Allez, pour poursuivre l'appel de Pang Tong à ne pas oublier la gent féminine, voici la voix de Liz Fraser avec un morceau dont le titre a tout l'air d'être lui aussi un hommage rendu à la femme.
Alors je ne sais pas trop pourquoi, mais j'adore ta dernière vidéo, Pang Tong, je l'ai écoutée une dizaine de fois. C'est dommage, il manque une envolée lyrique à la fin, je reste un peu sur ma faim, mais j'adore cette performance.
Je suis bien content qu'elle te plaise :-)
J'avoue qu'elle me fait beaucoup d'effet, surtout quand je suis à l'étranger. Je ne suis pas Bruxellois mais j'ai du passer pas mal de temps là-bas, notamment pour mes recherches, donc cette ville à une saveur particulière pour moi. Et puis, c'est la capitale de la Belgique une fois !
Et alors, c'est drôle comment chacun peut se faire une interprétation différente d'une même œuvre. Perso, je trouve qu'elle finit vraiment bien. C'est un peu un type timide qui lance sa déclaration d'amour, très discrètement d'abord, puis, prenant la confiance, l'affirme de plus en plus jusqu'à être rattrapé par sa timidité, le faisant finir tout en douceur en disant à Paris un discret "au revoir".
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Merci, Pang Tong, pour le coup de projo sur Dick Annegarn, même si cet immense artiste, au talent peu reconnu, a toujours été allergique à la lumière. Avec sa réserve, sa timidité (comme tu dis), avec ses hésitations, il semble pareil à un paralytique endormi rêvant qu'il marche. Quand on l’écoute, on a la sensation qu’il déplore que la chanson soit une religion sans espoir. Il s'y épuise en sachant que ce qu'il dit, ce qu'il joue à la guitare, n'est après tout qu'un numéro de funambule sur une corde peu solide. Il se console sous prétexte que sa chanson participe à quelque mystère plus solide. Mais cet espoir, au fond, vient de ce que tout homme est une nuit ou abrite une nuit. Et peu d’artistes comme lui savent mettre cette nuit en plein jour. Aussi, en réponse, je propose un duo qu’il a fait avec un artiste comme lui qui préfère fuir les sunlights des plateaux télé, à savoir Mathieu Boogaerts.
Merci beaucoup kcchris pour cette version live. Je vais te suivre par un clin d’oeil à Michel Legrand, qui vient de partir pour les étoiles, avec sans doute la musique la plus morriconienne qu’il ait écrite. Il s’agit de la partition pour de The Go-Between (Le Messager), film de 1971 signé Joseph Losey. Un thème que l’on connaît tous puisqu’il a servi de générique à une célèbre émission de télé traitant d’enquêtes criminelles. Je ne sais si cette émission existe toujours, mais je n’ai pas souvenir que le nom de Michel Legrand était cité à la fin. Justice est faite. Amen et tutti quanti.
@ Trikounet : Eddie Rabbit ! I love a rainy night à jamais dans mon coeur depuis GTA San Andreas
Puisque je parlais de BO, ce morceau je le connais grâce à celle des Affranchis.
Sell kids for food
P'tit medley fantaisiste ^^
La première est en grande partie en Yiddish.
C'est pas la version que je veux mais elle fera l'affaire ;-)
P'tite dernière pour me faire plaisir — mais le "x" de Bruxelles se prononce "s" s'il vous plaît
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Alors je ne sais pas trop pourquoi, mais j'adore ta dernière vidéo, Pang Tong, je l'ai écoutée une dizaine de fois. C'est dommage, il manque une envolée lyrique à la fin, je reste un peu sur ma faim, mais j'adore cette performance.
Je suis bien content qu'elle te plaise :-)
J'avoue qu'elle me fait beaucoup d'effet, surtout quand je suis à l'étranger. Je ne suis pas Bruxellois mais j'ai du passer pas mal de temps là-bas, notamment pour mes recherches, donc cette ville à une saveur particulière pour moi. Et puis, c'est la capitale de la Belgique une fois !
Et alors, c'est drôle comment chacun peut se faire une interprétation différente d'une même œuvre. Perso, je trouve qu'elle finit vraiment bien. C'est un peu un type timide qui lance sa déclaration d'amour, très discrètement d'abord, puis, prenant la confiance, l'affirme de plus en plus jusqu'à être rattrapé par sa timidité, le faisant finir tout en douceur en disant à Paris un discret "au revoir".
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Un petit coucou ^^
Je me suis perdu et le topic m'intriguait.
Je suis tombé sur ça par hasard.
Vu la perf, j'ai du mal à m'en passer.
@Pang Tong : d'accord avec ton interprétation, je crois que ce qui me déçoit le plus, c'est que ce soit aussi court. Mais j'adore !
@kcchris : joli, dommage que les trompettistes ne soient pas à la hauteur, faut qu'ils balancent la sauce, bon sang !
On change de style avec le flic le plus badass ever : Singham !
En plus, il aide les gens, il est très gentil.
L'Inde, c'est quand même une autre culture ^^
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
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