[Topic récapitulatif] Concours Troll Test

"Un scénario totalement "World driven" imparable"

La princesse c'est faite enlevée par Bowser!!!
C'est derrière ce synopsis simple mais tellement efficace que se cache la plus grande force de ce SMW. En effet, il vous suffira d'entrer dans un niveau pour comprendre que ce sont l'ambiance et le level design qui guident le joueur à travers cette aventure épique. Un scénario totalement "World driven" imparable, qui saura émouvoir les joueurs les plus réceptifs. Une claque, dont je vous dispenserai des détails par peur de vous spoiler!

"Imprécis, fade, sans relief... Les termes manquent et c'est d'autant plus dommageable que Nintendo avait déjà été mis en garde à la sortie de Super mario bros 3."

Bon c'est peut-être la que le bat blesse, votre serviteur vous l'avoue, il n'a pas accroché du tout au gameplay de ce nouvel opus de Mario. Imprécis, fade, sans relief... Les termes manquent et c'est d'autant plus dommageable que Nintendo avait déjà été mis en garde à la sortie de Super mario bros 3. Faisons un léger récapitulatif des features, avant de rapidement passer à autre chose tant cet aspect du jeu est bâclé: deux types de saut, une espèce de monture dont je ne me souviens même plus le nom (m'étonnerait qu'on en entende beaucoup parler dans le futur de celui-là), des fleurs cracheuses de feu et des boulets de canon géants... Le tout pouvant être survolé aussi vite qu'il faut pour le dire à partir du moment ou Mario obtient la cape (en touchant une plume... N'importe quoi!!!)

"les champignons qui marchent et les plantes qui n'attendent que de croquer de la fesse, vous m'excuserez mais ça commence légèrement à bien faire!"

Et encore, si ça allait sur le plan technique, mais là aussi faudra me dire ce qu'il fume le père Tendo, parce que j'en veux. Déjà, la texture de moustache fait peine à voir, il est ou le fameux mode 7 promis? La grenouille que Mario peut chevaucher est rabougrie et ses animations complètement incongrues: vous avez déjà vu une grenouille courir comme un dinosaure? Non? Alors testez Super Mario World, vous risquez d'être surpris. Sinon les champignons qui marchent et les plantes qui n'attendent que de croquer de la fesse, vous m'excuserez mais ça commence légèrement à bien faire! Niveau sonore c'est du vu et revu, pas de quoi s'attardé la dessus.

"Une licence sans avenir dont Nintendo va vite devoir se délester"

Rédigé par: J.Chaiz

On peut dire qu’on l’a attendue, cette légende arthurienne revisitée par nos (faux) amis japs. Bien mal nous en a pris. Et pourtant, on ne pourra pas dire qu’on n’était pas prévenus.

Je reprends difficilement la plume, à défaut de pouvoir reprendre mes esprits, et me lance, dans un dernier râle de douleur, dans la rédaction de ce qui sera sans doute mon dernier test. Mon testament quoi. Ne riez pas trop vite à la lecture de ce jeu de mots avarié, ce pourrait aussi être le vôtre.

La légende du cavalier sans fut’

5 ans après la débâcle « Ghosts and Goblins » (mes yeux saignent à la relecture de ce titre, les vôtres doivent déjà commencer à piquer), les mecs de chez capcom retentent le coup et nous resservent leur mixture infâme sous le nom de Super Ghouls n' Ghosts. On prend les mêmes ingrédients que dans le premier et on recommence :

-Graphismes vides, à l’image du scénario. « C’est le néant », comme dirait notre ami golem de pierre de l’Histoire sans fin. Vous êtes étendus en calbut avec une demoiselle aux cheveux bleus ( c’est pas ma faute), elle se fait enlever dans un magnifique travelling pleins de carrés, vous enfilez votre armure en mousse dans un élan de décence et partez tenter de la récupérer par monts et par vaulx.

- Difficulté aux petits oignons pour quiconque souhaiterait un aller simple pour l’asile le plus proche de chez lui (on ne pourra pas dire que nos amis les 2B3 ne nous aurons pas prévenus.)

- Ajoutez à cette mélasse un héros barbu à forte tendance exhibitionniste (si, si, preuve à l’appui !). Je savais pas que c’était Woodstock à la table ronde.

Face à la mort, on est quand même bien peu de choses…

- Une petite pincée d’animations ratées pour assaisonner le tout (deux mouvements tout au plus pour voire gesticuler le Roi Arthur, on avait pas fait mieux depuis Game & Watch. Autant dire que les développeurs ont exploité à fond la Super Nes.)

Tant qu’Arthur ne nous joue pas la Sonate au Clair de Lune…

- Un boss de fin aussi agile qu’un grand père sur une plaque de verglas.

Et vous obtenez une mixture parfaitement homogène digne d’un lendemain de cuite. Et ne prétendez pas ne pas voir où je veux en venir, vous êtes démasqué.

Dans le vif du sujet

Abordons l’aventure depuis le début. Vous commencez le niveau à gauche, et vous le terminez à droite. Original, non ? En chemin, une trouzaine d’ennemis viendront tenter de vous barrer la route, et, vraisemblablement, y arriveront. Rester sur place ? Vous êtes mort. Avancer ? Vous mourrez.

Visez la dégaine du chevalier lorsqu’il saute.

Si par miracle vous arrivez à vous échapper d’une volée de zombis en pyjamas (niveau immersion, on est sur du bon, là !) ne comptez pas sur les boss du niveau pour vous reposer. Sautez dans tous les sens pour tenter d’éviter les divers projectiles, priez, jurez, claquez-vous les cuisses avec le plat de la main, vociférez de rage, bavez, fumez un paquet de vos plus fortes cigarettes, et attendez que Dieu vous fasse signe.
Pour ma part, j’en ai déduit qu’il n’existait pas.

