Nouveau crossover pour les séries régulières Star Wars avec Dark Droïds. Et franchement ça commence plutôt bien avec cette menace de droïdes qui se répand de machines et machines façon épidémie de zombie pouvant menacer toute la galaxie. Une ambiance plus sombre qu'à l'accoutumée. A voir pour la suite. Surtout que les autres séries s'accordent bien à ce crossover en mettant bien en avant la thématique de la robotique et des droïdes sans atteindre Asimov mais ça reste agréable. Pour la série Star Wars, elle met surtout en avant Lando qui tente de sauver Lobot tout en faisant le lien avec sa place chez Jabba au début du Retour du Jedi. La série Dark Vador met aussi en avant le côté mi-homme mi-machine face à cette menace qui s'infiltre violemment sur son vaisseau amiral. La série Aphra se concentre surtout sur les histoires de fesses de l'héroïne tout en faisant un peu le lien avec la Prélogie en ce qui concerne les armées de droïdes. Enfin, la série Bounty Hunters ayant un cyborg pour héros est aussi bien dans le ton.
Pour terminer, chaque série dispose d'un dessinateur ayant un niveau plus que correct ce qui est assez rare pour être souligné.
Un roman qui nous fait vivre une aventure aux côtés d'un Obi-Wan adolescent en plein doutes sur ses capacités de Jedi ou vis-à-vis de son étrange maître Qui-Gon. Du coup le gars part en mission solo sur une planète paumée où il découvre un écosystème baignant dans la Force et très agressif envers les quelques survivants sur place. Un groupe de jeunes qui va avoir du mal à l'accepter parmi eux. Ca fonctionne globalement car l'auteure Kiersten White réussit très bien à nous parler d'écologie ou d'addictions en restant bien dans le cadre de Star Wars donc de manière très intelligente et ça fonctionne. Malheureusement, la première moitié est trop mollassonne avec des enjeux qui peinent à se concrétiser alors qu'on les a compris depuis un moment. Donc il faut prendre son mal en impatience. Il en résulte aussi un fin assez bâclée malheureusement...
Dernier roman de la Phase II de La Haute République qui sauve un peu l'honneur. Bon je trouve que cette phase qui se déroule 150 ans avant la Phase I est un peu décevante car mal pensée avec des romans qui veulent tellement se compléter que ça en devient confus avec finalement des réponses peu satisfaisantes malgré les bonnes idées apportées : un secte anti-Jedi, une direction de la galaxie à deux têtes, une guerre éternelle entre des planètes jumelles ect...
Pour ce qui est de ce roman, il fait suite à La Voie de la Duperie qui était quand même un purge donc Cavan Scott est obligé de ramer pour rendre plus crédibles ses personnages et surtout offrir enfin un peu de rythme. Ce qu'il parvient à faire très bien avec des héroïnes attachantes comme de bonnes scènes d'action. Et surtout une conclusion assez satisfaisante même si on s'attend à des liens importants avec la Phase III. Et sinon ça reste du bon space-opera offrant ce qu'on attend d'un roman Star Wars
Enfin le plus important pour cette Phase II était :
Spoiler ▼▲
L'origine des créatures qui massacrent les Jedi dans La Haute République en aspirant leur force vitale, ne laissant que des coquilles vides. Et c'est assez satisfaisant avec une étrange planète. Néanmoins, je ne comprends pas comment les Jedi de la Phase I ne connaissent pas ces créatures après les évènements de la Phase II 150 ans plus tôt...
Mini-série promotionnelle sortie juste avant l'épisode IX et qui est surtout une suite de l'Episode VIII où l'on voit ce qui reste de la Résistance tenter de récupérer des vaisseaux (Leia, Rose et Rey) ou des armes (Finn & Poe). Le scénario est efficace même si assez peu original notamment avec l'utilisation de Mon Cala. Ca permet quand même quelques bons clins d'oeil à d'autres oeuvres. LE principal problème vient de trop vouloir en raconter en seulement 4 parties. C'est sympa mais assez oubliable. J'aime quand même le fait d'avoir une oeuvre mettant en scène tous les héros de la Postlogie.
Aux dessins on a le droit au Brésilien Luke Ross que j'aime beaucoup. Le gars est talentueux, maîtrisant tous les composants de l'univers Star Wars et toujours bien dynamique dans l'action. Sauf que là on sent qu'il a travaillé trop vite, c'est dommage.
