DuckTales est un jeu vidéo de plateforme adapté de la série d'animation "La Bande à Picsou", développé et édité par Capcom, d'abord sorti aux USA sur Nintendo Entertainment System en 1989 puis porté sur Game Boy l'année suivante, jouable a 1 joueur.
Le soft vous propose de suivre les périples de "La Bande a Picsou" a la recherche de trésors cachés autour du globe et lune (5 lieux), trois niveaux de difficulté permettant de corser la progression ponctuée par l'apparition de plusieurs personnages du dessin animé.
Picsou peut sauter, utiliser sa canne pour envoyer des projectiles sur ses différents adversaires ou pour rebondir lors d'un saut pour atteindre une plus grande hauteur, en plus des nombreux ennemis, insectes, animaux, fantômes, le joueur doit affronter des adversaires issus de la série animée, cependant attention a diverses hits box et a la précision exigé, les niveaux sont également des lieux de la série télévisée, connus pour leurs trésors légendaires, "The Amazon" à travers la forêt jusqu'au temple Toltèque, "Transylvania" un labyrinthe dans les couloirs d'un château hanté, "African Mines" les galeries sans fin d'une mine de diamants en Afrique du Sud, "The Himalayas" l'ascension d'un sommet de l'Himalaya et la traversée d'une caverne de glace et "The Moon" un vaisseau extraterrestre géant à la surface de la lune, lorsque ces 5 niveaux sont terminés le joueur est envoyé à nouveau dans le niveau "Transylvania" où il doit parcourir un chemin différent pour trouver et affronter le boss ultime, chacun de ces niveaux peut être fait dans n'importe quel ordre, pour atteindre le boss de "African Mines" une clé est nécessaire que l'on trouve dans Transylvania (elle se trouve au premier miroir).
Contrairement aux apparences, bien que ça soit un jeu Disney, que le mode facile soit présent, le jeu est loin d’être simple, la difficulté consiste surtout a faire le tout d'une traite avec 3 vies (perdre au boss oblige a refaire une partie du niveau), ça reste un bon jeu.
DuckTales 2 est un jeu vidéo de plateforme adapté de la série d'animation éponyme "La Bande à Picsou", développé et édité par Capcom sur sur Nintendo Entertainment System et sur Game Boy en 1993, il est la suite du jeu DuckTales, jouable a 1 joueur.
Vous incarnez Picsou qui est à la recherche du trésor caché de McDuck, pour le trouver il devra récupérer les différents morceaux de la carte au trésor a travers 5 niveaux différents, il se pourrait qu'une de ces vieilles connaissances soit également sur la trace du trésor...
Tout comme dans le premiers opus Picsou rencontrera des personnages connus de Disney dont ses neveux sur lesquels il peut compter pour le guider dans sa quête, ainsi que sur ses amis Flagada Jones et Géo Trouvetou, les mouvements de Picsou sont le saut, le coup de canne lui permettant de frapper dans divers ennemis (variés), objets ou de les tirer, le coup de canne vertical effectué lors d'un saut lui permettant de rebondir sur le sol afin de sauter plus haut, les 5 niveaux présents sont variés et a choisir sur un carte toujours dans n'importe quel ordre comme dans le premier opus se trouvant a Niagara, Bermudes, Île de Mu, Égypte et Écosse, il nous est toujours possible de choisir la difficulté mais cette fois si on meurt au boss on a plus a refaire une partie du niveau on repart de suite a condition d'avoir une vie restante ce qui de mon point de vue est un bon point, une OST de haute volé dans la ligné du premier opus.
Je trouve globalement DuckTales 2 plus aboutie que le premier opus, notamment au niveau des hits box mais aussi car il est moins punitif et Picsou est plus souple, ceci étant dit on a toujours que 3 vies et tout faire d'une traite n'est pas aisé, très bon jeu.
Mdr, en écrivant la présentation du second je me suis rendu compte que j'en ai pas parlé pour le premier, du coup je l'ai glissé en fin de paragraphe (pour preuve j'ai pas édité) ^^.
Pour te répondre rapidement avant d'enchainer sur la 3eme présentation, Duck Tales 2 est a Duck Tales ce que TMNT3 est a TMNT2, un jeu qui reprend les mêmes éléments qui ont en fait le succès mais en mettant le chocolat dessus.