Ne riez pas du ridicule de la situation. Dans Super Ghouls n Ghosts, c’est normal. Zéro pointé.

Firebrand est un moustique

Ah, et notre gargouille volante, Firebrand, vous n’aviez pas eu de nouvelles de lui depuis Ghosts n Goblins (décidément je risque la cataracte à chaque fois, et vos yeux commencent à pleurer) ? Eh bien soyez ravis d’apprendre qu’il est de retour. Et il vous rappellerait quelque chose…

Vous savez, cet insecte qui vous fait vous mettre des claques à chaque fois qu’il s’approche de vous ? Oui, un moustique. Eh bien Capcom a eu la bonne idée d’en faire l’ennemi récurrent de sa maudite saga. Le temps d’appuyer sur le bouton y pour l’assaillir, il sera déjà dans le coin supérieur droit de votre écran. Pourquoi ne pas courir, alors ? Trop tard, il s’est déjà abattu sur vous comme la misère sur le tiers monde.

M’est avis que si l’on revient dans 20 ans, Capcom n’aura toujours pas compris que les joueurs attendent un minimum d’assistance. Bref, c’est à l’image de la jaquette du jeu : raté. La mayonnaise ne prend pas.

Note :
04/20

Mes dernières forces commencent à me quitter, il faut faire vite. Pour résumer le tout, comprenez-moi bien : ce jeu est un don du ciel. Pour les agences anti-terroristes. De quoi démanteler tout un réseau. Asseyez un malfrat devant ce jeu, manette en main, contraignez-le à avancer dans le jeu, et en cinq minutes, vous aurez les noms et adresses de chaque membre de l’organisation. Bref, comme disait feu Gandalf le Gris : « Fuyez, pauvres fous ».

J'aimerais entrer tout de suite dans le vif du sujet: Commençons avec la bande son, qui est horrible. Sérieusement, tout le long du jeu, on entend le même son de flingue pourris (qu'on récupère à chaque fois qu'on clamse, autant vous dire que cette arme, vous l'aurez trèèèèèèèèèèèèèèèèèèès souvent dans ce jeu...), on entend les mêmes hurlements horribles qui vous donnent envie de vous arracher les tympans. Mon Dieu... Mais y a pas que ça!!! Y a les Boss, qui ne ressemblent à rien, et la difficulté du jeu, aussi...

Pour donner un exemple de boss... Bah voila:

Chez SNK, pas besoin de ce casser les couilles, tu prend un crabe nourris aux déchets radioactifs, tu lui fous un tank, un lance missile, un ou deux sous marins sur le dos, et c'est bon, t'as un Boss de Metal Slug...

Après, et pour finir, la difficulté, et le scénario... Pour la difficulté, disons que vous deviez escalader l’Himalaya ou le Kilimandjaro (oui, j'aime bien les noms rigolos) tout nu
avec pour seul équipement, un couteau émoussé et rouillé pour vous couper les veines. Je vous assure que vous préféreriez ça, plutôt que de devoir endurer le supplice de ce Metal Slug, parce que, en plus d'avoir une difficulté affreusement abusée, il obtient en plus le prix de la pire durée de vie! On prend à peu près... Quoi... 2heures 30min pour finir ce jeu? Allé, 3heures si vous arrêtez pas de crever comme un abruti sur un tank ou un soldat kamikaze qui sort de l'eau pour se faire explose sur vous... Ou encore sur un boss crabe géant lance missile sous marin nucléaire qui vous bouffe. Vous vous voyez endurer ça pendant 3h00, vous? Moi, je préfère le couteau... Du côté du scénario, c'est pas mieux!

En gros, notre agence doit affrontée des méchants dont le chef est une caricature d'Hitler... Ou de Stalin, je sais pas trop...

et des aliens lambda, qui ont décidés d'envahir le monde:

Ah, et sinon, on peut noter ce mec la qui balance des Kaméhameha... Faites le rapprochement avec ce mec LA:
et osez me dire que c'est pas un cruel manque d'imagination de la part de SNK que voila?

Bon, pour ce qui est des notes, je devrais en mettre une sur zéro, parce que, sérieusement, ce jeu est l'une des pires bousasses intergalactique qui existe dans le milieu du FPS, mais je vais quand même faire preuve de compassion... Je pense que cette abomination partait d'une bonne attention!

Gameplay: Je n'ai même pas envie d'en parler, mais pour résumer, j'ai été heureux de ne me faire qu’une tendinite alors que certains ce sont fais une fracture. 0,5 donc...

scénario: 1/10 parce que sa me fait marrer de voir à quel point les mecs de chez SNK manquent de créativité!

Durée de vie: Tellement abusive... 0,5...

Bande son: Mes tympans ont étés heureux que j’abrège leurs souffrances avec un compas... et moi aussi... 0,5

Le bilan de ce jeu: A conseiller aux dépressifs suicidaires en mal de sensations fortes, mais croyez moi, le cyanure, sa va pus vite, et c'est moins douloureux... 2,5, et j'ai fait preuve de beaucoup de compassion...

Un personnage démantibulé, sans bras ni jambes, mais qui trouve tout de même le moyen d'avoir des poings et des pieds. Allez comprendre...
Une coupe de cheveux à la croisée des chemins entre Titeuf et Laurent Delahousse, des gros exhorbités à la Jacques Santini, un nez à la Gérard Depardieu, et, cerise sur le gâteau, un beau foulard rouge autour du cou... En route pour le défilé de la Gay Pride! Et non... Il s'agit bel et bien d'un supposé "héros" avec une gueule de Ray(man).
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Franchir différents petits niveaux où vos ennemis principaux seront des minuscules bonhommes bleus pourvus d'une crète, et avec des gants de boxe (comme si on allait se barrer en courant en voyant Mimie Mathy avec des moufles...) Croisement pitoyable entre Mister T, Passe-Partout, et un Schtroumpf, cet ennemi est l'adversaire principal du jeu, étant le plus présent sur l'ensemble des niveaux ; de quoi être affligé par la fainéantise et le laisser-aller des concepteurs.

