Analyse N°7
Disney a fait des films d'animation mais ils ont fait des films avec de vrais acteurs, avec de vraies stars. « Vingt mille lieues sous les mers » est un film d'aventures formidable au cœur de l'océan. Mais la séquence choisie n'est pas sur l'eau, mais sur la terre, intrigante, puis effrayante. Le film a une mis en scène classique puisque nous sommes dans les années 50, très peu de mouvements de travelling, mais elle a créé son petit effet.
5 Commentaires
C'est du racisme mais sans haine raciale. Plutôt de la naïveté, de l'ignorance et du mépris pour le noir inférieur au niveau de la civilisation. Je pense que pour les occidentaux de l'époque, être inférieur au niveau technologique c'était être inférieur tout court. Même en droit...
D'ailleurs Némo n'éprouve aucun sentiment lors de l'électrocution. Comme si ses victimes n'étaient pas vrraiment ses semblables.
Un peu comme Tintin au Congo. Le noir forcément débile et maléable. Ça me semble la même vision hautaine des occidentaux.
Mettre un blanc cannibale ça serait moins crédible aux yeux du scénariste dans cet extrait.
Après c'était une tout autre époque, je cherche pas à les flageler non plus.
Je comprends tout à fait. Ta réflexion me fait poser une question, est ce que la vision du sauvage cannibale dans le film est la même que dans le livre ? Je ne l'ai pas lu, je ne sais pas du coup.
Moi non plus. Je n'ai lu que "Le tour du monde en 80 jours" de Verne.
J'ai adoré ce film ;) cela faisait longtemps, je vais me le refaire tiens.
Ce passage c'est quand même un peu caricatural je trouve avec les indigènes en costumes :p
complètement !