Au départ je voulais prendre en exemple Chip 'n Dale 1 et 2 pour rester dans l'esprit Disney, mais préférant nettement le second, ce qui n’est pas le cas de tout le monde qui eux préfèrent le premier, l'exemple de TMNT 2 et 3 me semblait plus pertinent pour synthétiser ma pensée.
Rad Racer (Highway Star au Japon) est un jeu vidéo de course automobile avec un effet 3D, développé et édité par Square en 1987 pour la console Nintendo Entertainment System, une suite a été publié aux USA uniquement en 1990, jouable a 1 joueur.
Considéré comme la réponse de Nintendo a Out Run de son concurrent Sega sorti une année plutôt, au Japon sur Famicom sous le nom Highway Star, pour sa sortie Américaine ce nom fut changé pour éviter l'homonymie avec le tube Highway Star de Deep Purple.
Il s'agit ici de prendre une voiture ou une F1 et d'atteindre la ligne d'arrivé des 8 courses présentes dans les temps, pour cela des checkpoints le long de la route augmenteront votre réserve de temps, il vous faudra donc éviter des accidents en évitant les concurrents.
Le gameplay n'est pas sans rappeler celui de Out Run, jusqu'au changement de thème musical sur l'autoradio de la voiture où le joueur a le choix entre l'absence de musique ou l'une des trois musiques composées par Nobuo Uematsu, compositeur connu pour ses œuvres dans la série Final Fantasy, le jeu propose une série de 8 courses (Sunset Coastline, San Francisco Highway, Grand Canyon, Ruins of Athens, Los Angeles Night Way, Snow White Line, Seaway in Typhoon, Last Seaside Running) sur route où le joueur doit passer différents checkpoints avec une limite de temps au volant d'une Ferrari ou d'une F1, en cas de collision avec une autre voiture ou un obstacle le véhicule est immobilisé pendant un moment (un peu long a mon avis) avant de pouvoir redémarrer, le jeu permet d'avoir un effet 3D en mettant des lunettes bicolores fournies, une technique deja utilisé par Square sur un titre sorti la même année.
Un jeu de course étonnamment intéressant de la console dont le genre n'est pas le point fort, le plus difficile sera ici d'enchainer les 8 courses sans perdre, un échec nous fait recommencer du début, cela dit avec les save states la perspective est différente, sympa/bon.
Hino Tori Hououhen "Phoenix Chronicles" est un jeu vidéo de type plateforme développé et édité par Konami en 1987 sur Famicom au Japon, en parallèle avec une version MSX, toutes deux basés sur le manga "Phoenix" créée par Osamu Tezuka, jouable a 1 joueur.
L’objectif du joueur est de guider Gaou à travers chacun des 16 niveaux du jeu, l’évolution se faisant de gauche a droite, pour recueillir les 16 fragments de sculpture en battant les boss présents dans les niveaux afin de restaurer la sculpture du "Phoenix".
En battant un boss qui attend à la fin de chaque niveau, on obtient l’un des fragments de sculpture, dans certains niveaux au lieu d’un boss on doit éviter un piège comme la chute de rochers ou détruire un mur qui nous bloque le passage afin de progresser, on peut tirer sur les ennemis qui se transforment alors en cubes qu'on peut ramasser et placer a tout moment devant nous pour grimper dessus, faire des escaliers, passer au dessus d'ennemis, nous rattraper en chute libre, etc..., on a trois vies, une barre de vie composé de plusieurs unités, lorsque on entre en contact avec un ennemi ou un projectile d'un ennemi on perd une unité de la barre de vie, quand on en a plus, on perd une vie, tomber dans une fosse ou ne pas terminer dans le temps imparti on perd une vie, en outre si on se trouve dans une situation où on est piégé, on peut s’auto détruire afin de recommencer le niveau, si on perd toutes nos vies on a la possibilité d'utiliser un "Continue" qui nous permet de continuer à partir du niveau en cours, le jeu se révèle plutôt difficile faudra être attentif.
Une présentation difficile a écrire car le jeu est assez particulier par rapport a ce qu'on peut voir habituellement dans un jeu de plateforme classique, j'ai hésité a le présenter mais son originalité m'a convaincu, jeu sympa a au moins essayer pour voir.
Mega Man (Rockman au Japon) est un jeu de type action plateforme développé et édité par Capcom en 1987, sur Nintendo Entertainment System, il s'agit ici du premier opus de la franchise Mega Man d'une longue série, jouable a 1 joueur.