Pour avancer dans le jeu, vous devrez libérer des espèces de petites bestioles appelées "Electoons" qui sont prisonnières dans des cages en fer avec des barreaux.
Pour ce faire, Rayman devra lancer son poing de toutes ses forces en le propulsant contre la cage pour la percuter et libérer les Electoons.
Comme notre héros est doté d'une anatomie normale et cohérente, son poing se détachera de son corps à plusieurs mètres et reviendra à juste après, tel un élastique que l'on tend. Logique pour un être humain normalement constitué.

C'est à se demander si Rayman n'est pas de la famille de Dhalsim, le combattant indien de Street Fighter, compte tenu de leur capacité à propulser leurs poings si loin en avant...
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Le "big boss" du jeu, un certain Mister Dark, sera à affronter à la fin du jeu. Notez l'originalité des concepteurs pour le choix du nom du Grand Méchant du jeu...
Après une multitude de mini-aventures plus pathétiques les unes que les autres, le joueur espère ENFIN avoir un minimum de frissons et d'adrénaline en défiant LE big boss du jeu : Mister Dark.

Encore raté! Malheureusement, ce jeu aura été un long chemin de croix du début à la fin. En effet, comment être impressionné face à un boss au look de Zorro qui vous lance des boules de feu magiques ?! Mister Dark serait-il donc le père de Ryu et Ken ?!
Soyons objectifs. Rien qu'en voyant la photo de Mister Dark censé struter l'horizon, muni de sa longue cape noire, avec des yeux globuleux, et à l'aide de jumelles, cela ressemble davantage à un "gentil monsieur inconnu" qui matte les gamins à la sortie de l'école.

Vous l'aurez compris, ce soit-disant "boss" est un énième clown dans ce jeu fade, ennuyeux, et horriblement répétitif ; et inutile de préciser que vous n'aurez pas de grandes difficultés à le battre et à ENFIN finir le jeu.

D'ailleurs, la plus grande difficulté de ce jeu, c'est de trouver le courage et les ressources mentales et psychologiques pour finir le jeu jusqu'au bout sans abandonner sous le coup de l'ennui. Cela devrait être possible avec quelques cartouches de Dolipranes attachés à votre ceintures, et un gant de toilette humide sur votre front pour apaiser les dépressions.

Parmi ses aventures, Rayman devra notamment chevaucher une sorte de vuvuzela géante qui est censée représenter un moustique... Et c'est parti pour l'Afrique du Sud! Waka-Waka...

Il devra également sauter sur des gros stylos qui ressemblent étrangement à des grosses ... sucettes au goût framboise. En tout cas, même si le joueur s'ennuie à mourir face à toute cette pléiade de pseudo-originalité et de pseudo-créativité, force est de constater que Rayman prend beaucoup de plaisir à sauter sur des gros bics (des gros stylos de marque "bic" bien sûr).
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Il en fallait tout de même au moins un... Point positif où les concepteurs ont eu un éclair de lucidité : Le premier ensemble de niveaux, intitulé "La Forêt des rêves". En effet, à peine le jeu commencé depuis 5 minutes, le joueur prie pour que ce soit un rêve et qu'il va se réveiller le plus tôt possible pour jouer à un jeu qui en vaut vraiment la peine.
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En guise de conclusion, tout comme les concepteurs de ce jeu soporifique, je ne vais pas me fatiguer le cerveau et les doigts. Je vais simplement me contenter de vous conseiller de ne perdre pas de temps à jouer à ce jeu totalement inutile et dépourvu d'intérêt.
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Originalité : 0 / 5

Apprenez, chers concepteurs, que l'originalité n'est appréciée que lorsqu'elle surprend et captive le joueur, le poussant ainsi à découvrir le jeu et à y explorer ses moindres recoins ; et non pas en y impliquant une surcharge d'éléments pseudos-décoratifs au style criard qui ne font que conférer au jeu un ton ringard et superficiel.

Jouabilité : 1 / 5

Jeu d'une facilité tellement déconcertante que vous en viendrez à vous faire mourir volontairement parfois, histoire de soulager votre conscience en vous disant que vous avez le mérite de jouer à un jeu difficile.

Durée de vie : 1 / 5

Un jeu terminable en 2 ou 3 heures à peine. Comme quoi, dans un sens, les concepteurs n'ont pas eu l'intention de torturer trop longtemps le joueur. Merci!

Musique : 1 / 5

Beaucoup trop de musiques de style "salle d'attente" chez le dentiste. Au début, on supporte, mais à la longue, on prie pour se faire arracher une dent.

Le bébé d’Ubisoft, Splinter Cell, vient de sortir et nous plonge dans un monde au bord du chaos, dans un conflit géopolitique mondial. Face à cette terrible menace, seul un homme, en pantalon moulé et aux allures de George Clooney, sans la Ristretto touch, peut inverser le cours des évènements, son nom : Sam Fisher. Cependant, avant de sauver le monde, peut-il se sauver lui-même ? Verdict.