Nouveau crossover pour les séries régulières Star Wars avec Dark Droïds. Et franchement ça commence plutôt bien avec cette menace de droïdes qui se répand de machines et machines façon épidémie de zombie pouvant menacer toute la galaxie. Une ambiance plus sombre qu'à l'accoutumée. A voir pour la suite. Surtout que les autres séries s'accordent bien à ce crossover en mettant bien en avant la thématique de la robotique et des droïdes sans atteindre Asimov mais ça reste agréable. Pour la série Star Wars, elle met surtout en avant Lando qui tente de sauver Lobot tout en faisant le lien avec sa place chez Jabba au début du Retour du Jedi. La série Dark Vador met aussi en avant le côté mi-homme mi-machine face à cette menace qui s'infiltre violemment sur son vaisseau amiral. La série Aphra se concentre surtout sur les histoires de fesses de l'héroïne tout en faisant un peu le lien avec la Prélogie en ce qui concerne les armées de droïdes. Enfin, la série Bounty Hunters ayant un cyborg pour héros est aussi bien dans le ton.
Pour terminer, chaque série dispose d'un dessinateur ayant un niveau plus que correct ce qui est assez rare pour être souligné.
Sell kids for food
Un roman qui nous fait vivre une aventure aux côtés d'un Obi-Wan adolescent en plein doutes sur ses capacités de Jedi ou vis-à-vis de son étrange maître Qui-Gon. Du coup le gars part en mission solo sur une planète paumée où il découvre un écosystème baignant dans la Force et très agressif envers les quelques survivants sur place. Un groupe de jeunes qui va avoir du mal à l'accepter parmi eux. Ca fonctionne globalement car l'auteure Kiersten White réussit très bien à nous parler d'écologie ou d'addictions en restant bien dans le cadre de Star Wars donc de manière très intelligente et ça fonctionne. Malheureusement, la première moitié est trop mollassonne avec des enjeux qui peinent à se concrétiser alors qu'on les a compris depuis un moment. Donc il faut prendre son mal en impatience. Il en résulte aussi un fin assez bâclée malheureusement...
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Dernier roman de la Phase II de La Haute République qui sauve un peu l'honneur. Bon je trouve que cette phase qui se déroule 150 ans avant la Phase I est un peu décevante car mal pensée avec des romans qui veulent tellement se compléter que ça en devient confus avec finalement des réponses peu satisfaisantes malgré les bonnes idées apportées : un secte anti-Jedi, une direction de la galaxie à deux têtes, une guerre éternelle entre des planètes jumelles ect...
Pour ce qui est de ce roman, il fait suite à La Voie de la Duperie qui était quand même un purge donc Cavan Scott est obligé de ramer pour rendre plus crédibles ses personnages et surtout offrir enfin un peu de rythme. Ce qu'il parvient à faire très bien avec des héroïnes attachantes comme de bonnes scènes d'action. Et surtout une conclusion assez satisfaisante même si on s'attend à des liens importants avec la Phase III. Et sinon ça reste du bon space-opera offrant ce qu'on attend d'un roman Star Wars
Enfin le plus important pour cette Phase II était :
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Mini-série promotionnelle sortie juste avant l'épisode IX et qui est surtout une suite de l'Episode VIII où l'on voit ce qui reste de la Résistance tenter de récupérer des vaisseaux (Leia, Rose et Rey) ou des armes (Finn & Poe). Le scénario est efficace même si assez peu original notamment avec l'utilisation de Mon Cala. Ca permet quand même quelques bons clins d'oeil à d'autres oeuvres. LE principal problème vient de trop vouloir en raconter en seulement 4 parties. C'est sympa mais assez oubliable. J'aime quand même le fait d'avoir une oeuvre mettant en scène tous les héros de la Postlogie.
Aux dessins on a le droit au Brésilien Luke Ross que j'aime beaucoup. Le gars est talentueux, maîtrisant tous les composants de l'univers Star Wars et toujours bien dynamique dans l'action. Sauf que là on sent qu'il a travaillé trop vite, c'est dommage.
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Tu as quoi de beau au programme pour demain, mon bon Green ? :P
Je sais qu'on m'a trahi, mais je sais que j'ai déçu aussi, quand la peine se mélange au regret, on se sent si seul.
Rien...
Mes beaux-parents débarquent...
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