Le jeu met en scène le robot humanoïde Mega Man luttant contre le savant fou Dr Wily et ses six Robot Masters (ayant un point faible), le joueur peut choisir l'ordre dans lequel effectuer les six niveaux de départ, chacun se termine par un combat contre un boss dont la victoire permet à Mega Man d'obtenir de chacun d'entre eux une arme unique lui permettant de venir à bout des autres boss.
Mega Man est un jeu de plateforme ou on tire sur adversaires, composé de six niveaux comportant un univers lié au boss de celui ci, ils peuvent être joués dans n'importe quel ordre mais ou le joueur est contraint de trouver l'ordre selon les faiblisses des boss car a chaque fois l'un d'entre eux vaincu, on récupère son attaque signature ou une arme spéciale qui nous permet de vaincre un autre boss sensible à celle ci, une fois ceux ci éliminés un niveau final divisé en quatre parties se débloque comportant quatre nouveaux boss en plus de ceux deja battus avant de pouvoir afronter le boss final, dans chaque niveau le personnage combat de nombreux ennemis et doit franchir des plateformes avant d'affronter un boss, Mega Man change de couleur en fonction de l'arme utilisée, si l'arme de base a des munitions infini, celles obtenus ensuite sont limités et se rechargent en collectant des items de petite ou grande taille laissés par les ennemis après leurs mort, quand notre personnage est touché il clignote et devient invincible pendant quelques instants, en plus des armes le joueur peut récupérer un générateur de plateforme et régénérer la santé dropés aléatoirement par les ennemis battus.
La surenchère est en place, le jeu bénéficie d'une difficulté très élevée car contrairement aux opus suivant ici il n'y a pas de mot de passe (ni de save), le joueur est contraint de finir le jeu d'une traite, autant dire qu'il faudra s’accrocher en jouant legit, sympa.
Oui, mais les continues sont illimités et c'est l'épisode le plus court de la série (deux Robot Masters en moins, une seule forteresse), donc il n'est pas si dur que ça à terminer d'une seule traite. Sinon, il n'y a pas de phases de shoot.
DuckTales est un jeu vidéo de plateforme adapté de la série d'animation "La Bande à Picsou", développé et édité par Capcom, d'abord sorti aux USA sur Nintendo Entertainment System en 1989 puis porté sur Game Boy l'année suivante, jouable a 1 joueur.
Le soft vous propose de suivre les périples de "La Bande a Picsou" a la recherche de trésors cachés autour du globe et lune (5 lieux), trois niveaux de difficulté permettant de corser la progression ponctuée par l'apparition de plusieurs personnages du dessin animé.
Picsou peut sauter, utiliser sa canne pour envoyer des projectiles sur ses différents adversaires ou pour rebondir lors d'un saut pour atteindre une plus grande hauteur, en plus des nombreux ennemis, insectes, animaux, fantômes, le joueur doit affronter des adversaires issus de la série animée, cependant attention a diverses hits box et a la précision exigé, les niveaux sont également des lieux de la série télévisée, connus pour leurs trésors légendaires, "The Amazon" à travers la forêt jusqu'au temple Toltèque, "Transylvania" un labyrinthe dans les couloirs d'un château hanté, "African Mines" les galeries sans fin d'une mine de diamants en Afrique du Sud, "The Himalayas" l'ascension d'un sommet de l'Himalaya et la traversée d'une caverne de glace et "The Moon" un vaisseau extraterrestre géant à la surface de la lune, lorsque ces 5 niveaux sont terminés le joueur est envoyé à nouveau dans le niveau "Transylvania" où il doit parcourir un chemin différent pour trouver et affronter le boss ultime, chacun de ces niveaux peut être fait dans n'importe quel ordre, pour atteindre le boss de "African Mines" une clé est nécessaire que l'on trouve dans Transylvania (elle se trouve au premier miroir).
Contrairement aux apparences, bien que ça soit un jeu Disney, que le mode facile soit présent, le jeu est loin d’être simple, la difficulté consiste surtout a faire le tout d'une traite avec 3 vies (perdre au boss oblige a refaire une partie du niveau), ça reste un bon jeu.
Sans oublier l'OST de qualité. ^^
Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCuTB6hjuEZB_d8faOCzPT-A/videos
Mes Soundcloud: https://soundcloud.com/umbasathesun/tracks
DuckTales 2 est un jeu vidéo de plateforme adapté de la série d'animation éponyme "La Bande à Picsou", développé et édité par Capcom sur sur Nintendo Entertainment System et sur Game Boy en 1993, il est la suite du jeu DuckTales, jouable a 1 joueur.