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Le scénario de Splinter Cell est tout bonnement…comment dire !?…passionnant. Si, si, puisqu’on vous le dit. La preuve : Sam Fisher doit sauver le monde en déjouant un complet interplanétaire ! Ta Daaaa ! Ca, c’est un scénario original ou je ne m’y connais pas.
Eh oui, au diable les avions furtifs, les satellites, les écoutes téléphoniques, et autres procédés hi-tech, envoyez plutôt un homme seul équipé d’un pitit pistolet, d’une mitraillette pleines de gadgets et d’un crochet à serrures pour accomplir des missions aussi « routinières » qu‘ « enfantines ». C’est plus classe et plus sûr, voyez-vous !

Enfin « seul », n’exagérons rien. Notre héros aura quand même droit à de l’aide extérieure : ses 2 boulets intendants ,Wilkes et Grimsdottir (non, ce n'est pas le dernier produit anti-limaces de Rhône-Poulenc, c'est le nom d'une femme), judicieusement planqués dans un "Kangoo" bleu turquoise garé à une dizaine de mètres du bâtiment à infiltrer, qui l’épauleront efficacement grâce à leurs Amstrads matériels haute-technologie dernier cri.

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Les graphismes quant à eux sont pas mal, les décors sont soignés…sauf qu’on ne les voit quasiment pas…c’est ballot, hein !…enfin si, mais avec des lunettes à vision nocturne. Bah oui, l’infiltration, ça se fait la nuit hein, pas un 15 août à midi sous un soleil rayonnant. Evidemment…

Comment alors percevrez-vous votre environnement, ? C’est très simple. Il suffit de vous imaginer, la nuit, dans un paysage urbain ce qu’il y a de plus banal (buildings, rues, lampadaires…), vous vous munissez d’un emballage vert translucide de Babybel au chèvre et vous regardez à travers. Voilà ! L‘univers Splinter Cell, c‘est ça !

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Le gameplay, quant à lui, est très correct sans pour autant casser 3 pattes à une pintade. Certes notre agent surentrainé obéit au doigt et à l’œil, la panoplie des mouvements spéciaux est très complète mais voyez-vous, faire des roulades, des grands écarts sur les murs…ne servent strictement à rien, à part frimer peut-être et encore…

L’IA ? Huuuummm, disons, en étant sympathique, qu’elle est aussi débile qu’un os de seiche. C’est irréfutable. Dézinguez une ampoule ou une caméra, faites craquer le parquet, mieux, assommez un garde à 5 mètres d’un autre et là vous verrez. L’IA, alerté par un évènement inhabituel, va faire une ronde pendant 15 secondes top -chrono et hop ! R.A.S, on retourne jouer à la belote. Logique !

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L’OST est quasi-inexistante et insipide. Effectivement, non seulement on ne l'entend pratiquement pas mais, le pire, c'est que le peu qui nous parvient aux oreilles, on a l’impression qu’elle a été composée avec un synthétiseur Smoby à touches multicolores avec des piles usées. Les sons et autres bruits sont quant à eux d’assez bonne facture (détonations des armes, bris de verres…), ça tient la route.

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La durée de vie est assez conséquente mais il ne peut en être autrement dans la mesure où vous mettrez de longues et d’interminables heures pour traverser furtivement chaque map de chaque mission. A raison de 8 missions, comptez au bas mot, une trentaine d‘heures. Bref, vous aurez le temps de tuer un canasson à coup de figues molles que vous n’aurez toujours pas terminé le jeu.

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Même si Splinter Cell n'est pas un mauvais jeu en soi, il est très loin de la bombe annoncée. De nombreuses maladresses sautent aux yeux comme un pavé à la gueule d'un flic. Il y avait bien mieux à faire avec un peu plus d'inspiration et de soin. S'il veut sauver l'humanité des psychopathes de toutes sortes qui peuplent notre planète, Splinter Cell et Sam Fisher devront d'abord se regarder dans une glace.

TEST DE PORTAL 2

C'était prévisible ! Tenter de faire une suite d'un jeu qui avait déjà placé la barre très haute, était échec inévitable qui, ici, se place au rang de médiocrité par rapport au 1er épisode !

Le 1er point décevant, vient aux graphismes, n'ayant pas bougé d'un poil depuis l'épisode sorti en 2007, alors qu'on est en 2011 ! Faut croire que Valve ne sais pas aller au delà d'un moteur graphique half-life-esque !

Le second point aux environnements ! Malgré le fait que le laboratoire d'Aperture Science est explosé à la fin de Portal 1, on nous oblige à y retourner malgré son état délabré, qui comme par magie, refonctionne quasi-entièrement malgré les dégâts conséquents de la chose !

On en vient aux personnages du jeu qui ne change pas, ou presque : Glados est de retour, ( par une simple petite manipulation de touche d'un panneau de contrôle qui fonctionne encore après plus d'un siècle d'abandon ), ainsi que Chell, qui revie, grâce à une pseudo salle de cryogénisation ! ( on ne sais plus quoi inventé pour garder les mêmes perso ) C'est aussi l'arrivée d'un guide, si on peux appelé ça, qui n'est autre qu'une vulgaire sphère comme tant d'autre présent dans Aperture science, qui ne cessera de blablater à foison plutôt que nous aider a avancer ! De toute façon, il sera un frein du début à la fin puisque de toute façon il deviendra le protagoniste de l'histoire après avoir changé de corps avec Glados, ce qui entrainera justement un abus de pouvoir de sa part ! ( oui je spoil l'histoire et alors ?! de toutes façon elle bancale et nul à chier ! )

Passons !

Les énigmes n'en parlons pas ! En plus d'être d'une facilité déconcertante,elles reprennent trait pour trait celles de Portal 1, en plus longues avec comme seules ennemis dans le jeu, les tourelles ! ( qui au passage nous mette toujours autant de balles avant de nous tuer, sans compter la régène auto, ce qui rend la tâche encore plus call-of-dutyesque )

Et pour clôturer le tout, comme tout plagiat et jeu original qui soit, on ajoute un mode multi seulement pour faire "grossir" le peu de durée de vie qu'a ce jeu ! Et en plus, si on a pas de pote avec qui jouer, bonjour le compréhension entre les 2 joueur pour avancé entre les map !

