourquoi :
Parce que dans la plupart des oeuvres de David Lynch, ce dernier joue avec la dissonance cognitive des spectateurs, comme quand le personnage principal change littéralement en cours de film dans "Lost Highway" et ou on se demande si on a pas zappé de chaine.
C'est volontaire, comme dans les films de Dupieux, ou tout devient possible, c'est assumé, et quand on regarde ces films on comprend très vite qu'on est devant un ovni.
Dans "Old" tout est fait pour nous vendre le film fantastique familial, a aucun moment le ton de l'oeuvre est absurde.
Dans ce film l'histoire tourne autour d'une mécanique de vieillissement, les personnages vieillissent plus vites et cicatrisent plus vites etc... a partir de là, tu doit respecter la logique qu'induit cette mécanique, si tu t'en affranchi librement en mode osef ça passe, tu prend le risque que les spectateurs s'en aperçoivent et que ça devienne une critique.
Et si a la limite le film véhiculait quelque chose de plus, une critique sociale, un malaise ressenti, je sais pas quelque-chose qui donne un intérêt supplémentaire, mais là, comme je l'ai écrit dans ma critique, y'a rien, juste une suite d'évènements.
Le jeu vidéo est-t'il un art ?
Non, c'est l'art qui est un jeu.
Playlist spotify funk pour soirée chill:
https://open.spotify.com/playlist/43X0D7Gyzj7zVqI1S5v9ug?si=3dbd3ec35e1047af
Bon après j'ai vu très peu de vidéo de Dirty Tommy. Mais sa vulgarité m'a rebuté et cet espèce de rôle qu'il se donne à se prendre pour le Jean Moulin du cinéma juste parce qu'il a un avis...
Ouch... Même si je ne suis pas aussi sévère que toi tu as en partie raison, tu as vraiment envie que le combat final arrive enfin parce que l'humour...
@Unchartouille : Belle analyse de Don't Look Up !
Sinon pour le débat sur la cohérence dans les films c'est quelque chose qui m'interpelle beaucoup dernièrement. Et en vrai je ne comprends pas cette volonté de défoncer un film seulement sur ce critère avec des "spécialistes" qui en viennent à enculer des mouches en rond pendant toute une vidéo juste pour flatter leur intellect supérieur. Cette volonté de se montrer plus malin que le film en somme. Et attention je préfère préciser que je ne parle pas d'Atronak et son retour sur Old que je n'ai pas lu vu que je n'ai pas vu le film.
Au bout d'un moment j'ai appris qu'aucun film ne pouvait être cohérent à 100% et donc je n'en fait pas un critère important.
Mais d'un autre côté, tu ne peux pas empêcher ton cerveau de fonctionner dans le sens ou une grosse incohérence qui te saute aux yeux évidemment que ça peut te faire sortir d'un film et gâcher ton expérience. De plus certains films se basent sur cette cohérence. Certains s'en manquent ouvertement de façon méta. Et d'autres tentent maladroitement de recoller les morceaux avec deux idées principales : un personnage qui va lui-même questionner les enjeux du film ou un personnage qui va être là pour rabâcher que tout est logique.
Sinon :
Rebecca de Alfred Hitchcock
Il est fort ce Alfred quand même. Il te prend un film de commandes et t'en fait un drame passionnant réussissant à filmer la solitude paranoïaque et l'absence mystérieuse comme personne. Rebecca c'est un peu le meilleur film de fantôme sans fantôme jamais fait. Une ambiance austère souvent malsaine dans une sorte de rêve devenu cauchemar éveillé pour Joan Fontaine avant que la fin rabatte magistralement les cartes. Entre la beauté froide de Laurence Olivier, la gouvernante flippante où le travail incroyable sur les ombres... Vraiment un film à voir.
Adieu Monsieur Haffmann de Fred Cavayé
Ce drame historique en huis-clos est un bon film malgré quelques longueurs dans sa première partie néanmoins. Un face à face entre Daniel Auteuil et Gilles Lellouche où le premier, juif, est caché un peu contre son gré par le second durant l'Occupation. Avec Sara Giraudeau en victime collatéral. Le scénario est parfois assez malsain devenant de plus en plus tendu avec cette histoire de salaud opportuniste dont les parts d'ombres sont illuminées par une époque troublée. La mise en scène au plus près des acteurs fonctionne en étant très efficace.
Sell kids for food
J'ai vu Rebecca il y a très longtemps, vers 1995 ou 1996, dans le cadre du cinéma de minuit sur France 3.
Et j'ai lu le livre Rebecca de Daphné Du Maurier l'année dernière justement.
C'est un très bon livre, et je pense que le film est assez fidèle au livre.
Let my beauty intoxicate you
Effectivement, le producteur Selznick avait vraiment fait en sorte que cela soit le plus fidèle possible car il en avait marre qu'on lui rabâche les libertés d'adaptation de Autant en emporte le vent
Sell kids for food