Tiraillement éternel
Entre un esprit né du ciel et d'un cœur né de la terre
La lutte est pénible...
Déchirés, l'un devient glacial et l'autre sombre
Souvenirs radieux deviennent malheureux
L'instant fade et le futur incertain
L'abysse est mon château
ma maison
mon temple
ma prison
et mon tombeau
Il est aussi mes joies, mes peines et mon reflet
Petit poème, si ça vous branche, j'en ai quelques autres ;) !
Le punis
La correction s'est chez moi une addiction,
Rupture dans mes gestes, vos yeux me guettent,
Des questions sont en moi,telle l'éruption,
Aventure sans tempêtes, nos vœux nous restent,
Les actions seront punis, votre mépris,
Désinvolture sur votre ligne, me lâche,
La punition, elle l'éperon, je ris,
La droiture, celle des bons, se fâche,
Une sentence noire face au bélier blanc,
Vos cris rouges passent, courant,sur ma jeune peau,
De l’errance du soir aux matins naissants,
Une pluie se bouge dans la boîte, mon cerveau,
Qu'ai-je donc fais maman ? ma race est l'enfant,
Lie moi à cette image, toi lumière,moi à terre,
Vais-je donc créer maman ? la case des méchants,
Jouis tu, toi, sur cette page sans brouillons amers,
Comprends-tu les rébus que je fus pour toi ?
Le poids de tes mots, je cherche de vert radeaux,
Rends-tu aux émus ce qui faisait leur joie ?
Et moi, que je suis sot, je prêche mes flambeaux,
Statue, toi qui me punis, moi je grandis,
M'as tu seulement appris, sans punir,
L'élue, roi qui me pétrit, là je rétrécis,
Vas-tu maintenant aux cris, prendre et luire.
J'aime bien tes poèmes Straight', même si je trouve les mots un peu trop courant. Ce que je veux dire par là, c'est qu'on voit toujours les mêmes mots dans les poèmes, enfin souvent, même pour les miens, ça a tendance à m'agacer :p ! Mais j'aime bien, c'est sympa puis assez loin des sentiers communs dans la forme.
Poésie pour la St-Valentin: Le matin je n'ai pas mangé, car j'ai pensé à toi. A midi je n'ai pas mangé, car j'ai pensé à toi. Le soir je n'ai pas mangé, car j'ai pensé à toi. La nuit, je n'ai pas dormi, CAR J'AVAIS FAIM !
Victor Hugo, l'emblème républicain, le défenseur humain de la Commune, le jouisseur sexuel, l'amour paternel, l'enfant monarchiste, le grand père socialiste des beaux arts, le poète philosophe représente à lui seul la France !
" Dès à présent dans nos misères
Germe l'hymen des peuples frères "
" Au fond des cieux un point scintille.
Regardez, il grandit, il brille,
Il approche, énorme et vermeil.
O République universelle,
Tu n'es encore que l'étincelle,
Demain tu seras le soleil ! ... "
Tiraillement éternel
Entre un esprit né du ciel et d'un cœur né de la terre
La lutte est pénible...
Déchirés, l'un devient glacial et l'autre sombre
Souvenirs radieux deviennent malheureux
L'instant fade et le futur incertain
L'abysse est mon château
ma maison
mon temple
ma prison
et mon tombeau
Il est aussi mes joies, mes peines et mon reflet
Etre responsable c'est être ivre de la vie :) C'est pour moi la plus grande forme d'ivresse inévitable...
Bead sprite / pixel art à foison ! :D
===> http://www.ebay.fr/usr/steved2323
Petit poème, si ça vous branche, j'en ai quelques autres ;) !
Le punis
La correction s'est chez moi une addiction,
Rupture dans mes gestes, vos yeux me guettent,
Des questions sont en moi,telle l'éruption,
Aventure sans tempêtes, nos vœux nous restent,
Les actions seront punis, votre mépris,
Désinvolture sur votre ligne, me lâche,
La punition, elle l'éperon, je ris,
La droiture, celle des bons, se fâche,
Une sentence noire face au bélier blanc,
Vos cris rouges passent, courant,sur ma jeune peau,
De l’errance du soir aux matins naissants,
Une pluie se bouge dans la boîte, mon cerveau,
Qu'ai-je donc fais maman ? ma race est l'enfant,
Lie moi à cette image, toi lumière,moi à terre,
Vais-je donc créer maman ? la case des méchants,
Jouis tu, toi, sur cette page sans brouillons amers,
Comprends-tu les rébus que je fus pour toi ?
Le poids de tes mots, je cherche de vert radeaux,
Rends-tu aux émus ce qui faisait leur joie ?
Et moi, que je suis sot, je prêche mes flambeaux,
Statue, toi qui me punis, moi je grandis,
M'as tu seulement appris, sans punir,
L'élue, roi qui me pétrit, là je rétrécis,
Vas-tu maintenant aux cris, prendre et luire.
J'aime bien tes poèmes Straight', même si je trouve les mots un peu trop courant. Ce que je veux dire par là, c'est qu'on voit toujours les mêmes mots dans les poèmes, enfin souvent, même pour les miens, ça a tendance à m'agacer :p ! Mais j'aime bien, c'est sympa puis assez loin des sentiers communs dans la forme.
http://onenvoudraitdixparrue.overblog.com/
Poésie pour la St-Valentin:
Le matin je n'ai pas mangé, car j'ai pensé à toi. A midi je n'ai pas mangé, car j'ai pensé à toi. Le soir je n'ai pas mangé, car j'ai pensé à toi. La nuit, je n'ai pas dormi, CAR J'AVAIS FAIM !
Y seguí
Con el espíritu revolucionario !
Y seguí
con los ideales pacifistas !
Y seguí
Conservando mis sentimientos de libertad !
Y sigo
Con los deseos de ver libre a mi hermano !
Break the violence
Enjoy the silence
Can you hear me ?
I’m drug free !
Little mark on society
Revolution, you can trust me !
Can you hear me ?
I’m poison free !
All that you want is to criticize
We’ll be the best in the world !
All that we want is to feel inside
I’m the Best In The World !
Can you hear me ?
I’m drug free !
I fuck you’re ideology
Because you’re a Bully
Can you hear me ?
I’m poison free !
Fight against the wall
We can end it all
Can you hear me ?
I’m drug free !
I’m right here
To right the wrong
Straight Edge is clear
My life is strong
Can you hear me ?
I’m poison free !
Nothingness !
Voice of the Voiceless !
Can you hear me ?
I’m drug free !
You’re Drunk !
I’m Punk !
Can you hear me ?
I’m poison free !
Best In The World
Moi, j'aime bien, Victor Hugo ^^
Moi aussi, des gens comme lui, il y en à plus beaucoup aujourd'hui, malheureusement .
Bah oui, ils e suicident.
Victor Hugo, l'emblème républicain, le défenseur humain de la Commune, le jouisseur sexuel, l'amour paternel, l'enfant monarchiste, le grand père socialiste des beaux arts, le poète philosophe représente à lui seul la France !
" Dès à présent dans nos misères
Germe l'hymen des peuples frères "
" Au fond des cieux un point scintille.
Regardez, il grandit, il brille,
Il approche, énorme et vermeil.
O République universelle,
Tu n'es encore que l'étincelle,
Demain tu seras le soleil ! ... "