Bref une suite foireuse qui est un affront au premier épisode !

CONCLUSION :

Les plus :
-L'écran titre qui pourrait faire
un fond d'écran sympa pour PC

Les moins :
-Graphismes super datés
-Environnements non renouvelés
-Personnages chiant ettransparents
-Enigmes copier/coller et répétitives
-Le multi pour faire "à la mode"

NOTE : 3/20

Ne fait pas du Zelda ou du Final Fantasy qui veut ! Et la Team ICO, qui avait déjà moyennement convaincu les accros du Jeu-De-Rôle avec son 1er titre éponyme, ICO (mou et vide au possible), nous le re-prouve dans Shadow of the Colossus sur Playstation 2. Lui aussi, mou et vide au possible.

Piqure de rappel : ICO, petit Action-RPG en mode huis clos, s’était déjà attiré les foudres de la Presse à l’époque, pour son manque de contenu et de finitions flagrant – avec une absence totale de level-up. Proposant ainsi une aventure bien superficielle à côté de l’épopée Kingdom Hearts ; titre bien plus complet, nerveux et stylé.

Mais comme la recette semblait plaire à quelques non-initiés, les opportunistes de chez Team ICO nous ressortent aujourd’hui la même sauce en singeant pour le coup le grand The legend of Zelda : Ocarina of Time. Une mascarade portant le doux nom de Shadow of the Colossus. Pas de quoi faire de l’ombre aux colosses du RPG en tous cas...

Sora, revient !
Coiffure de 1er de la classe, carrure d’asperge, aiguille en main droite en guise d’épée : je vous présente Wanda, le seul et unique personnage du titre à contrôler. Le charisme, on connait pas chez Team ICO ; à croire qu’ils n’ont jamais entendu parler de Nomura (Chara-Designer de Final Fantasy X et Kingdom Heart ; la référence ultime dans l’univers du Jeu-De-Rôle vidéoludique). Et Wanda est bien loin de compenser ses faiblesses de style par un flot verbal de qualité. Notre bonhomme ne parle pas. Vous pensez rêver mais non ; nous sommes bien sur 128 bits ! Même traitement de faveur pour les autres PNJ du jeu d’ailleurs. …mais on me dit dans l’oreillette qu’il n’y a aucun PNJ dans Shadow of the Colossus (!). Parlons-nous bien d’un RPG ? Lol.

Ueda fumisterie
C’est donc dans un univers sans vie que l’on flânera. Dans un overworld constitué essentiellement de montagnes et de plaines ; incroyablement vide. Pas un village à l’horizon, pas un palais, pas une énigme. Rien. Ocarina of Time sans Hyrule City, sans Temple de la Forêt ni domaine Goron. Pas même une musique cassant la tristesse ambiante.

Même les ennemis, pris d’une subite déprime, semblent avoir désertés la place, ou s’être suicidés ; hormis les seules 16 Colosses du jeu à affronter. Seize malheureux boss. Seize uniques occasions de sortir sa lame pour des combats, certes impressionnants, mais d’une longueur incroyable. Car les bougres ne dévoileront leurs points faibles qu’après d’interminables gesticulations de Wanda sur leur corps des titans. Nos amis de la Team ICO pensaient nous endormir avec des techniques de rallongement de durée de vie aussi grossières ; mais, croyez-moi, le joueur dormira bien avant.

Ces boss seront d’ailleurs quasiment les seules sources de level-up de l’aventure, servant uniquement à grossir la barre de vie de manière scriptée. Quand on sait que le sénile Secret of Mana proposait déjà un système d’évolution bien plus complet, offrant la possibilité de compter ses upgrades par dizaines ; on est en droit de demander si ce ne sont pas ces messieurs les développeurs -plutôt que Wanda- qui auraient besoin d‘une remise à niveau.

La Belle au Bois Dormant
Etant donné qu’un jeu à l’intérêt ludique douteux se rattrape parfois avec un scénario plein de rebondissements, j’ai tenté de laisser sa chance à Shadow of the Colossus en me concentrant sur la trame de l’histoire. Et je n’y ai pas trouvé grand chose. Une bien aimée endormie, maudite, que son cher et tendre va devoir réveiller. C’est bien maigre, et surtout bien peu mature pour un soft Playstation 2 ! Allez, je retourne sur Kingdom Hearts !

Zivaboy : le 02/01/2013

Graphismes : 13/20 Pas totalement à la traîne techniquement, mais quasiment que du noir et blanc. On n’est pas dans un Charlie Chaplin !
Jouabilité : 09/20 Wanda est lent. On fait la course avec Sora ? ;-)
Durée de vie : 10/20 Si vous aimez perdre votre temps à faire de la grimpette sur les colosses, c’est votre choix. Mais ne venez pas vous plaindre après. Comptez 10 heures (de varappe ! ).
Bande son : 05/20 Allo ? Monsieur l’ingénieur du son ?!? Où est la bande son ? Vous vous êtes endormi ? Ca peut se comprendre…
Scénario : 02/20 Le vide total.