Vous incarnez Picsou qui est à la recherche du trésor caché de McDuck, pour le trouver il devra récupérer les différents morceaux de la carte au trésor a travers 5 niveaux différents, il se pourrait qu'une de ces vieilles connaissances soit également sur la trace du trésor...
Tout comme dans le premiers opus Picsou rencontrera des personnages connus de Disney dont ses neveux sur lesquels il peut compter pour le guider dans sa quête, ainsi que sur ses amis Flagada Jones et Géo Trouvetou, les mouvements de Picsou sont le saut, le coup de canne lui permettant de frapper dans divers ennemis (variés), objets ou de les tirer, le coup de canne vertical effectué lors d'un saut lui permettant de rebondir sur le sol afin de sauter plus haut, les 5 niveaux présents sont variés et a choisir sur un carte toujours dans n'importe quel ordre comme dans le premier opus se trouvant a Niagara, Bermudes, Île de Mu, Égypte et Écosse, il nous est toujours possible de choisir la difficulté mais cette fois si on meurt au boss on a plus a refaire une partie du niveau on repart de suite a condition d'avoir une vie restante ce qui de mon point de vue est un bon point, une OST de haute volé dans la ligné du premier opus.
Je trouve globalement DuckTales 2 plus aboutie que le premier opus, notamment au niveau des hits box mais aussi car il est moins punitif et Picsou est plus souple, ceci étant dit on a toujours que 3 vies et tout faire d'une traite n'est pas aisé, très bon jeu.
Mdr, en écrivant la présentation du second je me suis rendu compte que j'en ai pas parlé pour le premier, du coup je l'ai glissé en fin de paragraphe (pour preuve j'ai pas édité) ^^.
Bah moi tu vois je viens d'apprendre que y'avais un DuckTales 2, LOUL. XD
Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCuTB6hjuEZB_d8faOCzPT-A/videos
Mes Soundcloud: https://soundcloud.com/umbasathesun/tracks
Pour te répondre rapidement avant d'enchainer sur la 3eme présentation, Duck Tales 2 est a Duck Tales ce que TMNT3 est a TMNT2, un jeu qui reprend les mêmes éléments qui ont en fait le succès mais en mettant le chocolat dessus.
Au départ je voulais prendre en exemple Chip 'n Dale 1 et 2 pour rester dans l'esprit Disney, mais préférant nettement le second, ce qui n’est pas le cas de tout le monde qui eux préfèrent le premier, l'exemple de TMNT 2 et 3 me semblait plus pertinent pour synthétiser ma pensée.
Rad Racer (Highway Star au Japon) est un jeu vidéo de course automobile avec un effet 3D, développé et édité par Square en 1987 pour la console Nintendo Entertainment System, une suite a été publié aux USA uniquement en 1990, jouable a 1 joueur.
Considéré comme la réponse de Nintendo a Out Run de son concurrent Sega sorti une année plutôt, au Japon sur Famicom sous le nom Highway Star, pour sa sortie Américaine ce nom fut changé pour éviter l'homonymie avec le tube Highway Star de Deep Purple.
Il s'agit ici de prendre une voiture ou une F1 et d'atteindre la ligne d'arrivé des 8 courses présentes dans les temps, pour cela des checkpoints le long de la route augmenteront votre réserve de temps, il vous faudra donc éviter des accidents en évitant les concurrents.
Le gameplay n'est pas sans rappeler celui de Out Run, jusqu'au changement de thème musical sur l'autoradio de la voiture où le joueur a le choix entre l'absence de musique ou l'une des trois musiques composées par Nobuo Uematsu, compositeur connu pour ses œuvres dans la série Final Fantasy, le jeu propose une série de 8 courses (Sunset Coastline, San Francisco Highway, Grand Canyon, Ruins of Athens, Los Angeles Night Way, Snow White Line, Seaway in Typhoon, Last Seaside Running) sur route où le joueur doit passer différents checkpoints avec une limite de temps au volant d'une Ferrari ou d'une F1, en cas de collision avec une autre voiture ou un obstacle le véhicule est immobilisé pendant un moment (un peu long a mon avis) avant de pouvoir redémarrer, le jeu permet d'avoir un effet 3D en mettant des lunettes bicolores fournies, une technique deja utilisé par Square sur un titre sorti la même année.