Note générale : 09/20 Quand on souhaite se lancer dans l’univers du RPG, il faudrait peut-être ne pas en oublier les principaux ingrédients. Avez-vous déjà tenté de faire des œufs en neige sans œufs ?
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Note des lecteurs : Moyenne : 03/20

Céphiroth_2356 : Mdr. C de LA mairde ce jeu. Pourcoi le hairo n’a pas de jaile dans les cheuveu ?
01/20

Bogoss_62 : XD c’est une blague ou quoi. A côté j’ai mon GTA et avec les potes on s’éclate. J’achèterai le jeu pour ma petite sœur.
01/20

Chris-Redfiled1203 : Faut évoluer ! Les graphismes Noir et Blanc. Lol. Les jeux vidéo changent. Faut que les développeurs grandissent aussi et arrêtent de rester à l’âge des 16 bits ! Un peu plus d’action n’aurait pas fait de mal !
06/20

Donc pour ceux qui ne connaissent pas, Minecraft (qui aurait pu aussi s'appeler "Mein Kampf") est un jeu de minage, de craft, de construction, de survie et d'éxploration 3D tout moisi.La maniabilité du perso est pourri, les commendes sont si complèxes que vouz allez repousser les limites de vos pouces. D'ailleurs tout est fait en cube, ce qui est un énorme plagiat sur "Lego".
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Minecraft est rempli d'incohérences qui bien évidemment pourissent le jeu encore plus.

Notre personnage principal est "Steve" et comme vous pouvez le voir, il n'a pas de doigts, alors expliquez-moi comment le perso peut-il tenir un objet en une seule main?
Dans ce jeu il n'y a pas de physique, tous les cubes sont en pleine lévitation,
excepté pour le sable, le gravier, l'eau et la lave. La raison je ne sais pas.
Et pourquoi un block en lévitation fournit-il des items qui répondent à la gravité? Mystère absolu.
La météo est aussi du n'importe quoi. Dans Minecraft, il éxiste plusieurs binômes comme le désert, la tundra, la jungle etc.
Ce qui m'intrique, c'est quand je me retrouve dans un désert aride et en face de moi ce trouve une toundra enneigée. Ou encore un désert mélangé avec une toundra. Vive le WTF

Autres incohérences sont les coffres.
Ce tout petit coffre peut contenir 64x27 items dont 1728 items. Ce qui veut dire que ce petit coffre pourrait contenire une montagne. F*ck la logique.
Il peut égalemment contenir 1728 coffres. De nouveau, fuck la logique.

Sans oublier le fait qu'on peut poser des couches de neige sur un lac de lave et on peut y rester dessus pendanat 2 heures. WTF!
Bon comme il y a trop d'incohérences dans cejeu que je ne peux pas toutes les citer nous allons passer au point suivant.
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Dans Minecraft tout est moche, les persos le graphisme et tout. Jettons un coup d'oeil sur les cochons.
Vous ne remarquez rien? Ces yeux, ils sont strabismiques.

Les villageois sont tous aussi moches.
Le fait qu'ils ressemblent trop à Carlo le calamar, ils sont toujours les bras croisés. Alors je me demande comment ils peuvent se débrouiller.

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Originalité: 0/5
Graphismes: 1/5
Cohérence: 1/5
Jouabilité: 0/5

Note finale:2/20
Trop d'incohérences, maniabilité du personnage moisie, graphismes moches, interface pourrie. Conclusion, n'achetez/téléchargez pas ce jeu les enfants.

The Legends Of Zelda : Twilight Princess ... Oh la la , je ne veux même plus lire ni entendre ce titre j'en ais tellement souffert pour terminer ce jeux et en faire un teste .

Graphisme :

Bon déjà les graphisme ... C'EST VRAIMENT SADIQUE CE QUE ONT NOUS A FAIT !!! Euh excusez moi , je me reprend , bon déjà les graphisme c'est ignoble ce que ont nous fait , quand même ont est sur la Wii et on a sa .

Mais , mais , mais , C'EST DE LA WII SA quand on compare à Mario Galaxy qui est sortie 1 an après Twilight Princess on se demande bien . Et en plus quand on regarde le jeux son aspect trop sombre nous fait mal à la tête .

Histoire :

Bon venons à l'histoire Ganondorf a emprisonné Zelda avec l'aide du prince des crépuscules et Link pendant , vivait dans un village perdu et était le berger du village avec son cheval Epona (mais , mais , qui lui a offert un cheval alors qu'il na pas de parents ?) , et un jour Link n'arrive plus à trouvé son cheval , il le cherche et le trouve à coté d'une fille et là toute à coup des monstres sauvage apparaît , mais Link est trop faible pour eu alors les monstres capture la fille et pose une crépuscule rouge et parte , et Link se réveille dès qu'ils partent (c'est trop tôt mon ptit) alors Link veut la sauvé donc les suit par derrière mais c'est la qu'une portail l'arrête , une main sauvage apparaît et l'attire vers la portail , et un monstre touche la Triforce qui brille sur la main de Link , mais le monstre brûle son doigt (ta pas eu trop mal j'espère mon ptit choux)et jette Link par terre , et c'est la que Link se transforme en loup , et puis , att , attends , attends une seconde se transforme en loup , Link , mais c'est quoi sa ! Bientôt Link se transformera en quoi ? En baleine ? De plus le Loup ne ressemble à rien regardez :

Mais ils se sont inspirées de ou Nintendo ?
A moins que j'ai une idée ...

OST :

Bon passons au musiques , les musiques sont parfaites donc un petit +1 de ce coté là .

Transformation en Loup :

Quand on est loup c'est les graphismes qui gâche tous le plaisirs , j'ai même pas envie de mettre une photo pour pas violer vos yeux.

Les Donjons :

Les donjons sont vraiment pas vastes et on est serré , on se croirait que on est compressé avec la luminosité vraiment basse . Bref pour les donjons j'avais envie de me suicidé tellement j'ai souffert ...

Le boss final :SPOIL

Venons au boss final et deviné c'est qui .... GANONDORF vous avez juste . Haha comme c'était dur à trouvé quand même hahahaha ...! Bon en premier on se bat avec Zelda qui est posédée par le méchant , monstrueux , térrifiant , immonde , bon ok , ok j'arrête bref qui est possédée par Ganondorf et on doit renvoyé les boules d'énergie qu'elle nous envoie . Après on doit se battre contre Ganon qui court vraiment mal (sa doit être à cause de son poids , et oui Ganon il ne faut plus manger de chat) et on doit le faire mettre à dos avec la puissance de la machoire du loup qui est Link puis l'attaqué à son ventre pour lui causer des pertes de vie (ou peut être pour sortir les chats qu'il a mangé)bon bref à la suite un miroir sort du ventre de Ganon et les quatre miroire se rassemble et Midona le met à sa tête et se transforme en monstre et détruit le chateau et d'un coup Ganondorf , Zelda , Link se retrouve en dehors du château (tous va bien) et là on trouve Ganondorf avec son cheval noir , et y'a épona qui sort de nul part bon et le combat commence Zelda derrière Link pour donner de la lumière purifiant au flèches de Link . Mais attends une second comment Zelda est en état de se levé alors qu'elle ne l'était pas y'a 8 minutes ... (Ah oui , The Legends Of Zelda c'est magique)Bon après on se bat avec Ganondorf face à face et on doit le tuer et quand on le tue il dit des truc à faire pitié j'avais presque envie de pleuré pour lui que d'être content de l'avoir battu bref le boss de fin ce résume en 4 parties et ces 4 parties j'avais envie d'éteindre la console et allez pleurer sous ma couette tellement que c'était illogique et frustrant , bon passons à la note :

Les donjons : 0 sur 5 points qui sont compressé et pas vaste.

Les graphismes : 0 sur 3 point qui sont dégueulasse par rapport à Mario Galaxy sortie 1 an après.

L'OST : 2 sur 2 points au moin un point fort du jeux.

L'histoire : 0 sur 5 points Attends mais ce jeux me fait pensé à Okami mais version merdique.

Le combat final : 0 sur 5 points illogique ,de la pitié sur un Zelda .

Note : 2/20

Nintendo n'a vraiment pas jouer fort avec ce Zelda , ils n'ont pas cherché très loin comme c'était le cas avec "The Legends Of Zelda : Wind Waker" une histoire qui est plagiat , des graphisme ignoble comparé à Mario Galaxy qui est sortie 1 an après et qui a des graphisme très beau , des donjons compressé , l'OST sa je peux rien dire , le combat final est illogique et Ganondorf me fait pitié bref le jeux mérite la note que j'ai donné .

Le 27 Janvier, la rédaction a eu la lourde tâche de tester un jeu qui ne restera sans doute pas dans les annales (en tout cas, pas écrit comme ça).

Le Commencement

Commençons par le début, Puyo Puyo est une série de jeux développé par Compile, société connue surtout pour développer des jeux moisis avec des lolis et des petites culottes, et ayant coulé en 2002 (on se demande même comment ils n'ont pas coulé avant).

Le logo de Compile, avec une créature diabolique au dessus

A l'époque, Compile développait quasi-exclusivement des shoot'em-ups (vous savez, ces jeux débiles où on crève toutes les 3 secondes), car c'était rapide à produire et ils pouvaient donc se faire un maximum de fric. Capitalism ho !
Cependant, les japonais n'étant pas assez cons pour se faire entuber pendant des années, Compile changea de stratégie.
"Pourquoi ne pas plagier honteusement un jeu qui marche super bien ?" se sont-ils dit alors.
C'est ainsi que naquit Puyo Puyo, un jeu pas du tout inspiré de Tetris... non je déconne.
Bon, en gros, ce jeu, c'est Tetris, mais avec les slimes de Dragon Quest.

Si le jeu était sorti chez Capcom, il se serait appelé "Tetris X Dragon Quest"

Une suite au massacre

Fort du succès de ce plagiat honteux, Compile a sorti Puyo Puyo Tsuu, la suite de Puyo Puyo, sur les consoles de l'époque, et le jeu dont il est question aujourd'hui est la version PS1 de ce titre appelée Puyo Puyo Tsuu Ketteiban et sorti en 1996.
Pour vous donner un ordre d'idée, 1996 est l'année de la sortie de Resident Evil, Tomb Raider, Crash Bandicoot ou encore Pandemonium.
Je me demande quel idiot achèterait un plagiat de puzzle game à la place de Tomb Raider...

Compile luttant contre le SIDA, et moi je suis Superman peut-être ?

Lorsque l'on allume le jeu, chose incroyable, on se retrouve avec une séquence d'intro misérable digne de la Wonderswan, accompagnée d'une musique d'une qualité exécrable.
Alors que la PS1 marque l'ère de la 3D, Compile nous ressort de la 2D complètement moisie digne de la NES.

Les versions Wonderswan et PS1 côtes à côtes, à peu de choses, près, c'est pareil.

Des lolis et des boules

Dans ce jeu, nous contrôlons Arle, une loli (tiens donc) qui doit monter une tour en faisant des combats de boules de puyos, pour affronter au sommet Satan en personne.
Une histoire pas du tout repompée de Madou Monogatari I au passage, un autre jeu de Compile avec Arle qui, du haut de ses 5 ans (oui, oui, 5 ans), devait grimper la même tour.

Arle sur la PC-Engine à gauche, bien mieux rendue que sur PS1 alors que la PC-Engine est une console 8-bit

Dans cette tour, on affronte tour à tour des personnages totalement ridicules d'une nullité affligeante, à savoir un pied avec un visage, un poisson bodybuildé avec des bras et des jambes, un squelette qui boit du thé vert, un satan humanoïde pédophile, une harpie qui chante faux, une sorcière pas douée, une créature microscopique, une taupe samourai, une loli dragon, un navet avec des lunettes, un éléphant hindou et j'en passe et des meilleures.
Plus on avance dans le jeu, plus on se dit qu'on est dans un asile de fous.
Les gars de chez Compile n'ont pas dû boire que de l'eau lorsqu'ils ont conçu le jeu.
En plus de ça, tous les personnages sont repompés de Madou Monogatari, comme ça, Compile n'a plus qu'à repomper les sprites, et hop, c'est terminé.
Ah, bravo le veau.