Un jeu de course étonnamment intéressant de la console dont le genre n'est pas le point fort, le plus difficile sera ici d'enchainer les 8 courses sans perdre, un échec nous fait recommencer du début, cela dit avec les save states la perspective est différente, sympa/bon.
Hino Tori Hououhen "Phoenix Chronicles" est un jeu vidéo de type plateforme développé et édité par Konami en 1987 sur Famicom au Japon, en parallèle avec une version MSX, toutes deux basés sur le manga "Phoenix" créée par Osamu Tezuka, jouable a 1 joueur.
L’objectif du joueur est de guider Gaou à travers chacun des 16 niveaux du jeu, l’évolution se faisant de gauche a droite, pour recueillir les 16 fragments de sculpture en battant les boss présents dans les niveaux afin de restaurer la sculpture du "Phoenix".
En battant un boss qui attend à la fin de chaque niveau, on obtient l’un des fragments de sculpture, dans certains niveaux au lieu d’un boss on doit éviter un piège comme la chute de rochers ou détruire un mur qui nous bloque le passage afin de progresser, on peut tirer sur les ennemis qui se transforment alors en cubes qu'on peut ramasser et placer a tout moment devant nous pour grimper dessus, faire des escaliers, passer au dessus d'ennemis, nous rattraper en chute libre, etc..., on a trois vies, une barre de vie composé de plusieurs unités, lorsque on entre en contact avec un ennemi ou un projectile d'un ennemi on perd une unité de la barre de vie, quand on en a plus, on perd une vie, tomber dans une fosse ou ne pas terminer dans le temps imparti on perd une vie, en outre si on se trouve dans une situation où on est piégé, on peut s’auto détruire afin de recommencer le niveau, si on perd toutes nos vies on a la possibilité d'utiliser un "Continue" qui nous permet de continuer à partir du niveau en cours, le jeu se révèle plutôt difficile faudra être attentif.
Une présentation difficile a écrire car le jeu est assez particulier par rapport a ce qu'on peut voir habituellement dans un jeu de plateforme classique, j'ai hésité a le présenter mais son originalité m'a convaincu, jeu sympa a au moins essayer pour voir.
Mega Man (Rockman au Japon) est un jeu de type action plateforme développé et édité par Capcom en 1987, sur Nintendo Entertainment System, il s'agit ici du premier opus de la franchise Mega Man d'une longue série, jouable a 1 joueur.
Le jeu met en scène le robot humanoïde Mega Man luttant contre le savant fou Dr Wily et ses six Robot Masters (ayant un point faible), le joueur peut choisir l'ordre dans lequel effectuer les six niveaux de départ, chacun se termine par un combat contre un boss dont la victoire permet à Mega Man d'obtenir de chacun d'entre eux une arme unique lui permettant de venir à bout des autres boss.
Mega Man est un jeu de plateforme ou on tire sur adversaires, composé de six niveaux comportant un univers lié au boss de celui ci, ils peuvent être joués dans n'importe quel ordre mais ou le joueur est contraint de trouver l'ordre selon les faiblisses des boss car a chaque fois l'un d'entre eux vaincu, on récupère son attaque signature ou une arme spéciale qui nous permet de vaincre un autre boss sensible à celle ci, une fois ceux ci éliminés un niveau final divisé en quatre parties se débloque comportant quatre nouveaux boss en plus de ceux deja battus avant de pouvoir afronter le boss final, dans chaque niveau le personnage combat de nombreux ennemis et doit franchir des plateformes avant d'affronter un boss, Mega Man change de couleur en fonction de l'arme utilisée, si l'arme de base a des munitions infini, celles obtenus ensuite sont limités et se rechargent en collectant des items de petite ou grande taille laissés par les ennemis après leurs mort, quand notre personnage est touché il clignote et devient invincible pendant quelques instants, en plus des armes le joueur peut récupérer un générateur de plateforme et régénérer la santé dropés aléatoirement par les ennemis battus.
La surenchère est en place, le jeu bénéficie d'une difficulté très élevée car contrairement aux opus suivant ici il n'y a pas de mot de passe (ni de save), le joueur est contraint de finir le jeu d'une traite, autant dire qu'il faudra s’accrocher en jouant legit, sympa.
Oui, mais les continues sont illimités et c'est l'épisode le plus court de la série (deux Robot Masters en moins, une seule forteresse), donc il n'est pas si dur que ça à terminer d'une seule traite. Sinon, il n'y a pas de phases de shoot.