Nomi, un perso microscopique montré par la flèche. un pixel est plus facile à dessiner qu'un vrai personnage

Les voix des personnages sont niaises au possibles, au bout de 5 minutes de jeux, on a envie de sortir le cd de la Playstation et de le briser en 1000 morceaux tellement les voix sont soûlantes.
On pourrait se dire que ce n'est que pour les séquences d'intro et que pendant le jeu ils ferment leur gueule, mais non.
En jeu, à chaque fois que l'on casse des Puyo, Arle crie des choses incompréhensibles en japonais "Bayoeen, Aicu Stooomu, Dailla Kyuuuta, Rindemuno, Shigemu (ou un truc comme ça)".
La seule chose que l'on a envie de dire lorsqu'on joue, c'est "MAIS TU VAS LA FERMER TA GRANDE GUEULE DE LOLI DE MERDE ?"
Et le pire dans tout ça, c'est que le jeu a des musiques qui restent dans la tête très rapidement et dont on ne peut plus se défaire après, le genre de musiques moisis à la "René la Taupe".

Et le gameplay dans tout ça ?

Le jeu se joue simplement en plaçant 4 puyos de même couleur ou plus côtes à côtes pour les faire disparaître.
C'est marrant, allez... 5 minutes, après on se demande simplement quand est-ce qu'on va arrêter ce jeu de merde.
Autant Tetris était moisi, mais alors là, on atteint le summum.
Le pire dans tout ça, c'est que c'est un jeu qui se joue à deux, donc on n'a même pas le temps de jouer que l'adversaire nous balance des blocs pour nous gêner et après on ne peut plus rien faire et on crève comme une merde.
La difficulté est atroce, et les couleurs du jeu n'arrangent rien à la chose.
les couleurs nous pètent à la gueule, on a mal aux yeux au bout de 10 minutes.

J'aimerais bien voir un daltonien jouer à ce jeu, tiens

Comme dans tout jeu japoniais qui se respecte, à la fin du jeu, on a le tableau des highscores qui ne sert absolument à rien puisqu'il sera effacé dès que l'on éteindra la console (il faut qu'ils arrêtent avec ça, sérieux).

Conclusion

Ce jeu, c'est de la merde.
Si vous voulez vraiment vous amuser, prenez un ballon et sortez dehors, ça ne sera pas de l'argent perdu.
Et si vous aimez ce jeu, n'hésitez pas à composer rapidement le N° d'urgence de l’hôpital psychiatrique le plus proche.

Notes :

Graphisme : 0/10
Même pas digne d'un jeu super nes, trop coloré, détruit la rétine, et même la 2D est moche.

Musique : 1/10
On entendrait presque "JEEEE SUIIS MIIIIGNON MIGNON..."

Gameplay : 0/10
Repompe totale à Tetris

Personnages : 0/10
Repompe totale à Madou Monogatari

Scénario : 0/10
Repompe totale à Madou Monogatari

Note Finale: 0.1/10
Dans la notice du jeu, il est marqué "Ce jeu est dénué de toute originalité", true story.
Au moins, Compile a eu la décence de l'admettre, c'est déjà ça.

Attention préparez vous bien car le jeu demande beaucoup de ressource, il faudra avoir une mémoire vive de 32 Mo et un processeur pentium 2 pour pouvoir le faire tourné sans problème. Et c'est bien ça le problème, pourquoi autant de puissance pour un jeu qui ne le devrait pas? Est ce pour supprimé les temps de chargement? Absolument pas, ils sont toujours présent.

Est ce que c'est les graphismes? Mais bien sur regardez ce paysage absolument sublime.

Le problème c'est que ce n'est qu'un simple dessin pour attiré les plus optimistes d'entre vous car voilà à quoi on a réellement droit. Et tout de suite sa donne un peu moins envie d'y joué.

Parlons maintenant du scénario, nous dirigeons un scientifique qui prend le tramway pour se diriger vers son lieu de travail, en effet aujourd'hui est un grand jour, une expérience extrêmement importante va avoir lieu. Bien sur tout ne se passe pas comme prévu, ben oui se serait un peu trop original.

Et evidemment les aliens débarquent, on a droit au cliché de l'invasion, des méchants soldats américain et bien sur le seul homme au monde pouvant sauver tout ses gens c'est vous, un docteur sans entrainement militaire et armé d'un pied de biche.

Le gameplay est très classique ne vous attendez pas à quelque chose d’exceptionnel, sa se résume à du pan pan boum boum sur un couloir, aucune quête annexe, aucun système de level up, aucun objet secondaire a pars les armes, pas de coopération, pas de multijoueur, pas d'histoire, pas de graphisme, pas de musique... bon essayons de trouvé des points positif pour changer un peu.

Le personnage est muet et heureusement car sa ne me plairais pas de lui demander de fermer sa bouche, on peut mettre le jeu en facile, pour le finir plus vite et le point le plus important on peut déjà le trouver 52.50 FF d'occasion pour ceux qui ont la chance d'avoir internet.

Pour fini je ne vous conseil clairement pas se jeu, ce n'est qu'un titre lambda comme on en trouve partout. Le note que je lui donne? voyons voir.... Puisqu'il ma seulement fallu la moitié d'une vie pour le finir je lui donne un beau 0.5/20.

La partie est fini.